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lundi 30 décembre 2013

One more time



"Toutes les plus grandes rencontres ont toutes commencées par un Bonjour"

'La conversation est l'art de ne rien dire en parlant beaucoup"

"Le bonheur commence souvent par un sourire plein d'espoir et d'idée tournés vers l'avenir"

"On se partage nos balafres et la voilà c'est l'évidence"

"L'importance que l'on accorde à une personne augmente en même temps que la distance qui nous sépare d'elle"

"De la romance tard le soir des SMS, des e-mail"

"Rien n'est permanent sauf le changement"

"Le silence est un aveu"

"Dans le doute (car "La vie ne remplit jamais ses promesses"), nul ne désespère. Bien au contraire"

Et voilà où nous en sommes...

"Le problème c'est que même si tu m'disais "je t'adore" j'te croirais pas ! 
Je sais plus quand tu joues et quand tu joues pas. J'suis perdu...
Attends deux secondes, j'ai pas fini... 
Dis moi qu'tu m'aimes... Dis moi juste que tu m'aimes. 
Parce que moi j'oserai jamais te l'dire le premier. 
J'aurais trop peur que tu crois qu'c'est un jeu..." 

dimanche 22 décembre 2013

Quand il ne s'agit de rien


Ce soir j'ai plusieurs choses à dire. J'aurais aimé les développer toutes davantage mais je pensais disposer de plus de temps. 
Je dois avouer que je m'en veux un peu. Je m'en veux d'être aussi instable, de ne pas avoir le total contrôle de mes émotions. Je m'en veux de basculer devant une image, un message ou simplement quelques mots. De brèves divagation, une association d'idée et tout s'effondre dans ma tête, tout change. Je m'en veux de ne pas avoir été capable de m'amuser et d'avoir trouver un moyen de m’attrister devant l'un des plus beaux tableau qui soit. Je regrette que ce tableau noircisse mes pensées au lieu de mettre des étoile dans mes yeux et de l'espoir dans mon cœur. Je m'en veux de toujours tout transformer en une source de soucis quand ça devrait être une source de bonheur et d'espoir. 
Je crois bien que j'arrive à gérer une situation tant que c'est moi qui décide, moi qui pilote, qui prend les décisions. Dès lors que cela ne dépend plus de moi, je ne répond pas de mes réactions, je les subis. C'est désolant. Je n'arrive pas a attendre pour voir. Je veux pouvoir faire comme je l'entends. Et quand ce n'est pas possible, c'est le cataclysme psychologique. 
Il y a quelques temps, j'écrivais que je ressentais quelque chose de nouveau, que je ne connaissais pas. Je ne pense en fait aujourd'hui que c'est la situation qui a changé. Savoir qu'un futur est possible autrement que sous la forme d'un fantasme qui nous hante tous les soirs modifie ma manière d'appréhender la chose. Je sais pas trop pourquoi je raconte tout ça, on s'en fout.
Evidemment, n'oublions pas de souligner que toutes ces émotions, sensations changeantes sont probablement alimentées par l'état physique déplorable dans lequel je suis. 
Moi
"I keep running into walls that I can't break down
I said I just wander around
With my eyes wide shut because of you
I'm a sleepwalker"

vendredi 20 décembre 2013

Lost in this all same mistakes.


"That's what is crazy, when it's broken you say there's nothing to fix
And you'll pray, pray, pray, that everything will be Ok
While you're making all the same mistakes."

J'ai l'impression d'être dans un labyrinthe. Je cours en cherchant la sortie, changeant toujours de direction, ne sachant laquelle suivre. Lorsque je décide de poursuivre dans celle que j'ai prise, j'ai l'impression d'avoir tord. Quand je préfère faire demi tour et emprunter une autre voie, je sens que je fais fausse route également. J'ai l'impression de devoir faire des choix et que quelqu'en soit l'issue, ce ne sera pas la bonne. J'ai l'intime conviction de me tromper à chaque décision que je prends. J'ai ce goût amer de l'échec inutile. Cet échec dont on n'a rien appris, qui ne nous a rien enseigné. Cette erreur que l'on a déjà faite plusieurs fois et qu'on refera encore à coup sûr.
J'ai l'impression d'être perdu dans un monde que j'ai moi - même bâti. Je me sens prisonnier de mes décisions. Je ne sais dans quelle direction regarder, je ne sais ni à qui ni à quoi me fier. Je suis perdu au milieu de tout ce que j'ai entrepris, comme si je n'avais pas assez de bras pour tout retenir. C'est comme si ma vie m'échappait. Déceptions sur déceptions. Echecs sur échecs. Mais à chaque fois je me relève, certes. Et à chaque fois, je me débrouille pour me faire frapper plus fort, comme si ça m'amusais de trouver les meilleures idées pour me détruire.
Je suis dans l'un de ses instants ou je dois savoir ou je vais. Je dois en être sûr. Ne rien laisser interférer à mon avenir. Et tout ce que je trouve à faire, c'est me rajouter d'énormes troncs au milieu de la route. Gérer tout ça me fait douter. Au final, je ne suis plus sûr. Ni impliqué comme je le devrais dans aucun de tous ces domaines que j'essaie de cultiver et de faire briller.
C'est ainsi qu'en voulant tout, un jeune rêveur, n'obtiendra certainement rien.

"And tonight I'm feeling like an astronaut
sending SOS from this tiny box
And I lost all signal when I lifted up
Now I'm stuck out here and the world has forgot"

jeudi 19 décembre 2013

Beyond the limits


Quand on sent qu'on ne peut plus. Que tout se dont on a besoin est de s'endormir pour longtemps et de se réveiller peut - être un jour où toute cette douleur sera loin. Quand on sait pourtant que l'on ne se laisse pas le choix, que l'on est son propre obstacle au calme et au repos. Quand dans les jour comme ça on doute de tout, que l'on n'a plus foi en rien mais qu'on doit avancer la tête haute et se dépasser encore plus tout en sachant que l'on se détruit juste un peu plus chaque jour.

"You should open your eyes
but they stay closed.
I can't be no Superman, 
but for you I'll be SuperHuman."

dimanche 15 décembre 2013

Un jour de pause


Je suis exténué. Je n'en peux plus. Respire. Quelques secondes, souffre, réparare ce que tu peux, plonge, touche le fond et repars. Tu n'as que quelques heures. Checkpoint and do it again.
J'ai mal, je suis désolé, je doute. Je ne suis plus sur, j'ai envie, j'ai peur. Je ne suis plus vraiment moi, je change, je me découvre. Je continue, je fais, refais, rerefais. Je fais surtout ce que je peux, à tout niveau. Il y a des mots, des avis, des conseils.
Il y a cet étrange futur, cet étrange passé et ces étranges choses autour de nous que l'on ne voit pas. Il y a ces choses que l'on cherche temps puis qui arrivent mal. Il y a du travail.
Ce ne sont que quelques mots.

