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mercredi 31 octobre 2012

I walked



This morning I was walking through the campus, head held high, as if the world was at my feet and as if anything was possible. 
It was nice.

mardi 23 octobre 2012

Take Me Back To The Start


J'aimerais bien expliquer ce que je ressens. Mais c'est un peu compliqué, un peu effrayant. J'ai peur courir encore une fois dans un mur. Mais, c'est intriguant, différent. Une source de réflexion supplémentaire. Mais pour l'instant une petite source de sourire. Affaire à suivre.

lundi 22 octobre 2012

On vit dans un monde de fou



On vit dans un monde de fou et je suis en tête de file. Je ne sais plus comment on doit vivre. Il me faudrait un mode d'emploi. Je ne comprends pas les évolution, les chemins qu'on nous fait suivre. Je ne comprends pas pourquoi. Il y a pas mal de choses qui se bouscule dans ma tête en ce moment, je vais écrire, écrire et voir où ça me mène, tout en surveillant l'heure...
          Je voudrais retrouver mes traces, où est ma vie où est ma place ? J'ai en ce moment l'impression de rater quelque chose. J'ai le sentiment de perdre une année de ma vie, de faire une erreur. Ou alors de ne pas assez en profiter. Mais peut - on seulement en profiter ? Où sont mes amis ? Où sont mes coups de coeurs ? Où sont passés nos rires et nos sorties ? J'ai l'impression de rebrousser chemin, de redevenir ce petit garçon, seul, timide, renfermé. Honteux. J'ai l'impression de tout louper, je sens que dans quelques années je me dirais "mais qu'ai - je fais" ? Je sais cependant que je n'y peux rien, c'est comme ça, le sacrifice est lourd, je ne le pensais pas si gros. Je tente de me convaincre que ça en vaut la peine, mais est - ce vraiment le cas ? Et si je faisais fausse route ? Les tentations sont grandes mais je peux être plus fort. La vraie question est donc de savoir si je dois vraiment être plus fort ?
          Toujours chercher l’inaccessible, toujours espérer l'impossible. Dans le même registre, je ne sais pas jusqu'où je peux m'envoler, mais en tout cas j'y fonce. Peut être qu'un jour, je vais m'égarer et partir plus loin  que prévu.
          Penser à tout ce que j'ai vu où bien aller vers l'inconnu. Je me demande... Pourquoi n'ai - je du quitter personne. "Tu es la personne la plus parfaite que je connaisse". Cette phrase me tourne en tête. Je ne la comprends pas. On m'a souvent dit que j'avais beaucoup pour moi. Mais alors pourquoi suis toujours tout seul ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?! Soit on me ment, soit ça vient de moi. Je ne ferais pas n'importe quoi, ne me jetterais pas désespérément sur n'importe qui, du moins je l'espère (empêchez moi en). Mais je sais qu'il me manque quelque chose. Et je sens au fond de moi que c'est un frein à la route que j'ai commencé à emprunter. Dans divers domaines. L'an dernier j'ai explosé et j'ai commencé à voler à en frôler les étoiles, c'était je pense en partie du à une nouvelle façon de penser de voir les chose. J'ai l'impression en moi que j'ai besoin de ce nouveau moteur pour pouvoir à nouveau repousser mes limites pour pouvoir cette fois dépasser les étoiles. Confus ? Allez, un petit effort, ça fait un moment que je voulais le mettre en mots... Je voudrais partir avec toi, je voudrais rêver avec toi. Je continue de te chercher mais j'ai l'impression de devenir drogué. Toujours à la recherche d'une nouvelle dose en attendant de trouver la meilleure de toute. Je suis peut - être, sûrement, trop exigent c'est sûr, mais on ne peut pas non plus dire que cela se bouscule au portillon (pff elle est pourrie cette expression). Je ne sais comment me comporter, je ne sais que penser. Je ne sais pas ce que je dois faire, courir sur les différentes pistes me prenant des portes au nez les unes après les autres ou attendre qu'une flèche me traverse, sans trop savoir d'où elle vient. Parce que même si je sais que ça ne changera pas grand chose de chercher désespérément, il me manque quelque chose. Quelqu'un.
          Les voix de ceux qui m'ont apprit, qu'il n'y a pas de rêve interdit. Il parait que tout est possible. On se croirait dans un film. Ou une série. Mais même dans le séries, tout n'est pas possible. Et non, tout n'y est pas rose non plus. Et c'est d'ailleurs la chose qui nous ramène à la réalité. Quand on évolue parallèlement à une fiction, ce n'est plus vraiment une pause dans les journées ou une source de rêveries, mais plutôt une sorte de  fenêtre qui nous montre notre situation, qui nous rappelle tous nos problèmes et nous fait réaliser à quel point on devrait pleurer. Parce que des fois, c'est tout ce qu'il y a à faire pleurer. En attendant.
          Je voudrais oublier le temps, pour un soupir pour un instant. Ces jours ci, je réalise aussi la valeur du temps. Je me rend compte à quel point il fuit. On se réveille un jour et on voit tout ce qu'on ne fera plus. Ce qu'on n'aurait jamais pu faire, ou que l'on n'auras jamais l'occasion de faire. On regarde le retard qu'on a, on peut regretter ou s'en ravir selon les situations. Mais on a souvent l'impression d'avoir louper quelque chose. Alors on vit à 100 à l'heure, on accélère. Toujours plus vite, mais dans notre course, on oublie de s'occuper de ce qu'on devrait vraiment faire. Je pense qu'une liste des choses à faire dans la vie devrait s'imposer à tout le monde. Je pense courir vers l'aliénation. Sans savoir pourquoi ni comment. Ce monde est trop ordinaire, où bien suis - je trop rêveur, ce qui est sûr c'est que je nous vois incompatible. Alors je me demande pourquoi je suis là. Mais là, la question devient trop philosophique. J'ai peur. J'ai peur de perdre, de me perdre, de perdre des personne, de perdre mes rêves. Je ne veux pas grandir, quand on est grand on a plus de rêve et on est triste. Soit on est riche et on se convainc qu'on est heureux soit on est pauvre et on est conscient que la vie ne vaut rien. Mais dans les deux cas, l'innocence et les ambitions nous ont quitté. On s'est plié à la banalité et on s'enterre nous même chaque jour un peu plus. Alors oui, j'ai peur du temps qui passe.
Je m'éloigne. Je dis n'importe quoi. Et j'ai bien l'impression que l'un de ces jours je vais me perdre moi même. En attendant, je garde mon coeur d'enfant, mes rêves et j'essaie d'emmerder le monde en tenant bon.
Il est bien plus tard que ce que je m'étais accordé.  
Tant pis, j'ai envie d'être le seul maître de ma vie.
Bonne nuit 
Moi

