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vendredi 4 novembre 2011

Make it right

You are strong enough to do it.

You’re just too weak to believe it.

You are strong enough to do it.

You’re just too weak to choose.

You are strong enough to do it.

You just don’t know if you want it.

But you are strong enough to do it.

Make your own choice. Be sure and proud of witch one you make. They will be definitive and you wouldn’t change them. Trust in you. Believe in your dreams. Wish and hope could kill you but they could make you shine to. You’ve got to make a choice. You couldn’t make wrong. You’ve got only one try. You have to listen your heart and your mind. You’re the only who know. Imagine what could happen in the different cases. If you are the only one who makes your choice, they will be right. Trust you. No doubt. No regrets. Make it.

lundi 24 octobre 2011

What's the mistake ?

Aujourd'hui je rentre. Exténué. Comme d'habitude.
Encore cette impression d'avoir perdue un week end. D'avoir laissé des choses de côté pour pouvoir renverser 17 sangliers sur les rails d'un train. Et si j'avais mieux fait de rester chez moi ? Et si j'étais dans le faux ? Et si je devait tout arrêter. Dois - je continuer à tout sacrifier de jours en en jours pour entendre l'an prochain que ce n'est pas assez ? Jusqu'où dois - je aller avant de réaliser que cela n'en vaut pas (plus) la peine. Combien de temps vais - je encore tenir autant sur le plan physique, que social, que mental, que scolaire ? Ne serait - il pas plus sage de dire stop avant qu'il ne soit trop tard ?
Ai - je le droit de prendre cette décision de tout abandonner ? En ai - je seulement la force ou est - ce que je me contente d'espérer un petite blessure ou une contre indication pour enfin lâcher ce à quoi je me cramponne depuis bien trop de temps ? Est ce lâche ? Oui certainement. Est ce compréhensible ? Moi je le comprend. Mais cela ne m'éclaire pas plus. Comment savoir ce que je dois faire ? Finir cette année sur les rotules ? Sans être sorti ? Sans aucun souvenir extra-scolaire de ma dernière année lycée ? Sans peut - être (sûrement) aucune récompense à la clé ? Et dans l'hypothèse où il y en ait une, ce n'en serait que plus difficile l'année d'après... Est - ce vraiment ce que je veux ? Suis prêt à tout abandonné, à tous vous abandonné, juste pour un petit espoir microscopique d'une vie encore plus fatigante ? Le fait de se poser la question n'est - il pas le début de la réponse comme on dit ? Il y a quelques années voire même moins de temps que cela. Je pleurais quand on me disait que je ne serais pas la pour une séance. Maintenant je regarde l'heure tournait en attendant la fin de cette même séance avec impatience.
Reste - il du plaisir et de l'envie à ce sacrifice ? Je viens d'employer le mot sacrifice.
Quoique je fasse, il est évident que je vais me tromper. Alors le problème est tout autre, comment choisir l'erreur que l'on préfère commettre ?
C'est avec une certaine nostalgie et une petite larme à l'oeil que je vous salue.
Moi

jeudi 20 octobre 2011

Néant

Le néan, non ce n'est pas ce que je ressens là aujourd'hui tout de suite c'est l'état de mon blog. Je n'ose même pas regarder la date de mon dernier article et pourtant, les quelques dernières semaines furent les plus remplies de probablement toute ma vie (jusqu'à présent en tout cas).
Des émotions en pagaille, des changement par poignées, de nouveau partout. Je me demande encore comment je suis debout. Je ne sais même pas par où commencer.
une année calquée très pour trait sur la précédente, mais abordée de manière très différente. Oui c'est ça je pense que je n'ai cas commencer par comparer.
Toujours en équilibre aussi incertain au niveau des "loisirs" mais avec de tous autres objectifs. Toujours en admiration devant quelqu'un. Cependant, l'As à finit par perdre la bataille. J'ai perdu une bataille certes, mais pas la guerre comme on dit. Et je me lance dans un d'une toute autre sorte.
Un nouveau mode de vie.
Un nouvel entourage.
De nouveaux buts.
Et pour finir sur un point pessimiste,
De nouveaux buts, et donc probablement de nouvelles déceptions à encaisser.
Pour une reprise, cela suffira. Mais je vous accorde que j'aurais pu faire beaucoup mieux...
Moi
PS : Nouveau poème dans "Ecris et tais toi".

vendredi 23 septembre 2011

If Only You Know


If only you knew.
If only you know.
More I read this words, more I realize that many people could be concerned.
PS : Nouveau poème dans "écrit et tais - toi"

vendredi 16 septembre 2011

Breath.

Nous vivons dans un monde fait de choix, des choix dont personne ne connait la meilleure option. Souvent on se trompe, très souvent on regrette. Mais on doit les faire quand même. On doit ignorer les conséquence et continuer à sourire, à marcher la tête haute, à faire comme si de rien n'était, et à respirer.
"En chaque pensée comme en chaque larme réside de l'espoir,
et chaque acte nous éloigne du but tant convoité".
Hier j'ai pensé
Aujourd'hui j'ai agit.
J'étais bien mieux hier.
Moi
PS : Nouveau poème dans écris et tais - toi

lundi 12 septembre 2011

When looks and quotes intermingle

"J'ai aimé jusqu'à atteindre la folie.
Ce que certains appellent la folie,
mais qui n'est pour moi que la seule façon d'aimer".
"Quand la folie vous prends elle ne vous quitte plus".
Je crois que je sais maintenant.

mercredi 7 septembre 2011

Who become ?

Qui sommes nous ? Comment peut - on se connaître nous - même ? Qui peut prétendre savoir ce qu'il est vraiment ? Il y a certains traits évident évidemment. Mais ce que nous sommes est en partie lié à ce que nous vivons au jour le jour. Ainsi, nous ne sommes peut - être pas les mêmes que demain ou que dans quelques mois. Comment avancer et décider sans savoir qui l'on est ? Comment se construire un personne sans même savoir qui l'on est vraiment. Faut - il toujours écouter toutes nos idées, même les plus folles, faut - il toujours faire ce que l'on veut au point de se perdre dans notre propre personne ? Je ne sais plus qui je suis, ni qui je veux être ni même la personne que je veux devenir. Alors comment faire des choix au quotidien ? J'ai peur de me tromper, de perdre mon vrai moi, pour m'en construire un autre à l'image des autres. Je... Je ne sais pas bien m'expliquer (ça devient une habitude...). Comment savoir si nos choix ne vont pas nous mener vers l'excès ? le ridicule ? la caricature ? Comment être sûr que nos choix sont bien à l'image de ce que nous sommes réellement ? Avant de faire ses propres choix, il faudrait se connaître. A lors comment apprendre à se connaître ?
Comment savoir que l'on ne se cache pas derrière le masque de quelqu'un d'autre ou à l'inverse qu'on ne s'en construit pas involontairement un qui ne nous correspond pas ?
Je ne sais pas si je dois suivre mes coups de tête et prendre des risque, faire dans le neuf, ou rester calmement à ma petite place.
J'ai relu, et ça ne veut rien dire. Mais en tout cas, je n'ai toujours aucune réponse.
Moi

