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mercredi 27 février 2013

Douche Finale 7 (ouah vous avez vu le jeu de mot par rapport au film Destination Finale ?)




Il y a quelque chose qui m'inquiète un peu en moi. C'est ma facilité à me détacher de tout le monde. A oublier les gens je parle. Quelques mois sans nouvelles et e peux très rapidement faire une croix sur tout ce qui c'est passé avant. Pas parce que je suis blessé de ces hypothétiques mois de silence, juste parce que je passe à autre chose. Je vais de l'avant. Un bon point me direz vous. C'est discutable. Je m'en rends compte en regardant derrière moi et en ne voyant plus grand monde. Et je me pose des question quand à ce don empoisonné. Jusqu'où peut -il m'emmener ? Pourrais - je un jour construire une relation vraiment durable. J'ai peur, oui j'ai peur. Mais tant que j'en ai peur, j'ose espéré que c'est un bon point.
Je finirai en m'adressant à toi jeune insouciant qui ne lira jamais ces phrases, si, les choses changent, et notamment à cause de personnes comme moi. Un cercle d'ami est comme un château de carte. Une seule carte tombe et c'est la dégringolade. Par une chance mystérieuse, une partie du château peut reste debout, soudée. Mais elle n'est plus le même château qu'au début. Et ici, il y a bien plus d'une carte qui est tombé. Des exemples ? La première mi-août et qui te concerne, la mienne est en train de glisser lentement et d'autres tombent encore ces jours-ci. Je suis désolé, mais ce n'est que la vérité. Mais j'admire néanmoins cette conviction que l'on pourrait être éternel. J'aimerais la partager. Mais je pense que le futur aura raison de nous.

Moi

"Nous devons accepter le changement mais conserver nos principes"

mardi 26 février 2013

15h06



"Mon dieu ça y est il est devenu fou. Il écrit à 24 heures et 1 minute d'écart depuis plusieurs jours et ne met que des photos de douches ou de baignoires. Ca y est on l'a définitivement perdu."

Oui c'est à peu près ça. Les derniers articles n'étaient que des idées qui me tournaient en tête depuis bien longtemps et que je n'avait pas le temps de mettre à l'écrit, alors j'ai prit une après midi pour enfin faire sortir tout ça. Il fallait que ça sorte.
Pourquoi des douches et des baignoires ? Je ne sais pas, mais j'ai à peu près réussi à trouver une photo pour  chaque article. Pourquoi à 24 h 01 min d'intervalle ? Je ne sais pas.
Est - ce une justification ? Non, e fais ce que je veux, c'est juste une explication. L'article de demain conclura   cette semaine d'articles quotidien.

Moi

"J'ai un projet, devenir fou"

lundi 25 février 2013

"-C'est toi"




Ça marquait peut être le début de la fin. C'était il y a deux ans, mais je m'en souviens toujours autant. Aujourd'hui, toute cette histoire reste tout autant incompréhensible pour moi. Mais j'attends pourtant la prochaine (que j'espère plus glorieuse...) impatiemment.

Moi

" - Mec, on se connait à peine..."

PS : la photo ? Ah ! ça c'est ce qu'il y avait dans ma tête il y a 3 ans

dimanche 24 février 2013

C'est comme noyer un poisson



Il n'y a pas si longtemps, j'écrivais mettre réveiller après une longue période de mise en silence de tout ce qui n'était pas scolaire. Les premiers jours m'ont fait bizarre, je n'étais plus habitué à penser autant à longueur de journée à tout ce que je voudrais, tout ce que je ne voudrais pas. Ces quelques premiers jours passé, la vie a reprit son court. Après quelques semaine, ces pensées ayant refait surface sont devenues de plus en plus pesantes. L'idée de les faire disparaître à nouveau semblait bonne. Il suffisait de refaire ce qui les avait fait fuir la première fois : les noyer dans le travail. C'est donc ainsi que je suis resté assis des heures, chaque jours des dernières semaine. Très tôt jusqu'à tard dans la nuit. Bénéfique au moins me direz - vous, mais aussi bien inefficaces. Je n'arrive pas à retrouver la paix que mon esprit m'avait laissé durant quelques mois sans même que je m'en rende compte. Le problème est certainement là justement. Le cerveau humain est la chose la plus performante et la plus stupide jamais créé. Il suffit que vous vouliez oublier quelque chose en l'occupant à une autre chose pour qu'il garde précieusement la première bien au choix dans votre esprit. Ma tentative de noyade par fonction physiologiques et ostéologie a donc échoué puisque mon adorable esprit à très gentiment  lancé une bouée de sauvetage à toutes ces idées que je voulais voir se faire engloutir.

