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jeudi 30 septembre 2010

Touché

Un contact
...
.
C'était juste un tout petit EFFLEUREMENT.

vendredi 24 septembre 2010

Yes, you must kill me

If only you knew. If you knew all what's on my mind. I dreamed of many thing. I was hopping that tomorrow will be better than yesterday. But this better day never comes. What do you expect me to answer when you ask me to imagine my futur ? I am also lonely than an orphan. I am also terrified than a beaten child. My dreams and my innoscent flew through the bars of my prison of silence. My wings are consuming day by day. I'm suffocating. I choke. I don't know if I would survive to this bubble of isolation. Perhaps that one day, somebody will find my bloody corpse. Nude. In a cold fields. Without no one has realized that I had been missing for weeks. It's also simple as that. I'm indispensable to nobody. But why someone would wants me after all ? I'm nobody. I'm a failure. I have no more dreams, no more wings, no more innoscent, no more friends, nothing more about who or what support me, no more to save me. But I do not deserved to be saved. I'm so weak... Too weak. Too weak to live. Too lonely to live. Too abandone to live. I just have to die to let the world in peace. I would not miss anyone. I just have a wish to say. Or two. First and main, tell my mother I love her more than anything. Secondly, please, If I was still breathing when you find my naked bloody, bloodied, bruised by hatred and suffering from unimaginable and invisible pain; in a cold fields at night, please, finish - me.

jeudi 23 septembre 2010

Le ciel pleure

Le ciel pleure...
Quand t'as mal tu dis plus rien puis t'encaisse et t'encaisse, tes larmes coulent et ton pouls est en baisse puis en baisse. J'avais mal et j'ai rien dit. J'ai eu peur et j'ai souffert. Fermer les yeux baisser la tête c'est tout ce que j'ai su faire. L'amour rend aveugle. C'était écrit malheureusement j'avais pas tout lu.
je ne sais plus dire à quel point ma douleur grandit.

mercredi 22 septembre 2010

Il y a des jours où l'on devrait dormir.

Il y a des jours comme ça où tu te dis "enfin". Enfin tout va changer. Enfin
j'ouvre les yeux. Enfin mes tourments vont cesser. Enfin je vais y voir
plus clair. Enfin je vais profiter, 1 an et demie de vécu à fond
sur trois c'est déjà pas mal. Enfin. Enfin. Mais les jours
qui suivent toutes les choses que vous pensiez
enterrées sortent de terre et vous battent
jusqu'à nous mettre à genoux, en sang et
en proie à une souffrance inexprimable..
Alors vous devez vous reconstruire.
Mais seul et sans savoir où ni
comment trouver du
soutient autant
se raccrocher
lors d'une
chute
infernales
à une paroi
lisse. Sans rien atour
de nous pour ralentirnotre
chute, l'arrêter, et nous faire
remonter, il n'y à rien d'autre à faire
qu'à sombrer. Tout au fond. S'il existe seulement.

lundi 20 septembre 2010

Je vous en prie... Du temps

Non... Pitié... Pas déjà... C'est trop tôt...
Je ne m'en sortirais pas...
Un délais... S'il vous plait...
Quelques mois seulement...
Je ne survivrais pas...
Je n'aurais pas la force...
Je sombrerais seul dans le néan...
Un peu de temps c'est tout ce que je demmande
Ensuite tout sera finit...
Je vous en prie...
Ma vie en dépend...

vendredi 17 septembre 2010

Ecoeuré

Je n'écrirais même pas tellement ça m'écoeure.
Et ça fait mal.
Très mal...

jeudi 16 septembre 2010

Je survis

Je ne vis plus. Je survis. Pour l'instant.

lundi 13 septembre 2010

Mes larmes brillent sous la lune

'Je vivrais la tête en bas'.
Je boue. Je déborde. Je dois me vider. Ça ne suffit plus. Je dois partir en cure. Me coucher sous les étoiles et pleurer dans le silence et l'obscurité de la nuit. Pleurer pour évacuer toutes les larmes qui inondent mon coeur, mon âme et ma tête. Je regarderais le ciel. L'infinie. L'absolue clarté de l'espace. J'écouterais le silence en sentant l'eau couler de mes joues. Je penserais à vous. A toi, et à toi. Je regretterais de ne pas pouvoir vous aimer. De n'être qu'un monstre sans coeur. Je pleurerais mes horreurs. Me coucher sous les étoiles et pleurer dans le silence et l'obscurité de la nuit. Écrire ne suffit plus. Jusqu'à quand pleurer suffira ? Je ne peux le dire. Un mois ? Un an ? Ou seulement quelques heures ? Je vais quand même essayer. Je ne peux plus rien espérer d'autre. Je ne mérite rien d'autres. Me coucher sous les étoiles et pleurer dans le silence et l'obscurité de la nuit. Pleurer tout ce que j'ai sur le coeur, pleurer tout ce que personne ne sait, pleurer tous mes tords, mes erreurs et mes immondices, pleurer pour ce que je suis, o ce que je serais, ou que je devrais être. Pleurer pour celui que je suis. Pour le monstre que je suis. Me coucher sous les étoiles et pleurer dans le silence et l'obscurité de la nuit. J'écris mais ma douleur ne tarie pas. Mon ventre est toujours noué, ma tête toujours en pleine recherche de réponse, mes yeux troublés, et mon coeur sans attache à la réalité. Plus rien n'y fait je suis condamné. Condamné à vivre comme ça. Triste et malheureux. Attaché à mes regrets et à mes espoirs disparus. Je dois évacuer tout ça. Me coucher sous les étoiles et pleurer dans le silence et l'obscurité de la nuit. Je dois évacuer mais on sait tous que cela ne suffira pas. Ça n'a pas suffis la dernière fois. Me coucher sous les étoile et pleure dans le silence et l'obscurité de la nuit. Je vais essayer de pleurer dans mon lit toute le nuit aujourd'hui.
Bonne nuit à vous
Moi

vendredi 10 septembre 2010

Perdu... Où ça ? Bin perdu justement...