mardi 6 septembre 2011

LIFE


This is starting again. But I don't want the same. I will not cry again. I don't know if I want forget you or keep you deep inside my head and in my heart. I know I had to move on, but that's not easy. I don't want to be so shy. I don't want to loose as much I lost. I want to hope every days and every nights. I don't want to keep this stars in my eyes. I want they come true. I want to find a place in this world. I want to fing someone too, someone who wants me of course, once it's enough. I want to fly. I want to defy the gravity. I want to shine in my mother's eyes. I want to wear the blue, the white and the red. I want to be the best. I want to do what I want, when I want and with who I want. I don't want to feel the way that I did. I want chase away tears, demons, regrets and disappointment.
So in fact, this year I just want happyness, peace, pride, success, loveand fame. Is it too much to ask ?
...
Hope.

mercredi 31 août 2011

De l'autre côté

L'herbe a toujours l'air plus verte chez le voisin, la vie parait toujours plus facile chez les autres, tout semble toujours bien mieux de l'autre côté de la rue. Pourquoi ? Nous sommes d'éternels insatisfaits. Faisons simplement avec ce que nous avons. Non ? Et pourquoi pas ?
Je ne veux pas (plus) regarder les autres, je veux juste passer de l'autre côté de mes propres barrières. Je veux passer du côté vie grise au côté herbe verte de ma propre vie. Je ne veux pas celle des autres, je veux juste améliorer la mienne. Mais franchir cette barrière n'est pas simple. Ce serait trop beau. Il y a des moyen de défense là pour vous détruire à la moindre tentative de passage. Je n'ai pas le droit à de nombreux essais lors de ma traversée. Souhaitez - moi bonne chance. C'est parti.
Moi

vendredi 19 août 2011

You did.

Dream. Tears. Passion. Work. Fall. Success. Shining.
You have to be the best.
No place for doubts
No time for question.
Someone tell me I could be the best.
No. I lie.
A lot of person told me this.
I finish to believe it.
Il paraît que j'ai tout. Je suis prêt. Prêt à grandir, prêt à sortir de l'ombre et à briller. Prêt physiquement. J'en ai le potentiel. Oui, aujourd'hui tous de nombreuses personne me dise que je touche mon rêve d'enfant du bout des doigts. Pour le saisir, j'ai juste à sauter, à lâcher prise et à me laisser porter. Je dois vaincre ma peur et me laisser imploser. Il faut "juste" que je me libère de mes propres barrières. Comprendre que ses rêves de petit garçon sont finalement inaccessible est évidemment blessant. Mais je pense que savoir qu'il le sont mais que nous sommes nous même notre propre barrière est bien pire. Je ne me comprends pas moi même. Je devrais être prêt à tout pour atteindre mon rêve. Mais non je reste coincé dans ma pauvre petite vie banale, quand je pourrais faire de ma vie exactement ce que je veux.
Allez me comprendre.
You don't belive in me, you ask who told me this, but dear, you forgot that you did.
Je sais, c'est flou,
C'est parce que c'est douloureux.
J'y reviendrais plus tard.
Moi

jeudi 18 août 2011

Hello darkness

Salut toi.
Je t'avais presque oublié. Non évidement, je me souvenais de toi, comme je le ferais à vie, mais j'avais oublie l'effet que tu me faisait. Et là, ben ... ça pique. J'ai peur. Je crains la rentrée. Mais il me tarde tout autant.
A bientôt je t'aime.

lundi 15 août 2011

Hello Darkness.

Un voyage. Un retour.
Des réflections. Un paradis certes. Mais un paradis plein de grands arbres. Et ces arbres sont la cause de grandes part d'ombres. Je me suis retrouvé face à mes nombreuses part sombre. C'est pourquoi ce voyage me semble si mitigé. Je pourrais développé mais je n'en ai ni l'envie, ni le temps, ni la force. Je suis épuisé de ce face à face avec moi même. Comment peut - il y avoir un gagnant, lorsqu'on se bat avec soit même ? Le optimistes diront qu'ils vont forcément gagner, les pessimistes qu'ils vont forcément perdre. Moi je pense que le combats ne se termine jamais, qu'il est éternel. Et je suis fatigué de ces hostilités, fatigué de ce voyage qui m'a mis face à mes principales parts d'ombres. Un voyage positif ou négatif ? Je ne sais pas encore.

jeudi 16 juin 2011

J'ai quelqu'un. Mais lui ne m'a pas. Merde.

Un manque. Oui, il manqué un truc… Mais je ne sais pas ce que c’est… Si bien sûr, je le sais. Il me manque quelqu’un. Quelqu’un pour m’aimer. Quelqu’un à aimer. Quelqu’un avec qui on peut tout partager. Certain d’entre vous vont me dire qu’ils m’aiment et que je peux tout partager avec vous et je vous en remercie d’avance, mais vous savez très bien ce n’est pas de ça dont je parle.

Je veux cette personne. J’en ai besoin. Je me sens de plus en plus seul. Comment faire ? J’ai peur de faire une bêtise, de prendre la première personne prête à m’aimer. J’ai déjà bien faillit le faire avec le Roi (enfin je pense). Je ne veux pas n’importe qui. Je veux quelqu’un de bien particulier, quelqu’un de spécial. Je veux ce quelqu’un qui m’aidera à avancer, qui serait là jour et nuit. Quelqu’un pour qui je serais tout et qui serait tout pour moi. Cette personne seule qui me connaîtrait autant que ma mère, qui me ferait sourire s’un regard dans la pire de situations.

Tout ça m’obsède. J’ai l’impression de devenir fou. Je ne comprends pas bien, je ne sais pas l’expliquer. Peut – être me comprendrez – vous… Sinon, et bien tant pis. Je ne me comprendrais pas seul. Comme d’habitude, comme tous les jours, comme toutes les heures, comme toutes les minutes et les secondes. Seul.