"You put your arms around me 
and I'm home"

mercredi 27 novembre 2013

69


Eh voilà. Nous voici reparti pour une inversion de vase. 
Je vais devenir fou. Cette année aura raison de moi et surtout du peu de cohérence qu'il restait dans mon esprit. 

"Souvent je crois tellement
En ce qui n’existe pas
Pour m’inventer un monde
Où l’on serait toi et moi
Peut-être un peu trop beau
Moi comme-ci et toi comme-ça"

lundi 25 novembre 2013

Psychanalyse.



Il parait que j'arrive à me cerner. Que j'arrive à bien m'auto analyser. Si j'arrivais à analyser les autres, ça serait bien plus pratique.
Analysons moi donc. Ce qui est indéniable, c'est que je m'enflamme. J'ai même pas le temps de le dire que pouf, je suis déjà cramé. Je suis impatient. J'ai hâte. J'ai tellement attendu que je veux pas perdre une fois de plus. Mais Rôme ne s'est pas construite en un jour (je la verrais quand cette merveille ? Dans trois ans ?). Je n'en ai aucune idée. Je peux travailler, apprendre patienter un peu. Mais qu'est ce qu'on appelle attendre ? Où est la limite entre une attente compréhensible et une attente qui ne mènera plus à rien ?
Je ne fais que changé d'avis et je n'arrive plus à me suivre moi même.  Je suis pire qu'une fille (ce qui est déjà dur à suivre) qui arrête de fumer. A un moment je suis euphorique sur mon petit nuage et la minute d'après j'ai l'impression de m'être une nouvelle fois lamentablement vautré. Puis un message et me revoilà au Nirvana. Quelques heures, un mot mal interprété (ou peut être pas d'ailleurs) et me voici à nouveau au fond du trou. Et ainsi de suite tout au long de la journée.
J'ai envie de savoir. Envie de comprendre. Je répète que je serais prêt à t'attendre. J'aimerais juste savoir ce que toi tu attends. Je ne veux pas demander, je veux pas paraître brusque. Mais si ton jumeau maléfique ne se manifestait pas si souvent et que tes réponses tendaient toujours vers le même point, je pense que les choses seraient probablement plus simple. Je ne sais pas si je dois te laisser le temps de venir vers moi de toi - même au risque de te laisser t'éloigner ou si je dois tout tenter pour ne pas te laisser disparaître dans mes souvenirs au risque d'être trop insistant.
Je sais pas comment gérer tout ça. On me dit de rester calme et de voir comment les choses tournent. Mais entre nous qui peut le faire ? Qui arrive à rester calme et à attendre ? Surtout pas moi en tout cas ... Je voudrais hein, je ne demande que ça. C'est peut être ce qu'il fait et si c'est le cas, je le déteste autant que je l'admire.
Je le déteste où je l'admire ? Faudrait savoir...? Teh, encore un bel exemple de bipolarité. Non évidemment je ne le déteste pas. Je le trouve attachant. (Attention, vu la tournure de l'analyse, je dois prendre garde aux adjectifs employés ici...). Oui, attachant c'est un bon début. Intéressant aussi. Contrairement aux autres fois, je ne dirais pas parfait. Non pas parce que la perfection n'existe pas (moi je suis sur que si), mais juste parce que ce n'est pas ce qu'il m'évoque. J'ai envie d'en savoir plus, d'apprendre à le connaitre. Pour une fois fois aussi, je sais ce que je veux... C'est rare.

Je pense avoir fait une bon travail pour cette première séance. Mais au vues des événements de la soirée, d'autres seront certainement nécessaire.
Moi.

" Cause this love is getting dangerous, 
but I need some more tonight"

Au centre de la multipolarité.


J'aurais des milliards de choses à dire en cette soirée déjà bien avancée. Des bonnes choses et d'autres moins. Mais il y a tellement que je voudrais partagé que mes doigts ne tapent pas assez cités pour suivre le fil de mes idées.
Cela fait quelques heures que je réfléchis aux mots que je vais mettre dans cet article. J'ai pensé à un saut à l'élastique, j'ai pensé à une chanson, j'ai pensé à un dialogue entre mes mois, j'ai pensé à du sarcasme. Mais au final rien de cela ne sort. Une fois de plus je n'arrive pas a retranscrire ce que je ressens ni ce que je pense et je dois avouer que ça m'énerve. J'ai des questions, des doutes, des choses à dire, à hurler peut être même. Mais rien ne vient. Et tout ça bout en moi.  On verra. Il paraît que c'est ce que je dois me dire. 
Moi. 

"Il faut environ 90 secondes au cerveau
pour décider s'il va aimer ou non une personne"
Et c'est à peu près le temps qu'il m'a fallut. 

mardi 19 novembre 2013

Never felt this way...


Yes, No, Maybe. I don't know. Can you repeat the question ? I think that he makes me mad. More than what I was. Quiet. Invisible. Maybe dead. And then, some little words, a smiley and I smile. Childish. Innocent. So different from what  I am. I think that I become blind. But "Just remeber the last one" she said. "No regret". And she 's right. That remind me a quote :
"Et si de l'obtenir je n'emporte le prix, 
j'aurais au moins l'honneur de l'avoir entrepris."
I know she's right, but no regret won't say no pain. I think I should be prudent. But I'm not sure I can. Anyway, I try to keep calm. "You'll see" said another. And she's right too. So for the moment, I take things as they come, do everything I can and ... I'll see. (Until the probable deception...)
Oh, pessimism, when you hold us...
Me.

I know that somethin' has changed
Never felt this way
And right here tonight
This could be the Start of somethin' new"

lundi 18 novembre 2013

Tout n'est qu'une question d'équilibre.