mercredi 17 octobre 2012

Something could be nothing




That could start with a common point.
That could start with a gesture.
That could start with an "Hello".
That could start with a look.
That could start with a drink.
That could start with a fragrance.
That could start with a laught.
That could start with tears.
That could start with a smile.
That could start with a kiss.

And how our  friend JB says
"Everything start from something,
but something could be nothing"

So, that could start without any reason.

And sometime. That don't start.

lundi 15 octobre 2012

I wanna be happy too.


"you seems enjoy your life
as if breathing was easy
that's not how I see it
so, help me understand



you seems foget the strife
and be always so happy
explain me how do it
so please come take my hand"

Ma nouvelle vie


C'est comme une grande fourmilière, où la personne la plus singulière passe inaperçue. Comme une petit ville, qui a ses heures de pointes, ses lieux clés, ses avenues et ses piétons pressés. C'est comme une seconde maison, un second chez soi. Un chez soi qu'il faut encore apprivoiser. Plus calme. Plus urbain. Plus solitaire. C'est un endroit où il y a tellement de monde qu'on ne connait personne. Et que personne nous connait. C'est un endroit dans lequel on se rend plein d'espoir et d'ambition. Mais dont la majorité repart en pleurs. C'est un lieu entouré d'un univers fabuleux à découvrir, mais dans lequel on ne met pas un pied. C'est un endroit frustrant. C'est un monde qui nous construit. Qui nous offre un avenir dans le meilleur des cas, où qui nous fait juste un peu grandir dans le pire. On pourrait très facilement y trouver le bonheur, si seulement les journées avaient le double d'heures. C'est un endroit que je découvre tout les jours. On m'en avaient parler, mais ce n'est jamais vraiment comme on dit. Je m'y sens bien. Mais affreusement seul. Seul la nuit, seul le jour. Seul en travaillant, se en mangeant. Seul à marcher, seul à rêver. Seul à ne pas rire, seul à souffrir. C'est comme si j'étais spectateur d'un film. Il se passe une histoire, mais je n'en fait pas parti. Je suis le décor, je ne fais qu'observer.  Je me demande même si, si je venais à disparaître, quelqu'un s'en rendrait compte ? Non, je ne me le demande pas en fait.

