Pages

mercredi 30 janvier 2013

Combien en sont mort ?



Beaucoup de gens racontent, chantent ou expliquent comment c'est en s’accrochant à leur rêves qu'elles les ont atteint. Certes. Mais moi je voudrais aussi que l'on écoute tout ceux qui se sont accroché toute leur vie à leur rêves, leurs envies, leurs convictions, pour finalement ne rien obtenir. Combien se sont vu brisé pour qu'un se soit vu comblé ? Tout n'est pas que volonté et force d'y croire. Il y a la chance.

"Avoir l'audace de le faire et la confiance de le faire". 
Parce que demandé de faire un stage en équipe de France ce n'est pas audacieux ?

"La meilleure façon de réaliser ces rêves est de se réveiller". 
Moi j'en ai rêvé la nuit et je faisait tout pour le jour.

"La douleur persiste pour qui n'a pas d'espoir".
Mais l'espoir n'enlève pas pour autant la douleur de ceux qui espèrent.


"La peur ne peut se passer de l'espoir et l'espoir de la peur".
Le problème étant que la peur l'emporte le plus souvent, ou que du moins, on ne la vain jamais.

"Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort, ça ne meurt pas l'espoir".
Non, l'espoir nous ronge jusqu'à ce que nous nous soyons mort.

"L'espoir est le privilège des perdants"
Là déjà je suis beaucoup plus d'accord.

Moi


"On croit que les rêves sont fait pour être réaliser.
C'est ça le problème des rêves,
C'est que c'est fait pour être rêvé."

lundi 28 janvier 2013

Bad Birthday



Aujourd'hui cela fait 1 ans.
Il y a un an que mon envie de conquérir le monde atteignait son paroxysme. Plus rien ne pouvait m'arrêter. J'avançais à la manière d'un bulldozer, me dégageant une place parmi les meilleurs. Place que je devais consolider et garder. Pendant de long mois j'ai puiser ma force dans ce souvenirs de magie, dans cette envie de devenir cette magie. 
Aujourd'hui, un an après, je me demande ce qu'il en reste. Et croyez moi, ce n'est pas beau à voir. Après m'être lancé à toute vitesse dans la course à mes envies, j'ai heurté le mur de la réalité. Et aujourd'hui, j'ai tout à réapprendre. J'ai laissé partir ma place, j'ai laissé partir mon talent, j'ai laissé fuir mes conviction et j'ai laissé la peur reprendre sa place. Cette même peur qui j'avais mit des années à bannir. 
Aujourd'hui j'ai juste envie de pleurer quand je vois ce que j'ai fais de tout ça.
Moi


In a world filled with hate, we must still dare to hope.
In a world filled with anger, we must still dare to comfort.
In a world filled with dispair, we must still dare to dream.
And in a world filled with distrust, we must still dare to believe.

mercredi 23 janvier 2013

L'impossible


J'ai encore cette sensation effrayante de pourvoir me détruire moi même, d'avoir la force suffisante mais incontrôlée de me tuer. Et c'est effrayant. C'est comme s'enfermer dans une cage avec un tigre sauvage pour essayer de le dompter. 
J'ai cet arrière goût amer que plus ne sera jamais comme avant. Que le changement ne pouvait avoir lieu que dans un sens. Et c'est triste. C'est comme un château de sable sur la plage, qui est balayer par une vague en quelques secondes et dont il ne reste rien. Et ce château ne se reconstruira pas à la prochaine vague, il restera plat et sans forme, mélangé à tout le sable pour toujours. 
J'ai ce sentiment de culpabilité, qui me donne envie de me frapper. Je me sens fautif à tout les niveaux. J'aurais du le sentir venir et donc l'évité. J'aurais du réagir de suite et être plus fort. On m'a dit que je m'en relèverai plu fort. reste encore à s'en relever. Car pour l'instant cela me semble non rattrapable. Simplement impossible. 
Et à tout ceux qui me diront que tout est possible, qu'il suffit d'y croire et de le vouloir, j'ai la preuve que non : essayez d'imaginez une couleur que vous n'avez jamais vu. Voilà une chose impossible qui pourtant nécessite l'une des forces les plus puissantes de la nature : l'imagination humaine. Comme quoi, tout à ses limites. J'ai peut être atteint les miennes.
Est - ce que je vais abandonné ? Non. Pas de suite du moins. 
Est - ce que j'y crois ? Je ne sais plus en quoi je crois.
Est - ce que je m'en sens capable ? Oui, mais de moins en moins chaque jour.