J'avais déjà évoqué une sorte de théorie, il y a quelques temps, comme quoi une amélioration dans nos vies sur un sujet s'accompagnait obligatoirement d'une mauvaise nouvelle dans un autre domaine. Un sorte d'équilibre, de compensation.
J'y crois toujours, et plus encore depuis quelques jours (ou peut - être semaines). Il y a récemment eu de (plutôt) gros changements dans ma vie ces derniers temps et je crois que j'ai du mal à tout affronter. Affronter n'est pas le bon mot. Gérer est plus approprié. Je compte essentiellement 4 axes qui m'ont donné du fil à retordre ces derniers jours. Et à chaque fois que je me démener pour améliorer l'un d'eux, un autre s'effondrait. Quand j'ai finit par obtenir un niveau relativement satisfaisant dans chacun d'eux, tout s'est effondré et le travail à reprit. Des oscillations souvent trop rapides, trop brèves, trop imprévisibles, pour que je reste calme, réfléchi et sain d'esprit.
Je me rend compte que je prends à nouveau des risques. J'ai à nouveau des choses à gagner, mais aussi beaucoup à perdre. C'est un nouvel essaie. Peut - être un nouveau départ, peut - être une nouvelle erreur. Mais les erreurs, ça me connait.
J'ai l'impression d'être un jongleur qui se démène pour maintenir tant bien que mal ses 4 massues au plus haut au dessus de lui, essayant à chaque fois que l'une d'elle retombe de la renvoyer encore plus haut. Une question cependant m'inquiète et me fait peur. Si les 4 massues venaient à tomber ensemble, laquelle ou lesquelles rattraperais- je ?
Moi

"Le rassurant de l'équilibre, c'est que rien ne bouge.
Mais le vrai de l'équilibre, c'est qu'il suffit d'un souffle
pour tout faire bouger"

mercredi 13 novembre 2013

Keep calm and wait...


Un premier m'a apprit ce que c'était que d'aimer. Il m'a apprit qui aimer et qu'il n'est jamais bon de se vouer corps et âme à quelqu'un qui ne vous aime pas. Il m'a apprit à quel point les sentiments peuvent être douloureux. Ce fut ma première leçon.
Un second m'a apprit, trop tard, à ne plus hésiter, à ne plus avoir peur et à foncer. C'est peut - être de lui que j'ai le plus apprit, mais comme je l'ai déjà dit, ces leçons sont arrivés trop tard.
Un troisième m'a apprit à faire évoluer une relation quand celle que l'on espérait n'a pas d'avenir. Mais je n'ai pas encore pu mettre en pratique pour savoir si j'avais retenu la leçon.
Je ne sais pas trop ce que je vais tirer du quatrième. Peut - être va - t - il m'apprendre à être patient. Peut - être me rappellera - t - il à quel point je m'attache rapidement. Trop rapidement. Peut - être m'apprendra - t - il comment fonctionne un couple... Nous verrons bien. Pour l'instant, j'essaie d'apprendre la patience et la maîtrise de mon impatience.

"Donnons - nous la peine, 
de se découvrir se connaître.
Il n'y a pas d'amour au hasard, 
ou qui arrive trop tard.
Si la patience s'apprend
J'apprendrais ce qu'est d'attendre."

mardi 12 novembre 2013

It was written in the stars


TRAVAIL : comme partout il y a des hauts et des bas. Ce weekend était un bas. Ne vous découragez pas. Persévérez. Les hauts ne tarderont pas a revenir. 
SANTÉ : vous savez pourquoi vous souffrez. Vous ne pouvez vous en prendre qu'à vous même. Tant pis. 
SPORT : Faites vous confiance et prenez des risques. Profitez de cette lancée pour aller plus loin tout en gardant les pieds sur terre. 
AMOUR : prenez garde à cette petite flamme naissante. Profitez mais ne vous emballez pas. 

"Point besoin d'astrologues, de chiromanciens ni d 'horoscopes pour entrevoir ce que notre vie sera. Elle  se lit en nous" 

vendredi 8 novembre 2013

Keep Calm and...


C'est étrange. Je n'ai plus l'habitude de cette étrange sensation. Cet étrange feu ardent en moi qui brûle. Brûle en faisant mal, mais brûle aussi à la manière d'un moteur. C'est ce qui permet d'avancer. Mais qui risque de blesser. Aujourd'hui j'ai tapé mon mot de passe. Et pour la première fois depuis bien longtemps il m'a donné des frissons. Et vous n'avez même pas idée de ce que à représenté pour moi.
Et puis il y a ce film, que j'ai regardé avec un regard différent de d'habitude, allez savoir pourquoi. Bref, aujourd'hui il s'est passé des choses étranges. Et je crois bien que ça m'effraie. Tout ce que je souhaite, c'est de ne pas m'enflammer trop vite. Le feu risquerai de tout consumer en quelques jours. Moi ce que je veux, c'est un brasier. Une couronne de flamme.
Moi.

"Voler est le second frisson le plus intense qu'un homme connaisse
Atterrir est le premier."

samedi 26 octobre 2013

"Hier encore je ne savais pas"

Au moins 6 bonnes raisons pour cette photo. 

Ce fut une semaine étrange. Très étrange. Le début fut difficile. Fatigue. On ne trouve plus goût à rien et voudrait juste rester sous la couette à longueur de journée. A y dormir voire à y mourir. Saturation. Pas vraiment la tête travailler et pas mal de retard accumulé, mais quand tout prend l'eau que faire de mieux que de laisser couler ? Préoccupation. Puis soudain un jour, on se réveille, on oublie tout et on se laisse guider. On fonce. On réfléchira plus tard. On oublie nos principes, on change de route. On met son orgueil et ses convictions de côté. Et on écoute son coeur. Ou du moins son corps. On ne sait pas où l'on va mais on y cours. On tremble. Peur. Mais celle - la connait trop, on l'oublie. On ne sait pas pourquoi on le fait, on a plus de raison de ne pas le faire et pourtant on fonce. Doutes. Puis on réalise qu'on était pas si mal. Jouissance. Enfin on s'allonge. On pense, on analyse. On réfléchit, on se revoit tout encore une fois. Méditation. On finit pas sombrer, enfin. Repos. Demain est un autre jour. Et demain est arrivé. On ne sait pas à quoi l'attribuer, probablement un concours de circonstances aidé par une vraie nuit de sommeil. Et là tout change. On a l'impression de voler à nouveau au dessus du monde. Apesanteur. On croit, on espère. On redécouvre des choses que l'on avait perdu. Courage. Envie. Et d'autres que l'on croyait disparut pour toujours. Espoir. On est à nouveau fort. Mais on est pas au bout de nos surprise. Pourtant, on nous l'avait bien dit, ça ne se cherche pas. Et c'est bien le dernier endroit ou j'aurais cherché. Bonjour. Puis les jours suivants, les rebonds s’enchaînent, les réponses pleuvent. Incroyable. Puis le vent cesse. Il reprend. Bonheur. Et il cesse à nouveau. On essaie de le contrôler mais ce n'est pas parce qu'on réapprend à voler et qu'on croit à nouveau à des choses que l'on peut tout maîtriser. On redécouvre des vieux amis, on s'emballe. Stupide. Puis au final on fatigue nos ailes. Et pour une fois on maudit l’existence des vacances. Bien qu'il n'y en ait pas. Impatient. On a le sourire, on lutte pour rester dans ce petit paradis. On ne croit pas au paradis, mais on vient de le croiser quelques heures. Puis il s'est éloigné. Fatalité. La vie continue et reprend là où elle s'était arrêtée. On ne sait plus quoi penser. On se sait plus vraiment pourquoi. On a goûter à de nouvelles saveurs dangereuses. Que faire ? Risques. A - t - on compris la leçon ? Ou avons nous besoin d'un autre mur dans lequel s'écraser ? On veut suivre ce paradis, voir où il se rend. Espoir à nouveau . Mais on a apprit à se méfier de ses rêves. Scepticisme. Quoiqu'il en soit cette semaine hors du cours normal de la vie, cette parenthèse temporelle nous a fait grandir. Changement. Et au moment où j'écris ces lignes, et même si c'est susceptible de changer dans quelques secondes (indécision) j'ai envie de le suivre, de le rattraper. Je ne dit pas que j'y croit. Je dis que je veux voir et c'est là que je pense avoir évolué. Mais pour ça, il va falloir attendre. Destin...


