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samedi 29 décembre 2012

Your lips pressed to my neck


Pas Moi.

lundi 24 décembre 2012

Merry Christmas



J'ai certainement la liste de cadeaux de Noël la plus chargée de toute ma vie. je veux des milliards de choses comme en atteste mon dernier article, et il parait qu'à Noël, un petit homme avec un bonnet rouge descend du ciel et comble les enfants sages.
Je ne suis peut être plus vraiment un enfant, mais j'en ai toujours le coeur, les yeux et les ambitions, alors peut être que ce Monsieur à bonnet rouge pourrait passer me voir et m'amener un cadeau ? L'avantage d'avoir une liste de cadeau bien garnit, c'est qu'il y a l’embarra du choix.
Attendons donc demain avec impatience.

dimanche 23 décembre 2012

Je veux tout


Il n'y a pas si longtemps, on m'a demandé de développer un peu plus l'état d'esprit dans lequel je suis en ce moment, il a fallut du temps, mais voici les explications attendues.
Ce sera certainement différent des autres articles dans la forme. Pas de métaphore, pas trop de mystères, juste des explication et des pensées telles qu'elles sont.
J'ai commencé par dire que je voulais tout. On m'a répondu que c'était pas nouveau, mais ce n'est pas vraiment comme d'habitude. Depuis le début de l'année je réalise tout ce qu'il y a à faire dans la vie, je réalise le nombre de chose que je voudrais faire, le nombre de cordes que je voudrais ajouté à mon arc (j'ai dit pas de métaphore, pas pas d'expression).
Je voudrais chanter. J'aimerais apprendre. Pourquoi pas dans une émission de télé, pas forcément pour la remporter, mais juste pour vivre une expérience unique. J'aimerai faire ça une fois dans ma vie pour en espérant émouvoir et faire pleurer ce qui écoutent. J'ai déjà une liste de chanson que j'aimerais faire. Je voudrais essayer, aller le plus loin possible, vivre à fond l'expérience et puis passer à autre chose car on ne peut pas rester que sur quelque chose.
J'aimerais faire des photos. Même remarque, pas à vie, mais faire quelques shooting nous laissant quelques clichés dont on est fier en souvenir.
J'aimerais danser. J'adorerais. J'en rêve. Je veux savoir bouger, parler et m'exprimer avec mon corps. J'ai l'impression que je pourrais le faire pendant des heures durant. Je voudrais savoir faire les mêmes choses que ceux que j'admire.
Je voudrais jouer dans une comédie musicale. Après avoir fait tout ça, que se soit en danseur, en chanteur ou en acrobate, peu importe, je pourrais faire les trois s'il le faut. Je voudrais juste le vivre une fois. Se mettre dans la peau d'un autre, interprété un rôle en faisant ce que l'on aime, en visant de plus en plus la perfection et en cherchant à émouvoir un maximum.
La liste est encore longue mais tous ne sont pas à dire. En fait je veux tout essayer, je ne peux me résoudre à vivre comme tout le monde, je veux découvrir, m'émerveiller chaque jour et partir là où mon coeur me dit d'aller, en suivant au fil du temps les différentes portes qui s'ouvrent à moi et toujours en choisissant non pas la plus judicieuse ni la plus raisonnable, mais la plus folle et celle qui me fait envie à l'instant T.
J'aimerais être un artiste. Un artiste complet et exceptionnel. Et quand je pense à tout ça, je me demande ce que je fait. Je me demande si j'ai raison d'être là où je suis ou si je ne suis pas juste un homme comme les autres avec de grands rêves mais suivant le chemin du commun des mortels. Je me dit que c'est pourtant nécessaire, en cas d'échec, j'aurais quelque chose à quoi me raccrocher. Mais quand j'y réfléchit, je ne voit juste pas à quel moment je pourrais tout simplement tenter ma chance, montrer ce que je suis, ce que je vaut ce que je sais faire et surtout ce que je peux faire.
On m'a souvent dit et répétés que j'étais quelqu'un "d'exceptionnel" je ne suis pas tout à fait d'accord, je pense qu'en fait, j'ai juste un potentiel exceptionnel, dans divers domaines, mais que comme tout le monde, il dormira à jamais en moi, pendant toutes les années où je me lèverais pour aller bosser, me demandant à quel moment je pourrais mettre de l’essence, faire le ménage et faire les courses.
Voilà mon état d'esprit. Cette année de privation éveille en moi des rêves et des projets, des envies de tout essayer et de vivre au maximum de profiter de chaque instant selon mes envie, mais en parallèle, je vois le quotidien banal s'approcher de moi inexorablement.
Je pourrais en parler des heures, développer encore et encore, mais je pense que l'idée est passé et c'était le but.
Moi