"L'impossible est en nous, le don de résister et même celui de renaître, 
La folie après coup de tout recommencer, d'ouvrir les yeux et de renaître."

Moi

lundi 21 janvier 2013

Step Back


J'ai beaucoup à dire. Et je ne sais pas vraiment par quoi commencer. 
La moitié. Ça c'est fait. je n'ai pas l'habitude de parler de cours ni de scolarité ici, c'est plutôt rare. Et e ne suis pas sûr que ce soit le sujet principal ici non plus, mais il est pourtant impossible de ne pas l'évoquer.
Ça y est. J'ai fais la moitié (ou peut être qu'un quart en comptant les deux ans mais bon).
Je l'attendais ce week end si vous saviez... Ne rien faire pendant 3 jours... Le pied. Mais finalement, c'était presque un peu bizarre de n'avoir justement rien à faire... Mon esprit au contraire lui s'est réveillé.
Je me disais récemment que c'était bizarre. Je ne pensais plus aux choses qui, en principe, occupe mon esprit le temps des trajets, au moment de s'endormir où qui me maintiennent la tête sous l'eau quand e commence à boire la tasse. Où étaient - ils passé ? Vaincus ? Idée plaisante bien que surprenante et évidemment peu crédible me connaissant.

Ce week end, j'ai retrouvé tout ça. Ils avaient juste été mit entre parenthèse. Je me savais pas capable d'autant de concentration. Je ne savais pas qu'il était possible de faire une telle priorisation de pensées. Je ne savais pas que j'y accordait autant de mes pensées au point d'en exclure le reste. Je ne savais pas non plus que j'avais besoin d'autant de place dans ma tête. Certaines choses s'expliquent peut - être, même si je reste complètement septique. Je ne pensais pas avoir un cerveau aussi limité. Et ça j'avoue que ça m'énerve. Avoir besoin de supprimer des infos pour en garder d'autres certes, mais virer tout le reste tout de même...
(Certains se demande pourquoi cette photo qui jusqu'ici n'a rien avoir avec ce que je racconte ? J'y viens. Après.)

Bref c'est une sensation très étrange. 
C'est comme si tout ceci n'avait était qu'un rêve, non un cauchemar en fait et que je m'étais réveillé ce week end. Tout est là comme avant, et c'est dur de tout re-recevoir d'un coup. Les questions, les doutes, l'impatience... Toute la journée d'hier a été rythmée de point d'interrogation sur l'année prochaine. Projets conditionnels, issues de secours, nouveau départ, copie de cette année ? Tant de questions qui s'étaient peu à peu effacées de mon esprit pour finalement revenir (et probablement disparaître à nouveau d'ici quelques temps mais je vais essayer de faire que non). Puis hier soir je me suis senti seul, alors je me suis blottis contre mon radiateur emmitouflé dans ma couette avec mon seul compagnon, mon coussin, à qui j'ai parlé jusqu'à finalement fermer les yeux. Cela faisait un moment que je ne m'étais pas sentit seul au moment de m'endormir. 

Je n'ai donc rien fait ce week end, je devais sortir mais j'ai des amis pourris. On s'en fou je peux dire ce que je veux, aucun des visés n'a connaissance de ce journal intime. Donc au final, je ne suis pas allé bougé mon corps non, je l'ai engraissé en mangeant devant la télé. Super excitant je suis d'accord... 
Depuis que je me suis "réveillé" il y a une idée, un pensée qui me trotte dans la tête mais je n'arrive pas encore à mettre de mots dessus... Je pensais qu'une fois lancé, les mots viendraient tout seul mais au contraire je crois que c'est de plus en plus flou. Je me pose à nouveau des questions sur moi, sur qui je suis, qui je veux être. Je me demande quels risques je dois prendre, jusqu'où je peux me permettre d'aller. 