Moi

"Un homme qui  meurt par noyade revit toute sa vie passée alors qu'il ferait mieux de nager"
Je crois donc que mes pensées savent nager.

samedi 23 février 2013

Libido




Libido [n.f.] : 

  • Biologie : énergie relative à la pulsion sexuelle. Elle peut aussi désigner le désir sexuel. 
  • Psychanalyse : Sigmund Freud l'a inclus dans une vision globale de la sexualité humaine comme composante de la métapsychologie pour désigner l'énergie sexuelle issue de la pulsion sexuelle dans la première topique. Freud a théorisé la libido dans une dialextique dualiste avec les "Pulsions du Moi" censées elles représenter le principe d'auto conservation. La vie psychique se formerait intégralament à partir de cette donnée, en tout cas jusqu'à sa découverte du narcissisme puis de la nouvelle dualité de la seconde topique (1920) entre pulsion et vie (Eros) et pulsion de Mort (thanatos). L'autre opposition freudienne consiste en la distinction de la "libido du moi" et de la "libido d'objet" qui prend tout son sens dans la question du narcissisme
  • Médecine : aujourd'hui, le thème est utilisé en médecine, dans la sexologie (en psychiatrie par exemple lors des baisses de libido pendant les phases de dépression. 
  • Pathologie : Baisse de la libido, pouvant avoir une cause de surface, en réponse à des facteurs de stress, de fatigue, ou en cas de problème professionnels, financiers ou d'autres, auquel cas, l'esprit s'abandonnera moins facilement au désir ; ou une cause profonde nécessitant parfois l'intervention du praticien de santé et dans laquelle une cause indirecte souvent biologique entraîne une cause directe hormonale.

"Chose rassurante au début, lassante au bout d'un moment puis finalement obsessionnelle". Merci Mr. le Professeur, mais ça, je le savais déjà.

Moi

"La libido est le sexe sont les baromètres des sentiments"

vendredi 22 février 2013

No Text, just a Quote.



No Text, just a Quote.

"Il y a une vérité universelle à laquelle nous devons tous faire face, que nous le voulions ou non, tout se termine un jour. Pour autant que j'ai attendu ce jour, j'ai toujours détesté les fins. Le dernier jour de l'été, le dernier chapitre d'un bon livre, prendre des chemins différents avec un ami proche. Mais les fins sont inévitables, les feuilles tombent, vous fermez le livre. Vous dîtes au revoir. Aujourd'hui c'est un de ces jours pour nous. Aujourd'hui nous disons au revoir à tout ce qui était familier, tout ce qui était confortable. Nous avançons. Mais simplement parce que nous partons et que ça fait mal, il y a des gens qui sont tellement une partie de nous, ils seront avec nous quoi qu'il arrive. Ils sont notre terrain solide. Notre étoile du Nord. Et les petites voix claires dans nos coeurs qui seront toujours avec nous..."

jeudi 21 février 2013

Forcément, vu comme ça...


Il est vrai que finalement, quand on enlève tout ce qui ne va pas, cette vie n'est pas si affreuse. Oui si on passe outre la solitude, les doutes, les gamelles malgré des efforts et des sacrifices, les rêves qui disparaissent, la distance, le manque... Oui, effectivement il me reste que de bonnes choses.
Mais que reste - t - il 'ailleurs ?
J'ai souvent essayer de rester sous la douche des heures pour me laver l'esprit, ça n'a pas marché. Je ressortais juste mouillé
Moi ?