Moi
D'avoir passer des nuits blanches à rêver
Ce que les contes de fées vous laissent imaginer
D'avoir perdu son enfance dans la rue
Des illusions déçues.
Passer inaperçu.

Être tombé plus bas que la poussière
Et à la Terre entière, en vouloir puis se taire.
D'avoir laissé jusqu'à sa dignité
Sans plus rien demander.
Qu'on vienne vous achever.


mercredi 9 octobre 2013

L'espoir...


L'espoir. Cette chose que l'on appelle imagination lorsqu'on est jeune. Cette chose que l'on appelle projet quand on est jeune. Cette chose que l'on appelle avenir à notre plus belle âge. Cette chose que l'on finit par combattre, par renfermer et par faire taire. Comment quelque chose d'aussi beau peu avoir une fin aussi triste ?
Cette chose étrange qui fait avancer l'Homme et l'humanité. Cette chose qui pousse tout le monde à aller plus loin, à se donner et à sacrifier pour atteindre un but fictif dont chacun d'entre nous est le seul décideur. Quel prix donner pour voir cet espoir devenir réalité ? Mais plus important encore, est - ce que donner le prix nécessaire implique - t - il de réussir ?
Certains l'abandonne rapidement, n'ayant presque pas le temps de le côtoyer. D'autres dise le garder mais se mentent à elle même. Certains le consomme avec modération et peuvent ainsi avancer paisiblement, se réjouissant de petits plaisirs. D'autres s'en nourrissent jour après jour, repoussant chaque fois leurs objectifs. Il n'est alors pas possible de satisfaire leur désirs, leur espoir s’essouffle et disparaît. On appelle ça perdre espoir. Ou alors, cet espoir grandit et les étouffe, apportant les victime à vivre dans une réalité différente de la notre. On appelle ça la folie.
L'Homme domine peut être le monde, mais il existe des choses sur laquelle il n'a aucune emprise. Avoir le contrôle de ses espoirs et de ses ambitions est un art dangereux que peu de personne se vanter de maîtriser.
Je veux continuer à y croire, je veux garder mon imagination, mes projets et mon avenir. Je ne veux pas renoncer, je ne veux pas devenir fou. Je ne veux pas souffrir. Mais il existe une chose qui s'oppose souvent à l'espoir, surtout chez moi en tout cas. La peur. La peur de quoi ? Si je le savais.

C'est flou et je voulais que je sois plus long et encore moins clair, mais je vous prie de m'excuser je suis malade à mourir.

Moi

" L'espoir est la seule chose plus forte que la peur."

Mais comme je ne suis absolument pas d'accord avec cette citation, je vais en mettre une seconde.


"Qui vient d'espoir, meurt de désir."

lundi 7 octobre 2013


Cela va être un peu le bordel. Vous êtes prévenus.
Il y a quelques jours, lors d'une conversation (oh exploit !) on m'a dit deux phrases qui me restent en tête. Deux petits commentaires innocents qui pourtant résonnent à l'intérieur de moi depuis. "Ah mais en fait, pour un étudiant gay, et canon qui plus est, à Toulouse, t'as vraiment une vie de merde...". Oui voilà c'est assez bien résumé... Mais n'oublions surtout pas le "Mais t'en as pas marre de tout faire pour ne rien réussir ?" HeadShot. L’interlocuteur a tout de même eu la délicatesse de me souhaiter une bonne nuit.  
Sinon aujourd'hui la journée (et semaine) commençait (à peu près (n'exagérons rien)) bien. J'ai mit environ un week end (sans compter la semaine d'avant...) à me motiver pour m'auto - secouer. Au final, après un réveil plutôt difficile, infiltration réussie. Maintenant je guette l'occasion d'ouvrir la bouche (affaire à suivre et à développer ultérieurement). Puis en fait bah voilà. Midi, repas, échec. 
Voilà voilà. 
J'aurais bien développé, j'avais plus à dire mais j'ai TD dans pas longtemps et je réfléchis moins vite que je que j'avais pensé, alors je dois faire court. 

Moi

" Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait"

jeudi 3 octobre 2013

Dear God


Je crois que je suis Dieu. Enfin, c'est ce que beaucoup de monde me dit, ça doit être vrai.
Je suis un Dieu solitaire. Un Dieu qui n'arrive pas à aller vers les gens mais qui attend miraculeusement que quelqu'un vienne vers moi. Je suis un Dieu qui attends que les choses se passent. J'ai horreur de ça mais je n'arrive pas à aller contre ce trait de ma personnalité. Au final, je suis un Dieu seul et triste. Mais un Dieu est censé tout savoir, tout pouvoir, il n'a pas de quoi être triste... Je suis peut - être seulement un demi dieux ? Je suis un demi-Dieu qui attend beaucoup de chose et qui est extrêmement exigeant. Je suis un demi-Dieu perfectionniste, ce peut sembler normal. Quoique quand je vois comment mon dieu à moi m'a fait, il devait bien kiffer le pas finit et le mauvais travail quand même... Ou alors je suis passé à l'usine un vendredi à 16h47 ou un jour férié je sais pas... Bref, je suis un demi-Dieu qui reste assis sur sa chaise qui fait mal au cul, regardant sur les autres rire. Je suis un demi-Dieu parmi des hommes tellement plus heureux et "normaux" si je puis dire. Pourtant un Dieu, ou même un demi-Dieu devrait être heureux, entouré et fier de lui et de ce qu'il fait. C'est loin d'être mon cas... Je suis peut - être... un quart-Dieu ? Peut -être. Mais je suis un quart-Dieu qui dont l'espoir et la foi en l'avenir font le yoyo. La peur, la déception, le doute, le regret... Tant de choses qu'un Dieu, un demi-Dieu ou même un quart-Dieu ne connaissent pas. Mais si je ne suis même pas un quart-Dieu ? Que suis-je ? Je dirais bien un huitième-de-Dieu, mais à ce rythme là, il ne restera rapidement plus grand chose de moi...
M'aurait - on menti ? Un chose d'aussi imparfaite ne peut pas être un Dieu... Non, ça ne peut - être qu'un homme. Et encore... les autres hommes sont là - bas, ensemble, alors que moi je suis là, tout seul.

