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samedi 20 mars 2010

Grandir, pour quoi faire ? Pour souffir.

On sait si insouciant... On ne sait pas ce que la vie nous réserve. On ne se le demande même pas. On joue à trappe trappe. On fais du sable doux à l'heure de la recrée, à l'ombre d'un châtaigner. On joue avec la personne d'à côté sans savoir qui elle est. On à plusieurs amoureuses. On mange sucettes et autres sucreries qui colle aux dents à longueur de journée. On est heureux. Puis on grandit. Et la tout change. On commence à réfléchir. Et à comprendre. Les premières déceptions. Les premières souffrances. Tout le bonheur de l'enfance on le laisse derrière nous à tout jamais. On regrette de ne pas en avoir plus profité. On vit alors avec des regrets. On avance. Jour après jour. On continue. Tous dans le même bateau. Collège. Lycée. Bus, boulot, maison,dodo. Bus, boulot, maison, dodo. Bus, boulot, maison, dodo. On se dépatouille comme on peut. On essaie de se sortir de la routine. On réfléchit on y pense ça nous ronge. Ou on baisse la tête et on se dit c'est comme ça. On arrive à ce persuader soit même que la vie est belle. On attend. On espère. On encaisse. On souffre. Loin le temps du sable doux. Loin le temps des promenades en famille le dimanche après midi. T'essaie de trouver des petits bonheurs. Mais tout par en cacahouète et te fais encore plus souffrir. On suit tous le même chemin. On se dit trouver la personne de notre vie. On a des enfants. On vieillit. Enfant, boulot, maison, dodo. On peut rajouter galères. Et on souffre encore et toujours. On se rend compte que l'on ne décide plus de rien. Nous ne somme que des pions. Certains des pions chanceux. D'autres des pions pris à d'un autre jeu pour qu'il y en ai un pour chaque joueur. [ Je m'éloigne du sujet. ]. On grandit, on comprend. On comprend des choses. Qu'il ne vaudrait mieux savoir. Se lever tous les jours en ce demandant si c'est aujourd'hui que notre mère nous dit adieux. Se demander tous les jours si on sera coucher ce soir dans son lit ou bien dans un cercueil. On apprend à regarder les autres. On envie. On est jaloux. C'est humain. On est des fous. Mais des fois, et c'est peu être le plus dur, on ne comprend pas. Pourquoi réagit - on de cette façon. Pourquoi ne pas baisser la tête, s'avouer vaincu et attendre d'arriver dans ce cercueil qui nous attend tous. Devrait - on renier notre intelligence ? Arrêter de se poser des question ? Et vivre comme si tout était beau et rose ? Je préfère garder mon intelligence et ma dignité. Même si ça doit me faire souffrir quotidiennement. Même si ça doit me coûter la vie...
Je vais vous laisser, je vais...
Moi

jeudi 18 mars 2010

Start again.

J'ai froid. Je me sens seul. Et je suis triste. Je n'en peut plus. Je ne suis pas contre la Vie. mais je suis contre cette vie. je suis fatigué. Je n'ai plus le courage de me battre pour continuer à avancer. Je n'ai plus qu'à me laisser tomber au milieu de la forêt et à laisser les mauvaises herbes recouvrir mon corps et mon âme pour l'éternité. Je souhaite juste une seconde chance. Un nouveau départ. Pour que je puisse avancer. Le coeur léger. Et l'esprit serein. Je n'en peut plus de me torturé à longueur de journée. Je veux retourner là où tout à commencer.BACK.Revenir en arrière. Remonter le temps. Avant la fin. Tout refaire et tout changer. Façonner ma vie à mon idée. Tout reconstruire comme je le veux. Repartir. BACK. FLASH BACK. Retourner à mon premier souffle, à mon premier battement de coeur, à mon premier regard. Tout redémarrer à zéro. Enfin tout avoir. Enfin. J'ai assez attendu. J'ai assez souffert. Je me suis assez battu. Je compte jusqu'à trois. A un je disparaîs A deux toux le monde m'oublie. A trois je réaparaî et tout s'arrange. Un. Deux Trois. BACK. FLASH BACK. COME BACK.
Je vous laisse, je vais pleurer car ça n'a pas marcher et que c'était ma dernière carte.
Moi

lundi 15 mars 2010

SORS !

Je ne sais plus quoi faire. Je ne sais plus quoi en penser. Je veux juste l'oublier. Oublier tout ça et passer à autre chose. Que tout rentre dans le droit chemin. Que plus rien ne me fasse sortir de la route. La route principale que chacun de nous emprunte. La route qui nous mène tous au même endroit. La route de la Mort. Je veux juste la suivre elle. Pas les dérivation. Je ne veux ni prendre les raccourcis, ni les routes sans péage. Je veux juste avancer comme tout le monde. Parmi tout les autres. Juste dans la Masse. Mais pour ça il doit arrêter. Arrêter d'être là. Arrêter de m'obseder. Sortir de ma tête. Tu m'entends ?! Sors de ma tête. OUT !
Je vous laisse. Il en train de rentrer dans ma tête.
Moi