lundi 8 octobre 2012

Mémo













Je pense (ce n'est plus vraiment une surprise) que mon plus grand problème, c'est que je me sens seul. Je suis en manque d'attention et j'ai un trop plein d'affection. Je rajoute un post it sur mon bureau d'ordinateur : développer concept de la solitude.
Moi, tout seul.

dimanche 7 octobre 2012

C'était my day.



          Une journée commence par définition à minuit. So, we're gonna strat at midnight. J'étais en train de rêvasser  d'imaginer, petit sourire aux lèvres. For once, I thought it painless. J'avais l'impression que quelque chose de positif commencer, quelque chose qui me donnait envie d'aller plus vite. I already wanted to be next Friday. L'instant était délicieux. I thought that a good day has began. J'étais loin d'être dans le vrai.
          1 AM, I decided to watch an episode of a series. Erreur monumentale. Small stars shining in my eyes turned into doubts in my heart. J'étais triste, inquiet. This feeling that fills you and you do not know why. C'était tard, et l'heure de se coucher. But I won't slept I would just cry. La joie et l'optimisme qui m'habitaient une petite  heure avant avait disparut sans vraiment aucune raison. I hold my pillow hoping that I would feel better in the morning and I try to close my eyes. 
          Je me suis réveillé énerve I understood that the day would be long. Mais j'étais bien loin de m'imaginer à quel point. I admit that I wasn't expecting that. Je vous passe les détails inutiles d'une pauvre matinée banale. 1 PM my grand mother joigned my mother and I, to watch my little brother playing soccer. Elle a fait un malaise, là, devant nous. She's ok, that could be worse. Mais c'était impressionnant. I would not say traumatizing, but not too far. Ce que cela représente pour moi est angoissant. Everyone knows it, but realize it's scary. J'ai vraiment comprit que la vie ne tenait a rien. I know that she's old and that one day she wille have to go, but that not the problem. J'étais là, impuissant, la regardait s'endormir petit à petit. No call and no slap did not change anything. Elle s'endormait, tout simplement. She was breathing hard, suffocated can be. Mais je ne savais pas vraiment ce qu'il se passait et l'imaginait déjà loin. She eventually reopen eyes. Soulagement. But I still think. Plusieurs heures après, je me pose une question. How can - we live, always wondering if we should not have to say farewell to the person who we just said goodbye ? N'importe qui, n'importe quand. I find it more frightening than to think that one day we don't see him or her again. Depuis l'hôpital, ma mère m'a demandé si mon frère et ma soeur allaient bien. They were well. Mais à aucun moment elle ne m'a demandé si moi j'allais bien. I wasn't well. Je pense que cela va me trottait dans la tête encore quelques jours. Then, I'll think of something else. Jusqu'à la prochaine confrontation, peut - être plus lourde en conséquence. I know it is inevitable.
          Malgré tout cela, aprés - midi devoir obligée. But the concentration was not there. Je papillonnais, et oh, une bonne surprise m'attendais sur facebook. But throughout the conversation, it was bad news. Après mon expérience du matin j'ai relativisé bien évidemment. But that ended to kill my innocent joy of midnight. Tant pis, une autre fois. I thought it might work, it was well gone. J'étais bien parti. but it will certainly stay the source of a single smile, one night. C'est déjà pas. Time will tell us.

Je pensais écrire plus mais il est vraiment très tard, je vous passe le reste de ma journée.
I would have done better to stay in bed. 
Bonne nuit tout le monde
I.