I've reread everything. And now I know what I am. Dear God, I'm just a Fucking Shit.

Moi 
(et pas Dieu...)

"Dieu n'est pas parfait, il connait la jalousie
Sans quoi, il m'aurait fait aussi parfait que lui"

jeudi 12 septembre 2013

200



Un 200ème article, ça se fête. Je voulais un sujet particulier, et quoi de mieux que ce nouveau départ qui a un étrange goût de déjà vu, animé d'un parfait exemple de bipolarité ? Le 100ème était un bilan, le 200ème sera un point de départ. J'aime bien faire les chose à l'envers.

C'est tout pareil. Sauf qu'il fait pas beau. On dirait un voyage dans le temps. Je sais comment ça se passe et comment ça va se passer. C'est comme la deuxième fois qu'on voit un film. C'est sans suspens, sans surprise. Plus simple certes. Mais si fade... J'ai presque envie de sauter par la fenêtre mais ça je ne peux plus, je suis au 1er... On verra bien ce que nous (je parle au pluriel parce qu'on est plusieurs en ce moment...) réserve cette année. C'est encore une fois un départ (mais pas nouveau pour une fois...) qui laisse un voile sur l'avenir et les événements à venir.

" J'ai rencontré l'avenir, mais il est resté très mystérieux
il avait la voix déformée et un masque sur les yeux.
Pas moyen de mieux le connaître il m'a laissé aucun piste,
je sais pas à quoi il ressemble mais au moins, je sais qu'il existe"


C'est récent, c'est trop tôt pour avoir du recul, sans recul, je peux pas écrire ; mais je fais ce que je veux. C'est pas plus mal. Mais en même temps c'est pas génial. Ce n'est pas du tout pour moi, j'ai toujours était contre. Mais j'aime bien ça. J'en ai bien envie. Je ne devrais pas. Qu'est ce que je risque ? Beaucoup de chose. Et rien. L'idée me réjouit me donne le sourire et l'envie d'aller chercher plus loin. Mais rien que d'y penser suffit à me déprimer. La rencontre est impossible et pourtant elle ne tient qu'à un détail. Il n'y a rien à espérer, alors espérons. J'ai peur, je me pose des questions. Pour la première fois de ma vie j'ai pas envie de réfléchir. Je veux juste m'embarquer dans quelque chose que j'ai toujours critiqué. C'est pas forcément douloureux mais j'ai juste l'impression d'être bon pour l'asile avec des pensées aussi divergentes. Tous mes moi ne sont pas d'accord. Mais en même temps il y a de quoi. Il y a tout d'abord mon moi réaliste et cynique qui du haut de ces 19 ans trouve cette situation ridicule et sans issue, puis mon moi avec son cœur d'enfant qui continue d'espérer qui veut juste courir dans le mur une fois de plus. Et entre eux, toute une panoplie de petits bonhomme tous autant "moi" que les autres partageant plus ou moins les points de vue de ces deux extrêmes. Le moi qui essaie de dominer voudrait seulement laisser faire les choses, les prendre comme elles viennent et profiter. Mais tous les autres se livrent un combat psychologique tellement acharné et argumenté que je ne m'entends même plus penser, alors vous imaginez bien que profiter dans un brouhaha pareil n'est pas facile.

"Il faut toujours se réserver le droit de rire le lendemain de ses idées de la veille"

Moi 

mercredi 28 août 2013

Cela aurait pu...



Cela aurait pu être si parfait. Nous deux, seuls dans la piscine en fin de journée. Toi criant "je suis un poisson" en traversant le bassin comme un idiot, moi, gelé, te regardant en rigolant. Je restait là parce que le moment était si agréable, mais je n'avais qu'une seule envie c'était de partir me réchauffer. Mais c'était si parfait. Du moins, ça aurait pu l'être. Une fois de plus.

"I was thinking about you, thinking about me, 
thinking about us and what we gonna be ? 
I open my eyes, it was only just a dream..."

lundi 26 août 2013

Tell them what I hoped would be Impossible.


Non je ne suis pas mort, juste changé
Non je n'ai pas succombé à l'été, juste à son sourire.
Non je ne crois pas que je regrette cet été, juste une soirée.
Non je ne regrette pas la soirée, juste son comportement.
Non je ne suis pas fâche, juste un peu déçu.
Non je ne vais pas l'oublier, juste m'habituer à ne plus le voir tous les jours.

Non l'été n'a pas tourné comme je l'espérais. 
Je voulais travailler pour redevenir celui que j'étais il y a un an. J'ai travaillé et c'est tout. 
Le petit plus aurait de rencontrer quelqu'un de bien avec qui j'aurais pu construire une petit histoire. J'ai rencontré quelqu'un de bien et c'est tout. 

Je suppose que le départ s'annonce plutôt complexe et je crois bien que c'est pour ça que je le repousse au maximum. J'avoue que j'ai un peu peur. e vais certainement m'en vouloir. Il va certainement me manquer. Tout ceci va me manquer, mais lui en particulier. 

Une fois de plus j'avais des projets pour cet été. Un fois de plus, je suis passé à côté.

"Offrir l'amitié à qui veut l'amour, 
c'est offrir du pain à qui meurt de soif"

samedi 3 août 2013

Just a dream



Le risque. Mon ennemi de l'été dans différent domaine. Alors que je commençais à l'affronter au niveau sportif tout s'est écroulé. Je dois donc cette année tout recommencer et l'affronter tout autant sur le plan sportif que sur le plan sentimental et c'est bien ce dernier le plus complexe. Comment peser le pour et le contre. Je connais le regret d'être resté en retrait, ça devrait me motiver. Mais je ne veux pas tout perdre, ce serait pire. J'avoue que je suis un peu perdu et que j'aurais bien besoin d'un avis. Mais à part mon point non objectif et un second avis qui ne prend pas assez en compte ma façon d'être, je n'ai pas grand chose d'autre...

"Carpe Diem"

samedi 27 juillet 2013

Comme d'habitude






C'est juste un beau bordel dans ma tête ça partait très bien et là ça dérape. Prenons du repos et du recul. Mais la distance est impossible...

"Et puis un jour tu réalises que t'y crois et que tu persistes
Et que la vie n'est qu'une pute depuis que tu existes"

lundi 24 juin 2013

Only know you've been high when you feeling low



.Se souvenir.
.             Se souvenir. 
.                           Se souvenir.
.                                          Sourire.
Sourire.   
Sourire.                                          .
Regretter.                          .
Regretter.             .
Regretter.