Il me trotte une idée dans la tête. Je me dois de réfléchir à l'écrit. Si le coeur n'était pas extensible comme on le dit ? Si l'on devait sacrifier un peu d'amour à une personne pour le consacrer à une autre ? Nous somme humains après tout, pas une usine à sentiment... Et si tout ce que j'ai à partagé était déjà pris. Non. Ce n'est pas le terme. Si tout ce que je peux donner était déjà attribué ? Si j'étais condamné à faire un choix. Peut - être suis - je simplement impossible de m'attacher à quelqu'un... Peut - être que je ne le mérite pas. Peut être me suis - je trompé sur toute la ligne. Et si j'avais cru à tant de choses abstraites et que je me réveillais un matin en le réalisant soudain. Si je devais tout lâcher avant que tout ne me lâche ? Si je devais quitter la vie ? Où est ma place ? Où suis - je censé être ? Que dois - je faire ? Je suis perdu. Et personne pour m'indiquer la direction. Assez de me prendre seul dans le labyrinthe sadique et mortel de la vie. Le doute est - il un vice ? Le chemin se trouble. Peut - être mieux vaut couper à travers champs avant de se perdre en forêt et de perdre la raison ou la vie.
Je suis nul. Et immonde. Est - ce mal ?

jeudi 9 septembre 2010

Ptit gars

Adieu mon ptit gars
Ton coeur a pris froid
Adieu mon ptit gars
Dieu baisse les bras
Adieu mon ptit gars
Il n'y a plus que toi
Laisser le partir
Laisser le mourir
Ne le dites pas
Le ptit gars c'est moi

jeudi 2 septembre 2010

I'm gonna sream

I don't know where to go
What's the right team
I want my own thing
So bad I'm gonna Scream!
I can't choose, so confused
What's it all mean
I want my own dream
So bad I'm gonna Scream!

ARE YOU SCRARED YET ?

J'ai peur. Effrayé. Terrifié.
I'm afraid. Scared. Terrified
Ich habe Angst. Erschrocken. Erschrocken
Me temo. Miedo. Aterrorizado
Ho paura. Paura. Terrorizzati
أنا خائف. خائفة. الرعب
残念だけど。怖い。おびえた
OUI J'AI PEUR, JE SUIS TERRIFIE

mercredi 1 septembre 2010

It's not together

Il y a des fois ou j'y crois. Pas souvent mais ça arrive. Il y a des fois où tout est noir et sombre. En moi. Il y a des jours où je vous tuerais tous au moindre mot. D'autres où j'ai besoin de vous comme jamais. Où j'ai envie de vous serrer dans mes bras et de vous dire à quel point je vous aime. Il y a des jours où je sauterais. Chute. D'autres ou je dormirais. Éternité. Il y a des jours où je pense. Non. Tous les jours je pense. Je me dis que si j'étais quelqu'un d'autre, je ne serais plus moi. Mais d'un autre côté, si j'étais moi, je serais quelqu'un d'autre. Je pourrais avoir tout ce que je désire si j'étais cette autre personne. Si elle était moi. Je pourrai avoir le monde à mes pieds. Vivre. Absolution. Mais je ne suis ni la personne que je suis pas, ni celle que je suis, ni même celle que je pourrais être. Qui suis-je alors ? Personne ? Ça doit être ça... Les gens ne me voient pas. Fuyez moi. Les gens m'ignorent. Il n'y a cas voir... Si je me réveille je me haie, je me tue. Si je reste dans l'ombre je meurs à petit feu. Que faire ? Plus personne ne peut plus rien pour moi. Je suis seul. Terriblement seul. Ne l'ai-je pas toujours été ? On ne peut plus m'aider, c'est fini, c'est trop tard. Aujourd'hui ça va peut être plus mal que jamais. Qui peut le dire ? Sur une échelle de la douleur de 1 à 10 je me donne 11. Je ne vis plus. Je survie. Mais je meurs. En silence. Et en disant que tout va bien. Mais plus rien ne va. I'm alone. Alone. Alone. [éco] On m'abandonne. Vous avez raison. Laisser moi pourrir. Without. Without you. Alone. Sans plus rien de vrai. San plus aucune vie. Ni envie. Plus de rêves. Plus d'ambitions. Une lassitude grandissante. Ma tête va exploser. Ça va pas, ça va pas, ça va pas, ça va pas. Aider moi. "Every body. Comme take my hands". But you're alone. Et donc tu te raccroche au vide. En tombant de plus belle. Évidement... Comment peut - on se raccrocher à rien ? I would be strong. I'm not affraid. It's not the last time. Mais on a couper mes ailes. On m'a volé. Violé. On m'a tué. En choisissant pour moi. Je ne me suis pas engagé. Je peux refuser et mourir. Je ne suis pas d'accord. A quand la fin ? Quelle soit belle, sanglante ou éternelle, elle ne regarde que moi. Malheureusement. Je meurs. De haine, de rancoeur, de regrets, de désespoir. De tristesse. Je suis triste. Affreusement triste. Accroche à une vie inaccessible. A plusieurs vies inaccessibles. Elles m'abandonnent, les unes après les autres. Et ça me tue. Oui je meurs. De douleur. Ça va pas. Je suis triste et seul. Et en plus il faut continuer ? Faut - il vraiment continuer ? Après tout ?...