En t’attendant. Moi

lundi 13 juin 2011

Des Hauts & Des Bas

Une bonne Soirée, en haut. Des nouvelles connaissances, en haut. Des Personnes connues, en haut. Des Personnes connues, en bas. De l'alcool, en haut. Des rires, en haut. Des gestes, en bas. Des phrases cultes, en haut. Une voix, en bas. Des souvenirs, en haut. Une odeur, en bas. Des rencontres, en haut. De la musique, en haut. Des pensées, en bas. Une bonne et drôle de nuit, en haut. De l'amour aussi présent qu'absent, en bas.
Très bas.
Mais ne gardons que le positif.

vendredi 10 juin 2011

Lac de tristesse

Aujourd'hui, je vais faire quelque .
. chose que je n'ai encore jamais fait.
Je vais écrire deux articles dans la .
. même journée. Parce que j'ai mal.
Je me sens mal. J'ai froid. Et je me .
. sens affreusement seul, abandonné.
Comme si j'étais nu, au milieu d'un .
. lac gelé, perdu au milieu de la forêt.
Je me suis réveillé là, ne sachant pas .
. ou je suis. Frigorifié et terrifié. Je ne
sais pas nager, je ne peux rejoindre .
. les berges pour me sauver, je peux
juste me noyer dans ce lac de larmes .
. et de regrets. J'y mourrai peut être,
en tout cas, dans le meilleur des cas, .
. j'y laisserai des bouts de moi. Un
bout de coeur par si, un bout d'âme .
. par là... Je me noie. Je coule. Les
bulles s'échappent de ma bouche. Je .
. ne sais ce que je fais là, n'y comment
j'y suis arrivé. Ce que je sais, c'est que .
. je vais y mourir, noyé par la tristesse.

See you next year, you'll miss me.

Vacances. Une année disons partagée. Je l'aurais qualifiée de bonne il y a encore quelques semaines, mais elles se conclut sur de nombreux points négatifs qui font penser la balance. Ou est passé cette année Qu'en restera - t - il dans 10 ans, ou même juste l'année prochaine ? Tout ceci sera - t - il oublié ? Ne restera - t - il rien des choses difficilement construites cette année ? J'en ai bien peur malheureusement...
Un petit pincement au coeur pour les gens que je ne verrais pas de ces deux mois, des gens dont je n'aurais signe de vie et qui m'auront oublié jusqu'à ce qu'ils me revoient en septembre et à qui je penserais tous les jours, tous les soirs. Je retire, c'est un gros pincement au coeur ce soir... Je me fais sensible, ça en deviendrait presque dangereux... Bref. Tu m'oublieras certainement, mais je ne pense pas cesser de t'aimer et de penser à toi. Tu me manques déjà. Et je me sens de plus en plus seul.
Je ne crois pas avoir la force d'écrire davantage. Ce que je sais, c'est que ce soir j'ai envie de t'avoir avec moi plus que jamais.
Moi

mercredi 8 juin 2011

I'm still love you


I'm still love you and I know that that's vain. But I couldn't love someone else because I do not accept not accept any less than someone just as real as fabulous.
Je me sens seul en pensant à toi, et dans mes rêves j'ai embrassé tes lèvres des milliers de fois. Des fois, je te vois passer de l'autre côté de ma porte. Bonjour, est - ce moi que tu regardes ? Je peux le voir dans tes yeux, je peux le voir dans ton sourire, tu es tout ce que j'ai toujours voulu et mes bras sont grands ouverts. Car tu sais parfaitement quoi dire et tu sais parfaitement quoi faire, et je veux tellement te dire je t'aime. Je veux voir la lumière du soleil dans tes yeux et te dire encore et encore combien je m'inquiète. Des fois je sens que mon coeur va déborde. Bonjour. Je dois juste te laisser savoir... Parce que je me demande où tu es et je me demande ce que tu fais. Es - tu quelque part en train de te sentir seul ou est - ce que quelqu'un t'aime ? Dis moi comment gagner ton coeur car je n'en ai pas la moindre idée, mais commence par me laisser te dire "je t'aime".

lundi 6 juin 2011

Version Bisounours

Aujourd'hui, j'ai rêver d'un paradis. Un paradis ou je brillait, ou tu m'aimait et ou tout aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Puis je me suis rappeler avoir manger du Bisounours à midi. J'ai vu la vie côté Bisounours. Puis j'ai digéré et j'ai ouvert lles yeux.

vendredi 27 mai 2011

JDM

Cette journée pourrie, conclue une semaine de merde.
PS : Nouveau poème dans "écris et tais-toi"

lundi 23 mai 2011

100ème.