Tout ce  dont il faut ce souvenir, c'est du sourire. Pour essayer de ne plus rien regretter.

Moi

"Staring at the ceiling in the dark
same all empty feeling in your heart"

samedi 22 juin 2013

Il y a des jours comme ça...

"With my head in my hands
I sit and cry"

Ce n'était pas cet article là que je pensais écrire. Je devais parler d'un second moi, que j'ai du laissé posé un peu avant de l'exprimer. Mais certains événements modifient les projets, alors modifions.
Il y a des jours comme ça, où l'on vit parmi les questions et les interrogations sans réponse. Ces jours là où les regrets et les "et si" nous hantent. Ces même jours où la fatigue et un prétexte convenable pour justifier notre apparence bizarre. Toujours ces jours où l'on veut juste être seul dans le calme et le silence et où on a l'impression que tout autour de nous s'acharne. Aujourd'hui est un jour comme ça.
Il y aurait de quoi écrire des pages. Mais maintenant que je suis là à écrire, je ne vois plus trop quoi dire.
Parfois, j'aimerais juste remonter le temps, changé des petites choses, notamment des décisions. Je sais, c'est la définition du regret. Il parait que je donne trop d'importance à mes regrets, ça se saurait non ?
Bref, même si ça risque d'être compliqué les prochains jours (semaine ?) ça m'a fait très plaisir de te revoir enfin, de voir que tu avais changé et d'avoir échangé ces quelques mots. Je vais essayé de me contenter de ça et puis on se reverra peut - être une prochaine fois. Et puis sinon tant pis. Sois heureux.

"Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie et l'aimer même si
le temps est assassin et emporte avec lui les rires des enfants"


mardi 18 juin 2013

Désenchanté


Je crois que j'ai grandit. Quand on me parle d'espoir je pouffe. Quand on me demande ce que j'espère faire plus tard, je crois que je n'en ai plus rien à foutre. Je continue d'essayer, mais j'ai perdu la flamme. 
C'était magique. Il y a quelques mois j'aurais était intenable, un vrai gamin. Là j'ai juste apprécié le moment. Une fois sorti, tout était comme avant. 
Je ne parle pas du deuxième moi, mis malencontreusement dans la valise, qui a essayé de prendre le dessus tout le week end. Je parle du moi principal, qui a adoré sa journée mais qui s'est retrouvé comme un con, se rendant compte qu'il était vide de tout espoir. On a trop tiré sur la corde comme dit. 
"Tout commence par le rêve". Il y a de ça quelques mois cette phrase aurait tourné dans ma tête comme une énergie renouvelable. Aujourd'hui, elle résonne dans ma tête comme le regret d'une période où j'avais encore confiance en l'avenir.
Finalement c'est peut - être vrai. Tout le monde grandit.

Moi

" Il est tard tu ne dors pas encore, tu as peur de tous tes rêves
à chaque instant tu maudit ton sort et tes souvenirs t'achèvent"


vendredi 7 juin 2013

Tout n'est qu'une question de résultats



Je passe juste rapidement pour vous confier mes craintes.
Une semaine jour pour jour après avoir échoué sur un premier point de cette fin d'année je crains de voir se répéter le schéma de l'année dernière. Souvenez vous, il y a un peu moins d'un an je réalisais que l'été approchait et qu'il amenait avec lui mauvaise nouvelle sur mauvaise nouvelle.
Dans 19 jours, mes craintes seront confirmées ou infirmées et face à ce compte à rebours, la peur grandit.
L'année dernière, j'aurais pu me rassurer en me persuadant que j'en avait malgré tout bien profiter toute l'année, mais aujourd'hui ? A quoi me raccrocher ? S'attendre aux mauvaises nouvelles ne permet pas forcément de mieux les encaisser... Comment vais - je réagir ? Tout le monde me demande comment je le sens, je n'arrive même pas à le savoir. C'est le flou dans ma tête et le stress monte. Pour finalement quoi ?
Recommencer.
Encore.

Moi 

"Sans aucun doute, j'imagine la déception apporté par cette décision. 
Je souhaite qu'elle n'altère en rien votre passion et vos envies de réussir" 

PS : du nouveau dans "Admiration"

dimanche 2 juin 2013

Sans lumière j'ai peur de tomber


Le petit enfant triste, c'est fait. Les rêves ont été passé en long en large et en travers, tout comme mes plaintes et regrets. Ma multipolarité et ma solitude ne sont plus des secrets pour personnes. J'ai l'impression de vous avoir tout dis tout donner. C'est la sensation que j'ai chaque fois que j'écris un article ici. J'ai également la sensation que j'ai en ce moment. D'être vidé. Comme une éponge essorée jusqu'à la dernière goutte. Je me sens en même temps déçu, énervé, triste et surtout coupable. Je pourrais écrire des pages pour  décrire la triste vérité mais je vais plutôt attendre quelques jours que toute la rancoeur que j'éprouve en ce moment s'en soit aller. Dans ce même intervalle de temps, je me serais probablement ré-enfermé dans un un rêve qui me permettra de tenir un an de plus avant d'être à nouveau brisé. Comme un cercle vicieux. Un cercle vicieux dont ma faiblesse m'empêche de me libérer.  
Tout ce dont 'ai eu envie tout au long de cette journée, c'est d'enfin me retrouver seul dans ma chambre et au calme pour pouvoir versé tranquillement quelques larmes. En cet instant précis, étant tranquillement dans ma chambre (enfin). Je ne suis vraiment pas en état pour un débriefing que soit au niveau performance  projet ou psychologie. Je vais tout simplement m'arrêter là. Je voulais juste vous faire part, à chaud, de ma peine. La citation sera certainement bien plus parlante. 

"Au fil des saisons, n'oubli jamais comment j'étais, 
Pour moi, c'est la fin, je suis fatigué
Je ne suis plus rien, rien qu'un coeur blessé.
Rien qu'un soldat, 
qui a livré son ultime combat.
Jusqu'au dernier soupir...
Emmène moi, ou laisse moi mourir."

jeudi 30 mai 2013

Nous étions quatre. Mais tout le monde n'était pas là...