"Quand j'enlève les oublis, les  froid, les paraître et les jours, qui n'ont plus de noms, 
Quand j'enlève les erreurs , les plans sur la comète, tous ces gens qui m'ont dit non, 
Quand j'enlève  les mauvaises nouvelles, les mauvais plans et les déceptions 
il ne me reste  que toi."

mercredi 20 février 2013

Moitié de cerveau (de mon côté)


Cette année prend de nombreux virages plus inattendus les uns que les autres.
Je réorganise mes projets, et in consciemment je me réveille un jour réalisant ce que je suis en train de faire.
Parler de poursuivre, de choisir finalement une voie plus longue mais certainement bien plus intéressante c'est bien. Mais Las Végas dans tout ça ?
J'ai l'impression de finalement grandir. Et j'ai horreur de cette sensation. J'ai l'impression de rentrer dans le moule, de finalement lâcher tout ce qui faisait briller mes yeux il n'y pas un ans, tout ce qui m'a fait avancer et qui à fait de moi ce que je suis. Quand j'ai ouvert les yeux, je me suis demandé quelle place je réservais à ce rêve de carrière. C'est simple, il n'en a pas. Il n'a plus de place.
Est - ce donc fini ? Ca y est ? C'est arrivé ? Je vivrais donc mes derniers instants (même s'il reste quelques années tout au plus) en l'air ? Ce n'est pas vraiment ce que j'appelle vivre un rêve.
La "carrière de secours", ou usuelle si vous préférez (bien que...) a toujours était envisagée. Mais à aucun moment elle n'occupait la première place.
Aujourd'hui je me rends compte que je l'ai oublié. Ne croyez pas que c'était volontaire. Bien au contraire. Je trouve ça désolant. Et c'est le coeur gros que tous les soirs depuis quelques semaines je ne peut m'empêcher de me dire que quelque chose à changé en moi. Que je ne suis plus le même. J'ai l'impression que j'ai laissé une partie de moi dans le passé.
Quand j'y pense. Du sang, des os brisés et des morts, cela ne me ressemble absolument pas. Ce n'est certainement pas ma place. Alors pourquoi cela m'attire ? Pourquoi l'endroit où je me vois le plus heureux et épanoui est - il passé dans la case des rêves déchus sans même que je m'en rende compte ? Je n'arrive pas (ou plus) à faire la part des choses entre ces deux univers. Celui qui me plait s'évanouit et un autre complètement étranger et différent de ce que je connais de ma personnalité apparaît. Il présente au moins l'avantage de repousser l'ultimatum du travail que je n'arrive pas à envisager. Rester jeune 12 ans de plus, illusion certes, mais c'est la seule chose que l'on peut obtenir...
Des projets opposés, cette sensation affreuse de grandir, d'évoluer vers le commun des mortels à mesure que l'espoir et nos rêvent s'amenuisent, les habituelles questions du que faire ? où est ma place ?... Comment peut - on vivre en restant sain d'esprit au milieu de tout ça ?
Je viens de relire. C'était plus clair dans mon esprit. Je tiens à insister sur le fait que je n'ai pas abandonné mes projets de rejoindre l'école de l'excellence du monde accro-artistique (c'est l'anatomie qui déteint sur moi je suis désolé), j'ai juste l'impression que cette vie là c'est éloignée, sans que je ne puisse rien y faire. Comme quand on se réveille un matin et que l'on s'en veut d'y avoir cru si fort.
Je pense donc m'en arrêter là pour aujourd'hui. Je ne sais pas si je me suis fait comprendre, en tout cas tout cela ne m'a pas éclairé.

Moi

"J'ai peur d'avoir rêvé de carrière et d'avoir échouer,
d'avoir à regarder en arrière et de me dire mais qu'ai - je fais ?"

jeudi 14 février 2013

Now every February...


Tout de même, même si ces jours - ci sont bizarres, pleins et pas comme je le voudrais, je ne pouvais pas passer à côté d'une telle date...
Pauvre vie.
Moi
(tout juste à l'heure, et sans tricher)

Je n'ai pas le temps de vivre, car t'aimer me prends tout mon temps.