Je sors de la piscine. Mais l'eau n'a pas su me laver, elle n'a pas su diluer mes peines ni noyer mes larmes. Je pense à cet article depuis ce matin. Depuis même plusieurs jours. Je ne savais pas par où commencer ce 100ème message. J'ai donc relu tout le blog, depuis son commencement. Je pense que cet article est l'occasion de faire un point. Et de vider son sac.
Depuis ces 100 messages j'ai apprit à vivre avec mes démons. J'ai découvert des choses. J'ai grandit, tout simplement. La vie est étrange. Mais ceci donnerait naissance à de longues et lourdes pensées philosophiques, je garde donc ça pour une autre fois. J'ai comprit que je ne pouvais rien changer à certaines choses, qu'il fallait juste avancer, droit devant, en les acceptant à nos côtés.
Depuis ces 100 messages, je me sens régulièrement seul. Et ceci ne change pas. Je me sens à part et sans personne à mes côtés. Ces sensations ont évoluées mais elles n'ont pas disparu. Il demeure toujours en moi ce vide, ce trou, cette plaie béante que seule une personne bien particulière, quelle qu'elle soit pourrait combler. Mais cette personne reste invisible et inexistante. Cette personne bien particulière qui nous fait nous sentir vivant, important. Cette personne que l'on voit jour et nuit, sur qui l'on peut compter en permanence. Cette personne avec qui l'on peut partager la passion pour qu'elle devienne Amour.
Depuis ces 100 articles, j'ai bien cru la trouver. Cette personne est apparue le 2 septembre 2009. Et j'étais bien loin de m'imaginer l'ampleur que cela prendrait. Pendant une année, cette impression bizarre, que je ne connaissait pas. Cette sensation inconnue qui me rongeait. Pendant plus d'un an, cette personne et ce qu'elle m'inspirait ont rempli les pages de ce jardin secret que vous lisez régulièrement (ou pas d'ailleurs). Des lignes de souffrance, de pleurs et de pensées plus que sombres. Des nuits blanches, des cris, des hurlements de détresses, des moments plus durs les uns que les autres. Tout cela pour découvrir ce qu'étais l'amour que je ne soupçonnait pas. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette personne était du même sexe que moi et que ce n'est évidement pas la première chose à laquelle on pense. Et une fois qu'on y a pensé, faut - il encore se l'avouer et l'accepter. Il était une souffrance, il est devenu une lumière. Une lumière qui m'indiquait ma route. Cette route dont on ne peut sauter les barrières, cette route qu'il faut juste prendre dans le bon sens. Et là commença un nouveaux, long et encore inachevé processus d'adaptation. Apprendre à vivre avec soit - même. Après des mois de silences et de rancœur envers moi- même, j'ai commencé à en informer mes plus proches et importantes connaissances. Ce petit groupe s'est peut à peu élargie pour atteindre aujourd'hui le nombre de 21. Peu à peu et avec beaucoup d'aide et de soutient cette haine s'est atténué et s'efface encore de jours en jours. Même si je ne suis pas encore au pays des bisounours, mon château de solitude et de silence, et de douleur a reprit un peu de couleurs. Même si je ne suis plus trop un problème pour moi même cette personne reste encore à ce jour (le mot juste ne me vient pas). Il était une souffrance incompréhensible, il est devenu une lumière effrayante et est finalement passé au titre d'As de coeur. Il est mon élu. Celui avec qui je veux passer mes nuits et que j'aime comme un fou. Celui qui est banal au travers des yeux du monde, mais qui est un dieu sur terre au travers des miens. Celui que seul moi vois sous cet angle et que seul moi peu comprendre ce qu'il m'inspire. Mais malheureusement, j'aime à sens unique. La souffrance s'est transformé en Amour, mais au fond, quelles différences ? Je suis accro. Complètement accro. Dépendant. Addict. Tout simplement amoureux.
Je viens d'écrire un long paragraphe, mais ce message est loin d'être fini. Même si mon as règne en maître incontesté sur mon coeur, mes esprits et ma vie, un petit roi de coeur est venu ébranlé son trône. Peut - être une erreur, car il n'arrivera jamais à la grandeur de l'As. Peut - être juste l'envie d'une chance de plus de trouver cette personne si spéciale, ou peut - être plus. Le temps nous le dira. Mais ce qui est sur, c'est que mon As restera le seul. Le premier. Mon premier. Celui qui m'a ouvert les yeux sur beaucoup de choses, celui qui m'a fait découvrir l'amour, celui qui guide mes jours, celui qui inspire mes écrit et celui dont je rêve la nuit. Celui dont il a fallu apprivoiser l'ardeur pour ne pas y succomber. Celui qui m'a fait souffrir pendant des mois et qui continue dans cette voix, mais pourtant le seul pour qui je donnerais tout.
Au fil de ces 100 messages j'ai souvent porté un masque. Pour ne pas qu'on sache qui j'étais. Mais le problème est que je ne le sais pas non plus, je ne l'ai jamais su. Où trouver sa place, sa personne, son être ? Où trouver qui l'on est sans regarder autour et voir notre différence. Voir cette différence rythmer nos journées ? Comment savoir qui je suis ?
Durant ces 100 messages dont cet amour était le sujet principal j'ai dû faire face, apprendre à relever la tête et faire des câlins pour évacuer la peine. Et qui de mieux pour faire des câlins anti-tristesse qu'une mère. Cette femme merveilleuse qui nous a donné la vie. Je l'aime. A en mourir. Elle garde au plus profond d'elle ma plus grande peur : sa disparition. Je n'y survivrais toujours pas. Même avec vous tous, avec vos mots, votre soutien et tout votre possible, personne ne me sauvera s'il elle n'est pas sauvé. Elle est là pour essuyer mes larmes, pour guider mes pas et surmonter mes faux pas. Elle est une influence indéniable, et d'un pouvoir sur moi inimaginable. Un lien très serré. Bien trop proches. Un proximité qui pourrait nous coûter la vie à tous les deux. Je mourrais pour elle, et je mourais sans elle. J'ai souvent parler de ce besoin vital de l'avoir avec moi, et depuis le temps, il reste inchangé et toujours aussi fort. Maman, je t'aime.
Dans ce 100ème article, j'ai l'impression de me répété, mais je vais juste dire que je fais un point, sur ce qui me ronge, ce que je dois extériorisé pour ne pas me faire détruire de l'intérieur. Ce blog et un piège à malheur. Plongez - y ne serait - ce qu'un doigt, la tristesse et la peine s'empareront de votre âme comme elles s'emparent de la mienne certains jours avant que je les enfermes ici.
Durant ces 100 messages j'ai aussi eu des bonnes choses. Ou du moins un. Que je ne suis pas sur que l'on puisse classer dans les bonnes mais disons au moins dans les moins pires. Une sorte de puching ball, comme ce journal intime. Ou tout s'envole, même moi. Mais où tout n'es pas non plus toujours facile. Un domaine dans lequel les rêves grandissent pour certainement un jour mourir échoués sur la plage. Mais laissons les grandir, ils méritent sans aucun doutes une vie avant qu'on les oublis car ils sont trop irréel. Cet endroit ou la physique n'a plus sa place, où on apprend à la dompter, où les émotions se décuplent pour remplir nos entrailles. Ce monde encore vaste que je dois continuer d'explorer pour en devenir maître. Mais ce dernier oscille lui aussi aux courants de la vie. Et les périodes de creux sont souvent très dures...
Au fil des journées qui ont données le jours à ces 100 articles, j'ai côtoyé la peur. La peur de moi, des autres, de perdre, de perdre quelqu'un, de perdre la vie, d'échouer, de décevoir, de comprendre, de ne pas comprendre. J'ai eu peur d'aimer et j'en ai toujours peur. Ces peur omniprésentes qui me glacent le sang dès leurs approches. Ces peurs, capables de dominer tous ces autres sentiments que j'ai vécu. Le regret, le remord, la déception. L'attirance, la passion, l'addiction, la dépendance, l'Amour. La tristesse, la peine, le j'abandonne tout et je meurs. J'ai apprit, j'ai découvert. J'ai connu mais j'ai aussi perdu. J'ai conter mes histoires comme un conte malheureux. J'ai connu des personnes et des moments inoubliables. J'ai vécu des instants qui seront pour toujours parmi les plus sombre. J'ai vu des hauts et des bas, très très bas. Des choses que je ne revivraient jamais, comme tous nos instants, comme les mot que j'écris, qui sont éphémères au bout de mes doigts mais éternels sur mon écran. J'ai essayé en vain de donner un sens à ma vie, d'en prendre les commandes. Mais je n'ai toujours pas réussi. Dites - moi, faut -il laisser la vie faire de nous ce que l'on veut, suivre les courants et tenir bons lors des secousses ? Ou faut - il s'accrocher jusqu'à l'arrachement des mains au premier objet sur les rives de la vie qui pourrait bien nous sauver la vie ?
Durant ces 100 messages, j'ai vécu. J'ai côtoyé l'indécence et le démons. J'ai joué avec le feu et je me suis brûlé les ailes. Oui, cette phrases est bateau mais je l'aime. Elle est belle. Et vraie. La période de ces 100 articles restera peut - être la plus importante de ma vie, celle qui m'a forgé, celle qui a déterminé qui je serais plus tard, mais tout comme le combat entre l'As et le roi, seul le temps nous le diras.
A la fin de ces 100 messages je me sens seul, sale, et vide. Que reste - t - il de tout ceci ? Il reste des rêves inachevés. Il reste des souvenirs que l'on ne peut effacés. Il reste des peurs que l'on de peut surmonter. Il reste des gens sur lesquels je peux compter. Il reste de la peine qui ne m'a pas encore laissé. Il reste toujours et encore des souvenirs du passé. Il reste les choses apprises. Il reste ce que l'on ne peut vivre qu'un fois. Il reste le sablier de ma vie, même s'il ne reste pas la même quantité de sable à l'intérieur. Mais par dessus tout, il reste un coeur vide et brisé, zone de combat entre un As plus beau qu'un Apollon et un roi plus intriguant qu'un Cupidon. Un coeur qui ne demande qu'à aimer et à être aimé. Il reste ce vide béant que personne n'a combler.
J'écris depuis des heures, je fatigue, je crois avoir fait le tour ( peut - être je me trompe, mais l'heure elle, tourne) et je pense qu'après tout cela, après ces 100 messages et ces milliards de mots et d'idées et de confessions, la meilleure fin pour ce 100ème c'est celle - là.
Moi