L'autre soir, nous étions plusieurs dans ma tête.
Tout d'abord, il y avait celui que l'on entendait le plus, qui hurlait dans le silence, qui bouillait de voir que si peu de choses avait changé. Je me souviens, il y a environ un an, je réalisais que cette même chose était encore en moi, contrairement à ce que je pensais. Je n'aurait pas du être trop surpris cette fois ci. Je ne changerais donc jamais. J'avoue que ce personnage énervé monopolisait pas mal mon esprit, ruminant sa rancoeur devant ma faiblesse psychologique.
Il y avait ensuite une petite partie de moi qui était juste triste. Pour les même raisons. Triste de voir que je n'évolue pas vraiment. Comme si tout ce que j'ai l'impression de faire n'était qu'une subtile illusion. Une facette. Un facette que j'essaie de m'imposer comme réelle. Mais évidemment il n'en est rien. Cette illusion ne tient qu'à un fil et peut me faire basculer à tout instant, bien que je croyais avoir consolider la corde. Cette partie déçue de moi même était la soeur jumelle de la première. Elles s'auto-alimentaient l'une l'autre. Elles gagnaient toutes les deux en puissance à mesure que les secondes passaient. Comme pendant un dispute ou le ton monte, le volume augmente et les insultes jaillissent de plus en plus, comme un feu, qui se propage de plus en plus gagnant en chaleur, en puissance et en force de destruction.
Ensuite, il y avait un aventurier débordant d'imagination, dépité par le monde qui l'entoure. Un petit personnage remarquable qui pourrait incarner tout aussi bien l'enfance, l’innocence et le rêve. Cependant, lui change. Il s'efface peu à peu. Il essayer en effet de faire par de son point de vue au milieu de ces deux géant qui se battaient toutes armes dehors mais il ne trouvait pas son mot à dire dans cette querelle qui résonnait dans ma tête. Il osait seulement quelques apparitions à quelques moments, mais se retirait rapidement après chaque intervention, comme par peur.
Enfin, tapis dans un coin de ma tête, regardant la scène une larme à l'oeil, il y avait la quatrième personne présente lors de cette réunion de mes différentes consciences. Cette quatrième personne, bien que silencieuse et en retrait tout le long, reste selon moi la plus importante. Vous savez, ce petit garçon triste et seul qui, avant d'être énervé de ma faiblesse, affligé par mon manque d'objection ou même envieux d'une vie extra-ordinaire au sens propre du terme, ne demande en fait rien d'autre que quelqu'un à enlacer à la place de son oreiller miteux, les soirs ou ses différents personnalités s'entre-tuent et se tirent dessus à  boulets rouges. Juste une présence réconfortante. Un épaule sur laquelle pleurer, des bras dans lesquels se rassurer, des battements de coeur et une respiration masquant le brouahah de mon esprit, etc.
Quand à l'origine de ce capharnaüm, oui, je sais, je l'ai cherché.

Sur cette description aussi bordelique, incompréhensible et contradictoire que la scène qu'elle décrit, je vous souhaite une bonne fin de nuit.

Moi
"On porte un masque depuis si longtemps 
qu'on en vient même à oublier qui se trouvait dessous."

jeudi 9 mai 2013

Bon, d'accord...



Titre initial : Ma petite pause.

Change moi ce titre de suite, tu sais très bien que ce n'est
pas la première pause que tu fais, tu en fais bien assez,
arrête de te plaindre comme si tu passais ta vie à travailler
tu sais bien que c'est faux. Tu travaille certes, mais tu pourrais
le faire beaucoup plus.
Bon d'accord.... Mais tu sais, il vaut mieux faire des
pauses et tenir jusqu'au bout  plutôt que de tout donner
et de tenir que deux mois pour finalement abandonner.
Ce qui est vrai c'est que j'ai la tête qui explose et que ce
n'est pas en faisant rien que je vais avancer. Ca explose
de cours et de questions. C'est la dernière ligne droite et je 
n'arrive pas à savoir comment l’appréhender.
Fais de ton mieux, sois fort, tu es presque au bout. 
Courage. C'est bien tôt fini.
Certes, mais ça me dit pas quoi penser...
Fais de ton mieux, crois y .
Y croire ? tu es de ceux qui pense qu'il faut 
y croire pour y arriver ?
Disons que sans y croire il y a peu de chance 
de réussite...
Ah oui ?! Tu veux que je te rappelle un certain juin 
2012 ? Tu as l'impression que l'on y croyait pas 
assez ? Tu estimes que l'on avait pas assez donner ? 
Pour avoir quoi au final ? Un "reviens quand tu veux ".
Super. Permet moi d'être devenu sceptique quant au 
pouvoir de la volonté.
Je ne dit pas qu'il suffit de le vouloir, juste que
cela te donnera juste des chances en plus, et entre
nous, on ne va pas cracher sur toutes les petites 
choses qui peuvent faire pencher la balance en notre
faveur... Je ne pense pas que l'on soit en mesure de se
le permettre vois - tu.
Oui, mais si je décide d'y croire ? Et si ça ne marche 
pas ? Tu crois que l'on est assez fort pour affronter un 
tel échec à nouveau ? Beaucoup de choses ont été
facilement acquises pour moi, l'année dernière 
marquait - elle un changement de cap ? Les gens ne 
m'imaginent pas échouer (je comprends ce qu'une 
personne sage me disait un jour...). 
Tu verra quand tu y sera, pour l'instant, mets 
toutes ces questions entre parenthèse, donne
toi à fond pendant ces deux dernières semaines et 
tu verras après.
Et si je fais des mauvais choix ? Si ce n'est pas
ma voie que je choisit ? Si en cas d'échec je faisais
le mauvais choix ? 
Tu recommences à douter ? je croyais qu'on y avait
déjà réfléchis ?  Ce que l'on fait nous plait. Travailler
dans 3 ans, il en est hors de question. Où est le problème ?
Si l'on met de côté cette première année que tu finiras de 
toute façon par avoir, de quoi as - tu peur ?
Je ne sais pas. Je doute.
C'est normal, on a toujours douté, c'est que qui fait que 
l'on a le plus souvent fait les bon choix...  Regarde la 
dernière fois que l'on a prit une décision sur un coup de tête
on le regrette encore...
Oui d'ailleurs si on pouvait éviter d'en parler... On 
a assez de chose à penser en ce moment. 
Et après ? Où ça va nous mener ?
Fais ce que tu as a faire et arrête de pense à l'après 
dans mille ans !    On se posera les questions quand le
moment de se les poser sera venu. Pour l'instant, soit fort.
Nous devons être les meilleurs. 
J'aimerai tant m'effacer un peu et te laisser prendre le
dessus ces deux prochaines semaines. J'ai peur.
C'est notre union qui fait notre force.
Si seulement tu pouvais avoir raison...


"Là où le Passé est indéfini et le Futur imprécis, 
l'Aujourd'hui reste indécis."

lundi 29 avril 2013

HB



Today, I went to bed and waited for more than two hours before falling asleep. I had this strange feeling that kept me awake so long. It was as if I was alone in the world. As if no one could see or hear me. I often feel lonely before sleeping. But not like this. It was disrupting. And I did not really like it.
Today, the only song I wanted to listen is the one where a man regrets his last relationship, which ends  because he has not lived up to.
Today, I saw a broken ankle.
Today, I got 4.4/20 in the worse UE of the whole world.
Today, I wanted to cry. But as this was a long moment that it wasn't happen to me and as it was my Birthday, I didn't do it. Brave good boy.
Anyway, it was my birthday. 