J'ai bien dégrossit la chose. Nous verrons dans quelques jours. J'en viens à la photo. C'est la première photo que j'ai vu en allumant mon ordinateur juste après la fin du concours. Pourquoi cette photo sur mon ordi ? Je n'en ai aucune idée. Qui est - ce ? Je n'en sais rien (enfin maintenant si mais au moment où je l'ai vu non). C'est de là que tout est parti. J'ai allumé l'ordinateur dans le train, en route (enfin) pour rentrer chez moi après deux longues semaines. Je tombe donc sur cette photo présente sur mon ordinateur pour une raison inconnue (j'ai des dédoublement de personnalité des fois...) et là je me dis "tiens qu'est ce que c'est ... ? Où, il est mimi..." Et là Stop de cerveau. Ouverture de la case "pensées mises de côtés ces dernières semaines (derniers mois ?)". Et voilà comment s'est réouverte cette case de mon cerveau que je n'avais même pas conscience d'avoir archivé dans un coin de ma tête. 
"C'est un truc de fou toutes ces images qui reviennent en force 
et qui font que tu n'y peux rien ton coeur se serre au fond de ton torse"
J'ai donc enquêté, savoir qui était ce jeune homme qui, comme cela aurait très certainement pu être autre chose ou quelqu'un d'autre (ne lui accordons pas non plus trop d'importance), m'a servit d'électrochoc. Chercher quelqu'un avec seulement une image s'est avéré bien plus simple que ce que je n'aurais cru...Il s'avère donc qu'on ne peux pas être mignon et intelligent. C'est fort dommage... Et comme pendant mes investigations j'ai trouvé des images bien mieux, je vous donne une autre, pour le plaisir des yeux. Mais ne gâchez pas ceci en cherchant avec qui il partage sa vie, ça casse le charme.

Quoiqu'à bien y regarder, la première est loin d'être 
désagréable... Je n'ai pas retrouvé celle à laquelle 
je pensais, c'est fort regrettable... 


"On dit que le monde appartient à ceux qui rêvent trop, 
je crois alors que je possède un univers entier"



Moi

dimanche 20 janvier 2013

Top Five




Potentiel. Talent. Originalité. Goût. 

Tes albums furent mes seuls amis de ces deux dernières semaines. Plus j’écoutais, plus je trouvais de quoi m’identifier en chacune d’elle. Une envie, une personne, un sentiment, une sensation ou même un savant mélange de tout ça.
En tout cas, j'adore, de plus en plus.
Voici un petit top five.

…5…
Et passe, passe, passe, passe, passe les jours et rien, non rien, rien ne change sur nos parcours. Ce sont les mêmes pages qui défilent, les vers qu’on récite, le même vieux film que depuis cent fois on rembobine. […] On ne s’épuise même plus à chercher les réponses on ne sait même plus quelle est la question, faudrait fouiller dans les décombres. […] Soyons excessivement libres, intensément fous.

…4…
Tu es mon ange, ma fée, mes souries, mes étés, mon unique, ma vie mes rêves éveillés. Tu as mes doutes, mes larmes mes peurs inavouées, il n’y a que les saisons qui changent toujours le même parfum d’un ange.

…3…
Et si, seulement si, tout était pour la vie. Et si, seulement si, nous l’étions aussi. Comme si on pouvait arrêter le temps. Et faire qu’un instant dure éternellement comme ces montagnes de faire ou l’éclat d’un diamant. […] Et si on savait tout, si on ne craignait rien. Si l’on pouvait d’un coup de crayon dessiner nos lendemains, si l’on avait tout, si seulement on savait tout de nous. Et si, seulement si, tout était pour la vie. Et si, seulement si, nous l’étions aussi. Comme si on pouvait arrêter le temps. Et faire qu’un instant dure éternellement comme ces montagnes de faire ou l’éclat d’un diamant.

…2…
Je sais que je t’avais dit, que je t’oublierais, mais j’ai pas choisi d’y penser baby, de me voir plein de regrets. C’est de ma faute. Je vis avec mes souvenirs, d’une voix d’un visage, d’un sourire, et dire que je n’ai pas su t’aimer. Baby j’ai le blues de toi. Je vis dans le regret d’avoir tout abandonner. Et dire que je n’ai pas su t’écrire, ce soir, j’ai le blues de toi

…1…
Personne ne pourra me dire, qu’on vit de rêves et d’ambition, les jeunes ont perdus le sourire, le désespoir tue l’inspiration.  […] J’ai survécu jusqu’ici, c’est pas pour tout recommencer. […] Pourquoi toujours penser que ça ne peux arriver qu’aux autres, se dire que tant pis on a pas de chance c’est la vie et c’est de sa faute. Faut pas se laisser aller, on est jeune l’avenir est devant nous. Jamais abandonner c’est plus fort que tout. […] On vit tous à la recherche de gloire c’est la ruée vers l’or, échapper au quotidien, sans réaliser que les portes de l’espoir sont au creux de nos mains. Lève-toi et prie pour tes plus beaux jours. Peut importe qui tu es, lève ta main et cri victoire.