vendredi 20 mai 2011

Bonne et mauvaise conscience

Tu l'aimes, plus que tout.
Tu veux le prendre dans tes bras et
savoir que demain, tu te réveilleras
à ses côtés.
Il ne t'aime pas ! Et il ne le fera
jamais ! Tu as tord. Laisse - le
partir, oublie - le. Et profite de la vie.
Mon petit démon, tu oublie l'Amour.
Je ne peux pas l'oublier, je ne veux pas
l'oublier. Il est et restera le premier.
Le seul, l'unique.
Il y en aura pleins d'autres, et plus vite
tu l'auras compris, mieux tu te porteras
Il t'ignore, il t'a probablement déjà
oublier, il ne connaît plus ton nom ni ton
visage. C'est juste un fardeau.
C'est toi qui a tord. Il est beaucoup
plus que ça. Il m'a ouvert les yeux et
le coeur.
Il est le fardeau qui fait sombrer ta
montgolfière.
Il est la flamme qui la fait voler.
Coupe les câbles de ce poids mort !
Laisse - le s'écraser au sol !
Non, ravive sa flamme pour aller plus
loin, plus haut.
Et le roi alors, mon petit ange, qu'en
fais - tu ? Par dessus bord ?
Je...
Eh bien oui ! C'est cela ! Tu n'obtiendras
jamais rien. Abandonne. Capitule. Il faut
savoir laisser gagner l'adversaire quand la
victoire n'en vaut pas le coup.
Elle la vaut ! Largement !
Qu'en sais - tu ?
On l'ai rêvé. On l'ai vécu. Plusieurs nuits,
plusieurs jours. Et je suis sur d'une chose.
Laquelle ?
On l'aime. Nous trois. Même toi, aussi
cruel et démoniaque sois - tu. Tu ne peux
qu'envier son pouvoir sombre d'addiction,
et ses charmes envoûtants.
Jaloux, voilà la meilleure.
Oublies - le.
Ne l'oublie pas.
Détruis - le.
Reviens vers lui.
Écrase - le.
Admire - le.
Tue - le !
Aime - le.
PFFFFF
PFFFFF
Me voilà bien avancé.
Merci, mes consciences...

jeudi 19 mai 2011

Les 7 erreurs.

Sentir quelque chose. Quelque chose de différent en soi. Sentir cette chose nous éloigner, nous tenir à l'écart. Voir un groupe et dire, non, je ne suis pas comme eux. Non, je ne peux pas être avec eux, on est trop différents. Je suis trop différent. On peut changer, se fondre dans la masse, mais on est plus soi même. Que choisir. L'envie & la jalousie. La jalousie d'être dans ce petit groupe qu'on observe en détails en cachette dès qu'on le peut. Je suis une plaque de jeu des 7 erreurs. Je ne sais juste pas si certains aspect sont des erreurs à trouver, des différences recherchées, ou des défauts d'impressions de l'illustration. Mais entre nous, le choix se fait entre erreur, différence et défaut. Pas très réjouissant.
Moi
Certes ce n'est pas très long,
mais j'ai pleins de choses à faire

lundi 16 mai 2011

En rond

Je vais essayer d'écrire. Cela fait plusieurs jours que je voulais écrire, mais je n'ai pas pu trouver l'occasion de le faire. Donc plusieurs jours que de nombreuses choses s'entassent en se nouant dans ma tête. Aujourd'hui, je suis là pour essayer de démêler tout ça. Je pense que je vais rester bref, pour ne pas passer pour un fou.
Le roi de coeur semble être une erreur. On dirait qu'il s'efface de plus en plus chaque seconde, mais ces secondes forment des minutes, et après chacune de ces minutes, il s'ancre de plus en plus en moi. J'ai l'impression de m'être trompé. D'avoir seulement succombé à la curiosité, à l'espoir infime. Mais pourtant, ce n'est pas aussi simple.
Après plusieurs semaines (31 jours pour être exact) l'As de coeur est réapparut. Furtivement, peut - être un quart de seconde seulement. Moins. Furtif. Mais plus beau et fascinant. Mais... Trop compliqué, flou, et un tantinet douloureux pour en parler déjà.
Je me rend compte que cet article n'avance pas à grand chose. Je pense juste que le retour en puissance de l'As va faire assez évoluer les choses. Peut - être pas du meilleur côté cependant.
Toute la journée, j'ai eu des milliers de choses qui me sont passé en tête, dont je voulais parler, et là, Je tourne en rond. Plus rien. Le vide. Le néant. Je tourne en rond je ne vois plus rien. Je ne sais plus, je ne comprends plus. Je tourne en rond. Je ne pense plus, je n'y arrive plus, tout ce que je fais c'est faire tourner mes pensées en rond. En rond autour de l'As unique.
"Tu es un merveilleux criminel,
descendu tout droit du ciel.
Tu es un magnifique voleur,
dont la plus grosse prise reste mon coeur."
Moi