Me, 
with one more year old.

"Vous êtes les étoiles, nous sommes l'Univers. 
Vous  êtes le rivage et moi je suis l'écume."

mercredi 24 avril 2013

Escape



Il parait qu'il faut imaginer sa vie et comparer à la sienne pour essayer de s'en rapprocher. Il parait qu'en corrigeant peu à peu chaque trait qui nous éloigne de notre bonheur, on s'en rapproche. Il parait qu'il est possible d'être heureux. Mais il parait qu'il n'existe pas de méthode et que le bonheur est avant tout un état d'esprit. Il parait.

"Échapper à sa chronologie 
est une joie que donnent les rêves"

mardi 23 avril 2013

Vis




"Je trouve que le monde est beaucoup trop raisonnable et que je suis le premier à l'être. Mais je pense que surtout nous, à nos âge et pour ces sujets là, on devrait pas se prendre la tête. C'est si facile de dire je l'aime, je fonce. Et j'emmerde tout le reste. Peut - être que ça va mal se passer, peut - être que tu vas en souffrir. Mais c'est ça d'être en vie. Si tu fais une croix dessus, pour moi tu souffres quand même mais en plus tu ne vis pas. Si tu en as envie, fonce. On pense trop aux conséquences. Tu ne joues pas ta vie, alors vis la.

"Plus rien ne te protège ou alors pas longtemps
et c'est comme un sortilège d'être seul à présent"

lundi 22 avril 2013

One Time



L'impatience,
De la réponse à un message.
L'angoisse,
D'être pour la première fois face à face.
Le sourire,
A chaque fois que je te vois t'approcher.
L'audace,
De laisser les mauvais jours de côtés.
L’innocence,
De penser que tout durera pour toujours. 
La joie,
De découvrir le sens du mot Amour.
Le bonheur,
De me retrouver contre toi.
La simple envie, 
De vivre ça au moins une fois.


PS : Non, je n'ai pas tenu.

jeudi 11 avril 2013

Ce n'est qu'un au revoir




Un petit message pour vous dire que je vais arrêter d'écrire un petit moment. Du moins, je vais essayer de le faire. J'espère garder un moral assez bon pour un mois environ, c'est tout ce que je demande. Je ne sais pas trop si cet endroit me soulage ou me fait me focaliser sur la tristesse de la vie. Alors je vais essayer de ne pas avoir à venir me défouler. Même si avec les beaux jours qui arrivent et les habits qui s'allègent, cela risque de ne pas être évident.
Je serais donc probablement absent durant un gros mois et demi. Je vais tenté de m'effacer de la surface de la Terre. Le dernier mois. Je vais essayer de tout donner. Je dois juste garder la force psychologique de mener ces combats. Et les distractions multiples ne m'aident pas à le faire. Je vais donc essayer de m'effacer, petit à petit.
Je ne sais pas ce que ce prochain mois et demi me réserve. Je ne sais pas non plus si le mérite. Nous verrons bien. Le succès est subjectif parait - il. Mais mes combats prioritaires, je le mène les contre moi même et contre les gens qui ne croient pas en moi. Les deux pire ennemis que l'on peut avoir.
A dans le plus longtemps possible. Rendez - vous au 22 mai dans le meilleur des cas.

"On ne réussit pas d'étude malheureux" 

mercredi 3 avril 2013

Si les astres le disent...


J'adore aider les gens, là n'est pas le problème. La journée fut simplement ... difficile. J'aimerai avoir moi aussi des histoires à raconter, des conseils à demander. J'aimerai moi aussi ne pas dormir le soir parce qu'on ne sait pas quoi faire plutôt que de ne pas dormir parce qu'on sait que demain non plus, nous n'auront rien à faire.
Entendre des gens "hésitaient" sur leur relations, humainement c'est facile (il parait même que je suis de bon conseil, voilà au moins un point positif). Mais personnellement, c'est dur. Entendre "je l'aime mais je sais pas si je lui laisse une seconde chance", je suis désolé mais moi, ça m'a dépité.
Qu'est ce que je donnerai pour avoir ce pouvoir de décision, mais surtout pour avoir quelqu'un à aimer.

"Amour : Les choses resteront comme elles sont,
vous resterez triste et seul pour un long moment"

mardi 2 avril 2013

Errare Humanum Est



Il fallait que ça sorte en effet.Cela fait quelques mois que je vis dans le regret. Et cela devient de plus en plus présent ces jours - ci, c'est pourquoi je sors de mon silence. Je ne sais pas vraiment ce qui s'est passé. Mais quoi que se soit, j'y pense encore, et de plus en plus.
Récemment quelqu'un m'a dit que prendre une décision importante rapidement ne me ressemblait pas. Et pourtant, j'ai tranché en une nuit et probablement sous alcool et j'ai appliqué dès le lendemain. Pourquoi ? Je me demande pourquoi ne nous ai - je pas laissé une chance ? Cela aurait peut - être marché. Tu m'aurais peut - être ôté tout doutes en quelques jours. Mais nous ne le seront jamais. Je pense que j'ai eu peur. Je n'étais peut - être pas prêt. Mais si seulement tu savais combien je regrette. Étrangement, c'est l'une des soirées dont j'ai le plus de souvenirs, des gens croisés à la musique qui est passée, de certains mots et regards aux silences qui en disaient plus. Ce fût court, certes. Mais on a quand même passé de long et bons moments avant, pour mieux se connaître. Et je les regrette.
Je pense à toi à chaque fois avant de m'endormir et je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il se serait passé si je n'avais pas agit ainsi. Quelqu'un d'autre m'a demandé ce que j'espérai en écrivant ces quelques vers pour toi. Je ne sais pas vraiment. Je n'espérai pas réellement quelque chose, je pense. Je voulais juste que tu connaisse mon point de vue je suppose. Mais connaissant mes croyance pour les grandes histoires d'amour romantiques et merveilleuses, je suppose qu'une partie de moi espérait (espère ?) un miracle.
On dit que le regret est une seconde erreur, mais je pense que cette erreur là, je la mérite.
Moi

"J'aurais aimé t'aimer, comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau, et que c'est beau d'aimer
J'aurais aimé t'écrire, le plus beau des poèmes
Et construire un empire juste pour ton sourire
Devenir le soleil pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi tu vois, je n'y peux rien, 
Je fais souvent des choix qui ne me mènent à rien."


PS : nouveau poème dans écris et tais toi