Moi
(mais surtout Elle.)

vendredi 11 janvier 2013

Trip





Petit carnet de bord d’une semaine que je pressens bizarre…

·         Dimanche 6 Janvier
-         7h25 : en quittant ma chambre je me rends compte que nous allons passer d’ensemble dans 20m² à distants de plus de 1200 km en quelques heures. Que la vie est bizarre…

·         Lundi 7 janvier
-         01h27 : je sais maintenant que j’ai besoin d’une vraie relation et non de sexe. Ça  c’est fait. L’attente n’en sera que plus simple.
-         11h42 : Je rentre d’un premier entrainement, réjouissant. Pas un vrai entrainement en fait, plutôt une séance de préparation physique avec les deux plus sympas du groupe. Me voilà donc en train de rentrer, me disant que c’est tout de même une expérience extraordinaire et que vivre ça au quotidien m’irait parfaitement. Hâte d’être l’après midi pour pouvoir enfin taper de la toile.
-         11h46 : j’ai aidé 3 anglaises à descendre leur 13 valises dans un escalier, je les ai vu galérer, j’ai eu pitié.  « Thank you so much ! » Wesh tkt ;) (Petit anecdote inutile je l’accorde.)
-         12h00 j’ai faillit mourir écraser…
-         22h27 fin de journée pourrie, entrainement de merde. Syndrome du « ouais je suis trop chaud je vais faire des miracles… Ah ben non. En fait je suis nul. Fais chier. » Au final un entrainement où j’ai montré, que dise – je, exhibé tous mes défauts, là où je devais me mettre en valeurs (c’est bien, c’est rien compris au principe du stage –‘) Bref, il y a cas voir l’article en rapport.

·         Mardi 8 janvier
-         00h37 : Je sens déjà les muscles tirer. Je n’ose pas m’endormir. Car une fois que je dormirai, je me réveillerai. Et là ça va défoncer. Ce qui tombe bien c’est que cette non envie de dormir est soutenu par le milliard de question qui me traversent la tête. Mais je sens qu’à l’instant même où je déciderais de m’arrêter de penser, je sombrerais tellement je suis exténué. J’aime ce pouvoir de décision. Savoir que je peux choisir de dormir est une chose fascinante. Si je pouvais choisir pour d’autres choses, ce serait tellement mieux…
-         22h47 : J’ai peur. Peur de m’auto détruire. Je sens en moi une force que je contrôle plus. Plus d’habitude, plus de repère, je suis perdu. Où tout cela est – il passé ? Je suis inquiet. Et je me pose des questions.

Et si seulement si
Tout était pour la vie
Et si seulement si
Nous l'étions aussi
Comme si l'on pouvait arrêter le temps
Et faire qu'un instant dure éternellement
Comme ces montagnes de fer
Ou l'éclat d'un diamant


·         Mercredi 9 janvier
-         L’ancien moi n’est toujours pas au rendez vous, je l’ai perdu en route. Brusquement. Et depuis le temps, il peut être n’importe où. Il peut très bien ressurgir d’un seul coup. On peut aussi mettre des années à reconstitué son cadavre désassemblé. Des années que je n’ai pas. Au contraire, pour l’instant je perds un peu plus de lui chaque jour, chaque entrainement, chaque saut. Jusqu’où tout cela va aller ? Le plus frustrant, pour moi, est de ne pas savoir pourquoi. Pourquoi soudain tout est devenu noir ? Pourquoi à ce moment précis ? Pourquoi sur cette figure là ? Pourquoi aujourd’hui pleins de choses ont disparut ? Il n’y a pas de raison générale certes. Mais il y en a forcément une dans chaque cas, et j’ai beau tourner la question dans tous les sens, je ne la vois pas. Et c’est horrible.
-         Les révisions avancent. En marche arrière. C’est un peu la cata, plus je revoie, plus je me rends compte de ce que je ne sais pas, et au moment où le contenu des cours me parait acceptablement (?) connu, les QCM d’entrainement (encore des entrainements ? décidément, je passe ma vie à ça…) me prouvent le contraire. « Arrête de stresser on verra bien ce qu’il arrivera ». Tu te fous de ma gueule en fait ? Je tape tout de suite où j’attends un peu ? Bref, une période pas top à tous les niveaux… Espérons que la semaine prochaine clôture cette période et qu’une nouvelle commence. Je pense survivre jusque là. Plus loin je ne sais pas…