dimanche 8 mai 2011

As de Coeur

Tu es mon Coeur, mon seul, mon unique, mon As. Tu es mon As de Coeur depuis un moment. Tu règne sur l'empire qu'est mon âme, tu dirige selon tes envies. Tu es mon premier, celui qu'on oubli pas, celui à qui on pardonne tout. Celui dont on rêve nuit et jour, celui à qui on veut donner tout son Amour. Ma vie est un jeu de carte, un jeu de hasard. Tu y règne en mètre en emportant tout le reste à chaque apparition. Mais aujourd'hui les règles sont remises en jeu alors qu'un roi de coeur s'approche pour te détrôner. Le laisseras - tu prendre la place à laquelle tu ne tiens pas ? Le laisseras - tu te voler ton royaume. Ce roi de coeur s'empare chaque jour d'un peu plus de mon coeur et de mon âme et tu grandit en même temps. Vous me prenez tout ce que j'ai à donner. Vous emportez tout. Et tout ça pour rien. Car rien ne prouve que ni le grand As de Coeur ni le petit roi montant ne s'intéressent au Royaume qui vous est offert. Battez - vous mes Coeurs, jusqu'à votre dernière carte.

dimanche 1 mai 2011

Imagine

Imagine there's no limite to your imagination. Imagine all your dream could be achieve. I dreamed a dream where everything was possible. It was a place where your convictions couldn't stay. A place where there's only one low : yours. In this place, you're my king, my best, my love. It was you and my, you were my last and my only god. But it was just a dream.
In our real world, I just can love you secretly, hoping one day, you make my dream come true.

jeudi 28 avril 2011

Just I Love You


I've give you my heart someday
But now, you've put him away.

mercredi 27 avril 2011

A une amie...


Madame, Monsieur
Bonjour, je m’appelle Tatouhamé. Je vis dans un tout petit village de l’Afrique. Cette année, mon père est parti à la guerre, des soldats nous l’on ramené quelques jours après sont départ : il avait marchait sur une mine et ses deux jambes avaient été arrachées. Cette vision ne me quittera jamais. Il est mort de douleur en moins de 24h. Le mois dernier, ma mère m’a quitté aussi. Elle se privait de manger pour que je puisse me nourrir à ma faim. Je l’ai vu s’éteindre à petit feux mais elle refusait de me prendre la moindre part de notre nourriture. Elle est morte dans mes bras en me faisant promettre de rester fort.
Bonjour, moi je m’appelle Zoéliosa. Ma petite fille de 7 ans a été récemment enlevée par le village voisin contre qui nous sommes en guerre depuis des générations. Ses voleurs d’enfants nous ont fait comprendre qu’elle souffrirait du plus qu’ils le pourraient. Pendant une semaine, nous avons entendu ses cris et ses pleurs à longueurs de journée. Ce n’était plus des cris, mais des hurlements mais nous sommes en nombre inférieur et nous ne pouvions donc rien faire. Aujourd’hui, le silence qui règne dans nos deux villages en dit beaucoup plus que les cris d’agonie de la veille.
Bien sûr, je ne m’appelle ni Tatouhamé, ni Zoéliosa. Je n’ai ni perdu ma fille, ni perdu mes parents. Heureusement pour moi d’ailleurs. Je suis juste gay, et même si c’est loin d’être le pire des problèmes du monde, ce n’est pas facile tous les jours. Je me permets juste de vous écrire pour vous dire que sans le soutien de ma mère à ce sujet, je ne serais certainement plus de ce monde. Même si la plupart de mes amis m’ont soutenu du mieux qu’ils le pouvaient, rien ne remplace la force de l’Amour d’une mère.
Vous avez une fille merveilleuse : bien élevé, sérieuse, très intelligente, mature, et pourtant pas moins agréable, ni inintéressante, ni dépourvu d’humour. Nous sommes bien d’accord, elle a fait une erreur, je pense qu’elle le sait bien assez d’elle-même. Mais entre nous, qui peut se vanter ne n’en avoir jamais commise aucune ? Surtout dans le domaine des sentiments. Je pense que vous êtes en mesure de comprendre que lorsque l’on aime une étincelle s’enflamme très vite quitte à devenir un désastre.
Je comprends votre position, que cela vous blesse et que vous lui en vouliez. Mais elle a besoin de la douceur de sa maman pour la rassurer et la réconforter, et de la force de son papa pour avancer. Elle a voulu s’en sortir seule, elle n’a pas réussi, elle s’est tournée vers vous, vous l’avez repoussé. Que vous lui en vouliez est normal, mais je sais qu’elle a besoin de vous, de votre amour et de votre soutien.
Rien au monde ne peut remplacer l’appui qu’un enfant doit avoir sur ces parents, pas même tous les amis du monde, je le sais par expérience. Sans cet appui, les choses sont plus dures encore, et peuvent rapidement anéantir la vie de quelqu’un au point qu’il veuille la quitter. Imaginez quelques secondes que votre enfant, votre petite fille décide de partir. Définitivement. Ne vous en voudriez – vous pas de l’avoir laissé seule face à cette épreuve ? Je sais que vous êtes malheureusement bien placé pour savoir que cela peut arriver à n’importe qui et n’importe quand.
Elle savait qu’elle vous décevrez en vous annonçant les choses qu’elle vous a dite. Mais elle a mis en jeu toute la confiance et l’Amour qu’elle avait en vous. Elle souffre de votre abandon. Elle vous aime plus que tout au monde, et ça, je le sais. Je sais que vous l’aimez également, c’est votre petite fille chérie. Et rien ne pourra jamais vous l’enlevez. Mais aujourd’hui elle à besoin de ses parents plus que jamais. Elle vous a déçu mais il y a bien pire au monde qu’une erreur de jeunesse. Alors ne laissez pas ce faux pas détruire la plus belle chose qui soit au monde : l’amour immense qu’il existe entre parents et enfant.
J’espère que cette lettre pourra vous faire prendre conscience à quel point vous êtes indispensables à votre fille.En espérant que vous reviendrez vers elle, salutations.