jeudi 20 décembre 2012

Et Maintenant ?



Parlons sport.
"Je ne sais pas comment tu réussi à tout suivre", "c'est vraiment impressionnant de jouer sur les deux tableaux et de s'en sortir aussi bien". Ben justement, je fais pas. Ou je fais plus plutôt.
Je l'ai senti venir. En y repensant, cela fait deux semaines que je tire la sonnette d'alarme en disant que je me sens bizarre. Un lien ? Aucun ? On ne saura jamais. Ai - je commencé à tout perdre en voulant tout avoir ? Est - ce juste un avant goût de ce que l'année me réserve ? Est - ce une mise en garde ? Que dois - je faire à présent ?
J'ai vaincu l'appréhension.
J'ai vaincu la peur.
J'ai vaincu le traumatisme.
J'ai vaincu le doute.
J'ai vaincu la chute.
J'ai vaincu l'échec.
J'ai vaincu la blessure.
Aujourd'hui je mène peut certainement l'avant dernière bataille à laquelle je serais confronté.
Serais - je capable de me vaincre moi même ?

Un soir, un besoin, un article.


Ce soir, un petit besoin d'écrire, sans trop savoir pourquoi. Premier signe d'un coup de blues ? Espérons que  non, ce n'est pas tellement le moment...
Moi

dimanche 16 décembre 2012

A quel point as - tu grandit ?




Une petite révision d'un des premiers articles
       Banalités
  Prénom ? Je n'en ai pas Je ne vais pas le dévoiler ici
  Nom ? Je ne le connais pas Idem
  Âge ? Ça dépend de l'âge que tu me donne...
  Sexe ? Oui j'en ai un
QUESTION SUPRIMEE
  Signe Astro ? Bête à corne

       Goûts et préférences
  Une couleur ? Le rouge, autant Amour que Sang
  Une fleur ? La rose
  Un film ? Non deux pleins
 QUESTION SUPRIMEE
  Un hobbies ? Non ça ne l'est plus   Il répond à bien des appellations
  Si tu devais être un mélange de 4 caractéristiques d'animaux ? La liberté et les ailes d'un oiseau, l'agilité et la discrétion d'un chat, la force et la sagesse d'un tigre, la magnificence et la mythologie d'un cygne.
  Une boisson ? Tout ce qui se boit  Du pétillant de préférence
  Un pays ? L'Egypte ou tout n'est que grain de sable
  Une ville ? NY
  Une langue ? Ben oui comme tout le monde... Enfin à peu près
  Un Nombre ? 666  Non je ne sais pas...
  Un extrait de chanson ? 'souviens toi du temps où tu savais sourire'  C'est en évolution tous les jours, mais à l'heure actuelle, je dirais : "tant qu'on rêve encore, que nos yeux s'étonnent encore, rien n'est perdu"
       Quelques vérités...
  Amoureux ? Je n'aime personne  J'ai pas le temps
  As - tu déjà Aimer ? Oui
  As - tu déjà tromper ta partenaire ? Non
  As tu déjà voler de l'argent ? Oui
  Y a t -il quelqu'un que tu aimes plus que tout ? Oui
  Y a t -il quelqu'un que tu hais plus que tout ? Où est la frontière entre l'amour et la haine ?
  As tu déjà profiter de quelqu'un ? Oui
 QUESTION SURPRIMEE
  As - tu déjà fais souffrir quelqu'un ? Oui
QUESTION SUPRIMEE
  Envie de tuer quelqu'un ? Oui, mais ne demande pas qui
   . . .
  Fidèle en amour ? Oui
  Fidèle en amitié ? Oui si l'autre l'est
  Alcool ? Oui, celui qui fait passer de bonnes soirée et celui qui fait tout oublier
  Cigarette ? Non
  Drogue ? Pas encore mais je commence à y penser ...
  Fier de ? Ceux qui s'aiment   C'est un peu bizarre comme question
  Honte de ? Moi  Du comportement de certains ? je sais pas trop quoi répondre
  Plus grand rêve ? Vivre mes rêves
  Pire cauchemar ? La perdre
  Veux tu des enfants ? Non, je refuse de les faire souffrir  Je suis en médecine, on m'a apprit que ça marchait pas ...
       Si je te dis...
  Rouge ? Amour sanguinaire
  Bulle ? Isolement
  Amour ? Drogue
  Lit ? Sommeil éternel  Je connais plus trop, et il ne m'a jamais autant manqué
  Tête ? Prête à exploser
  Rien ?  Rien
  Sport ? On s'envole jusqu'à se prendre un mur ou à plus se relever