·         jeudi 10 janvier
-         « Ca parait facile pour toi c’est frustrant ». Tu te fous de ma gueule en fait ? Je tape tout de suite où j’attends un peu ? Genre le mec il est en équipe de France depuis qu’il tient debout sur ses jambes, il passe un quart de ses journées en l’air, il frôle la perfection, et le petit tebé qui c’est plus rien faire qui se bats pour pas se tuer CA A L’AIR FACILE POUR LUI ? Je rêve. Bref. On ne peut pas dire que ça va mieux. Mais je pense que je suis en train d’accumuler une espèce de force mystique venu de l’au-delà (ouais j’aime bien ^^) qui me permettra quand j’en aurais accumulé assez de trouver la force de reconstruire des fondations solide pour pouvoir peut être continué la construction de l’édifice.
-         J’ai revu un vieux copain (ok officiellement c’est mon patron saisonnier et ok vieux de quelques mois seulement) mais ça fait quand même un peu de bien …
-         Les plus assidus auront remarqué que les heures ont disparut, c’est parce que j’ai tout écrit en même temps depuis mardi en fait, donc tout était au brouillon dans ma tête mais les heures pas exactement… Vous m’en voyez désolé, mais en même temps on s’en branle (que de vulgarité dîtes donc !)

On vit tous à la recherche de gloire
C'est la ruée vers l'or, échapper au quotidien
Sans réaliser que les portes de l'espoir sont au creux de nos mains
Lève toi et prie pour
tes plus beaux jours
Peu importe qui tu es
Lève ta main et crie victoire.


Vendredi  11 janvier
-         Dernier entrainement de cette semaine. Il était tant que ça se termine, physiquement. Je suis actuellement décédé pour les 3 prochains jours. Espérons que je les passe à réviser et non à dormir…
-         12h46 : C’est fini, le train s’en va. Ce n’est pas la première fois mais c’est toujours aussi difficile de quitter ce petit univers… Même si cette fois – ci fut bien moins productive, c’est toujours très intéressant c’est non sans regret que je regarde s’éloigner palmiers, mer, soleil et survêtement tricolore.
-         21h40 : arrivé chez moi, retour à la vie normale. Fin de cette semaine.

lundi 7 janvier 2013

Ma tête éclate



Je m'étais promis de faire attention. Je m'étais promis de ralentir en voyant arriver un mur.
Je m'étais promis de continuer, je m'étais dit que je serais fier de moi.
Je m'étais demandé si ça en valait la peine, j'avais pensé (à tord ?) que oui.
Il parait que cela devait me rendre plus fort. Il parait. Il n'empêche que depuis j'ai l'impression de couler, comme tiré vers le bas sans pouvoir rien y faire.
Que dois - je faire ? Comment réagir ? Qui peut répondre...
Je m'étais promis de faire attention et de réussir.
Mais je me rends compte que la majorité des promesses non tenues viennent le plus souvent de nous.
Moi

mardi 1 janvier 2013

2013



Nous voici à nouveau aux portes d'une nouvelle année. Une nouvelle fois, je suis dans le flou total et me demande ce qu'elle me réserve. Je prendrais bien des résolutions mais un, je ne sais pas quoi prendre, deux je ne les tiendrais pas, trois, j'ai autre chose à faire.
Il me tarde de voir où cette année me portera, je suis impatient, curieux.
Peut -être ne devrais -je pas... Car oui, je suis terrifié aussi.
En tout cas je vous souhaite à tous une bonne année, que vos attentions sont comblées et vos rêves atteints.

Moi