Quelqu’un qui sait à quel point ses parents manquent à une petite fille et qui pense que cette fille manque tout autant à ses parents.
PS : Votre fille vous aime, et elle a besoin de vous.

lundi 25 avril 2011

Y & Y

dimanche 24 avril 2011

Pensées

On pourrait croire que mon long silence implique une amélioration. Il indique juste un manque de temps. Rien n'a changé. Rien ne change. Qui peut dire que quelque chose changera ?
Je réfléchis, je pense. J'essaie de comprendre ce que l'on doit au monde, ce qu'il attends de nous. Ce que l'Homme à fait. Pourquoi il l'a fait. Je réfléchis à ce que je veux à ce que je n'aurais pas. Je pense aux choses sur lesquelles je ne pourrais jamais revenir. C'est les erreurs qui nous font avancer, mais si les erreurs nous coûtent plus que ce qu'elles nous apprennent ? Comment doit - on réagir ? Comment survivre ?
Comment vivre avec le regret dans lequel je me noie aujourd'hui ? Mais idées sont floues, j'ai légèrement bu. Mais pas assez pour oublier. Rebondir ? Sur quoi ? Vers où ?
Doit - on risquer de se tuer pour enfin vivre ? Je veux que l'on m'enterre avec mes regrets, pour qu'ils se nourrissent de mon âme pour l'éternité. Tout ceci est à double sens mais n'en a aucun.

mercredi 30 mars 2011

Je voudrais savoir...

Tu es toujours ma référence,
Ma première influence,
Le seul qui a su me mettre en transe,
Je ne veux pas te perdre.
Une question me hante cependant, qu'en penses - tu ... ?

vendredi 25 mars 2011

You survived

J'avais peur. Peur de te perdre. Peur que tu me haïsse, que tu me bannisses. Je penser bien le contraire mais ça m'effrayer. Je savais que si tu ne le faisais pas, mon coeur le ferais tout seul. C'est à chaque fois pareil. Dès que je révèlent un secret sentimental, il perd toute sa valeur à mes yeux. J'avais donc peur de te voir t'effacer aussi vite que tu es apparu. Je ne voulais pas te perdre. Tu me ronge, tu me détruis. Mais je t'aime. Beaucoup. Beaucoup trop. Beaucoup trop pour te laisser d'évaporer. J'ai pourtant craquer, de chagrin, de fatigue et d'amour, j'ai craqué et j'ai tout dis. J'en ai pleuré. Ça oui, des jours et des nuits. Je pensais te perdre, te sentir quitter mon coeur que tu avais transpercé et torturé mais qui t'aimait comme un fou. Et tu es parti.
Tu es parti tu n'y étais plus. Où étais tu ? Qui t'a remplacer ? Personne. La place était libre, mon coeur était vide. Désert. Triste. Et vide. Je ne te voyais plus. Nulle part. Puis tu es réapparut. Tu es revenu en force reprendre le royaume dont tu es le roi incontesté. Tu as repris ta place et ta vie. Je t'ai rendu ta place et t'ai laissé ma vie. Je ne vit plus que pour toi. Tu es partout. Tout me fais penser à toi, je te voir je pleure. Un oeil pleure de tristesse, l'autre pleure en t'admirant.
Tu n'aurais pas du survivre. Tu aurais du t’effacer, comme ton nom sur le sable, ou sur l'écorce. Tu n'aurais pas du rester comme ton nom reste dans mon âme. Je souffre en silence et en souriant. Je me dis dès que je te croise "il sait", je me dis dès que je te regarde " jamais". Alors je pleure. je pleure sans compter, je pleure toute la nuit. Je pleure de toute mon âme, en essayant de consoler mon coeur.
Je ne veux pas que tu partes, je préfère souffrir. Je veux t'aimer. T'aimer comme un fou, sans limite car j'ai besoin de toi pour avancer, pour me construire, tu m'es indispensable je veux te garder près de moi. Peut-être au détriment de quelque chose d'un peu moins beau mais partagé. Mais peu m'importe, c'est toi que j'aime, toi que je veux. Si tu n'es plus là je serrais vide, je serais malheureux. Je veux continuer à t'aimer le jour à t'aimer la nuit. Je veux continuer à te serrer dans mes bras dans mes rêves et à sentir ton odeur et le gout de tes lèvres.
Ça fait beaucoup ça veut rien dire je sais. Mais je ne peux pas mieux l'expliquer. C'est flou. Tu es la tu ne devrais pas. Je pense je ne devrait pas. Tu m'évite je le vois, tu ne devrait pas, tout es clair, même mes larmes. Je t'aime et je ne devrais pas.
Oui c'est pitoyable, oui c'est pathétique. Non je ne devrait pas t'accorder autant de mon âme, de mon coeur, de mon temps, ou même d'article. Je ne devrais pas te céder autant de larmes, mais après tout, quand on aime, on ne compte pas.
Je veux continuer à t'aimer le jour
à t'aimer la nuit.
Je veux continuer à te serrer dans mes bras dans mes rêves
et à sentir ton odeur
et le gout de tes lèvres.
Ps : Nouveaux poème dans écris et tais toi

lundi 14 mars 2011

Hystérie intérieure

J'entends mon âme rire. Ce rire nerveux et hystérique se moquant de moi. De ma naïveté. Ce rire hideux résonnant au fond de moi dans des hurlements " MAIS A QUOI T'ATTENDAIS TU DONC ?! ". Il ne me lâche plus. Je l'ai avec moi jour et nuit. A chaque pas, à chaque réflexion. Je l'entends me rappeler qu'au fond de moi, tout étais possible, alors qu'à l'extérieur seul le néant l'était. Je suis partagé en deux. Une partie brisée qui pleure intérieurement à longueur de journée, et la seconde qui se moquant d'un rire machiavélique de la première. Les "je te l'avais dis", "tes pitoyables espoirs me font rire" et autre" petits inconscient complètement stupide" m'occupe la tête. Je pense que l'image parlera beaucoup mieux que les lignes que je pourrais rajouter.
En tout cas, mon esprit hystérique et partagé affichera toujours la tête qu'il doit afficher.
Moi

mardi 8 mars 2011

Absence

Ce soir tu me manques et je pense à toi. Je m'oblige à penser à toi car tu t'efface et je ne veux pas te perdre. Tu disparaît peu à peu, mais où donc vas tu ? Reste. S'il te plaît, reste et aime - moi, j'ai besoin de toi et de tes bras, de ton corps, de ton odeur et de ton âme. Reste.
PS: Deux nouveaux poèmes dans "écris et tais - toi"

dimanche 27 février 2011

Espérer sans espoir

J'y croyais pas vraiment. Coup de théâtre. Je me suis retrouvé noyé dans l'espoir en sachant que la chute serait rude mais je ne pouvais me défaire de cet espérance qui coulait dans mes veines. Second coup de théâtre. Tout s'est écrouler. Le petit nid de coton où je me lovait s'est refermé sur moi pour m'étouffer. La flamme qui réchauffait enfin mon âme s'est embrasé pour laisser mon coeur dans un brasier. L'espoir qui me faisait relever la tête s'est abattu sur moi comme la lame d'une guillotine. Tout s'est écrouler plus rien ne pouvais changer.
Quelques jours après je retrouvais mes esprits. Ou plutôt ce qu'il en restait. Un élan de courage m'a permit de t'ouvrir mon coeur. Tu as ôtais le coton qu'il restait dans mon cocon, tu as soufflé sur la flamme qui se battait pour survivre en moi, tu m'as ôte tout espoir. Est - ce que je vais bien ? Je ne sais pas. Est - ce que je vais mieux ? Je ne saurais répondre. Je suppose que oui. Je pense que seul reste le regret et la tristesse. Mais ce n'est probablement à la hauteur de la douleur que je ressentais avant. Ou alors c'est que je n'ai pas encore retrouvé mes esprit. Je ne suis plus vraiment là. Je ne sais pas où je suis. Je suis perdu. Perdu dans ma tête et dans mes sentiments. En tout cas je continue d' espérer. Sans coton, sans flamme, et même sans espoir, je continue de charmer l'espérance.
Qu'est ce que l'espoir ? La force qui nous pousse à avancer ? "L'espoir fait vivre". Je ne sais pas j'aurais plutôt dis qu'espérer tue.
Je ne sais plus ou j'en suis. Je ne sais plus, je ne sais plus rien. je vais attendre. Attendre, en espérant sans espoir.
Moi
PS : nouveau poème dans " écrit et tais toi "

lundi 14 février 2011

C'est qui ce putain de Valentin ?

Cette journée restera certainement dans ma tête comme la pire de mes Saint Valentin. Et pourtant tu étais là. Tu étais là, mais tu n'étais pas avec moi. Tu étais dans ma tête et dans mon coeur. Mais je n'était même pas dans tes yeux, tu ne me voyais pas quand mes yeux se consumaient à ta vue, ni même quand ton odeur faisait couler mes larmes alors que ton rire résonnait dans mes oreilles.
Je t'aurais offert des roses, un poème, un cadeau hors de prix, mon coeur, la lune ou même ma vie si seulement tu m'aimais. Mais ce n'ai pas le cas. Je laisserais donc tous ces présents pourrir au fond de mon armoire sans jamais les donner à personne, car ils ne sont tous qu'à toi. Pour toujours. Et même sans ton amour.
En t'aimant plus que jamais je vous laisse,
Moi

vendredi 4 février 2011

TouT

TouT. Je suis prêt à tout pour toi.
Tu es sur un lit d'hôpital, prêt à subir une grave opération, tes amis, ta famille sont là. Mais moi je n'y suis pas. Tu te réveilles après l'opération, ta famille et tes amis sont toujours là, moi je n'y suis toujours pas. Les heures d'après, tout le monde te téléphone pour avoir des nouvelles. Moi non. Les jours d'après, je n'ai toujours pas prit de tes nouvelles. Après ta sortie de l'hôpital je ne te parle toujours plus. Tu rentres chez moi et trouve une enveloppe portant ton nom. Tu l'ouvres. "Je t'aime pour toujours, chaque jour de ma vie, je ne vivais que pour toi. Mon coeur t'a toujours appartenu jusqu'à ce que je te le donne. A jamais."

jeudi 3 février 2011

I'm on the wrong way

If you are different,
if you are in the wrong way too,
raise your hands.
I don't have a lot of time. But too much to say. That's why I vais continuer en français. Cela fait bien trop longtemps que je n'ai pas écrit. Je ne vous ai pas dévoiler mon jardin secret. Mais de toute façon qui cela intéresse - t - il ? Non ne répondez pas s'il vous plaît...
Je sombre. Je le sens bien. je me rend malade, je glisse inexorablement contre les parois d'un puits sans fond. Je rencontre quelques fois une petite branche verte qui s'est fait un passage entre les pierre dures et froide, mais cette petite plante ne résiste jamais bien longtemps. Alors je tombe encore. Et pendant que mon corps chute, mon esprit tourne. A plein régime. Je réfléchis sans cesse sans trouver de réponse ni de solution. Alors j'encaisse tout les coups à mesure que je descends...
Je ne demande pourtant pas la lune.
Peut être remarque... Je pense avoir plus de chance d'attraper la lune au creux de ma main.
Je voudrais partir. Là où tout n'est qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté.
Mon enfant, mon coeur, songe à la douceur, d'aller là bas vivre ensemble. Aimer à loisir. Aimer à mourir. Au pays qui te ressemble. Les soleil mouillés de ces ciels brouillés, par mon esprit ont les charmes si mystérieux de tes traîtres yeux, brillant à travers leurs larmes. Là où tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, polis par les ans, décoreraient notre chambre. Les plus rares fleurs, mêlant leurs ôdeurs aux vagues senteur de l'ambre. les riches plafonds, les miroirs profonds, la splendeur orientale, tout y parlerais, à l'âme en secret, sa douche langue natale. Là où tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux, dormir ces vaisseaux dont l'humeur est vagabonde. C'est pour assouvir tes moindre désirs, qu'ils viennent du bout du monde. les soleils couchants revêtent les champs, les canaux, la ville entière, d'hyacinthes et d'or. le monde s'endort dans une chaude lumière. là où tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté.
Je veux partir là bas. Avec toi. Mais je ne peux pas.
Et si de l'obtenir je n'emporte le prix,
J'aurais au moins l'honneur de l'avoir entreprit

lundi 17 janvier 2011

Ruine et silence

Par où commencer quand l'esprit n'est qu'un désert de ruine ?
Je vais m'efforcer de tout remettre en place avant de parler
Comme on dit, si ce que tu as à dire n'es pas plus beau que le silence, alors tais toi.
Je vais donc me taire. Car mon récit est moche. Très moche.
Mes Ruines

mercredi 12 janvier 2011

Si seulement...

J'écrirais. Si seulement j'avais le temps, j'écrirais des mots, j'écrirais ma vie, j'écrirais mes larmes. Si j'avais le temps. Mais je ne l'ai pas. Alors je pleure doucement.

lundi 3 janvier 2011

Le son de la Mort

Rentrer chez soi en pleurs Rentrer en ayant mal au coeur
Écouter les parents parler
Écouter les enfants crier
Et entendre très proche
Que sonnent les cloches
Annonçant la disparition,
Causé par la trop grande passion
Du coeur qui la portait,
De celui qui aimait.
écrit en moins d'une minutes car je dois aller manger pour survivre
Bonne rentrée,
Moi