RUBRIQUE SUPRIMEE (hormis une qui n'a pas changé)
  La confiance que l'on peut avoir en toi ? Pleine. 10

       Derniers et Premiers
  Dernière chanson écoutée ? Chanter pour ceux  Tant qu'on rêve encore
  Dernière personne que tu as eu au téléphone ? Ma mère
  Premier coup de foudre ? Entre 1994 et 2010 (28 août) 2009
  Dernier achat ? Pizza Un bon d'achat de 40 euros dans une bijouterie
  Première chose quand tu te lève ? Penser au coucher
  Ton dernier rêve ? Un rêve aussi immonde que moi Tout le monde n'a pas 18 ans ici... 
  Première chose que tu ferais si tu gagner au loto ? Partir. Loin et changer de vie.
       Si tu étais ...
  Une couleur ? Le rouge. Passion addictive, amour sanguinaire.
  Un sport ? Le plongeon. Maître de deux éléments majestueux.
  Un objet ? Un fusil.  Une paillette
  Un des 4 éléments ? L'eau. Puissance, liberté, magnificence et mystère.
  Un jour de la semaine ? Le vendredi
  Un moment de la journée ? La nuit.
  Une autre personne ? N'importe qui de bien 
  Un endroit du corps ? Les poignée d'amour et le torse
  Un tatouage ? Celui qui rappelle le passé. Sur l'omoplate droite  Ou un qui rappelle un état d'esprit, notamment de s'accrocher à ses rêves et de suivre la folie qui coule dans mes veines. Endroit encore à déterminer.

RUBRIQUE SUPRIMEE

       Que fairais tu si ?
  Tu gagner au loto ? Je partirais loin et changerais tout
  Tu avais des ailes ? Je volerais loin
  Tu avais des pouvoirs magiques ? Je serais heureux. Je servirais à quelque chose. Je les utiliserais
  Tu devenais aveugle ? Je ne verrais plus
  Il ne te rester que 5 minutes à vivre ? je dirais à tous ceux que j'aime que je les aime et que je pars le coeur léger mais je pense que je pleurerais
  Tu étais invisible ? Ce serais mieux  bien
QUESTION SUPRIMEE
  Tu pouvais choisir le temps de demain ? Orage. Toute la journée et toute la nuit. Et je resterais dessous  au lit
       Rêvons ensembles...
  Te souviens - tu de tes rêves le matin ? En partie
  Parles - tu de tes rêves aux autres ? Non
  Quel est ton rêve le plus tordu ? Tous
  Le plus affreux ? Le dernier certainement celui dont je parlais lors de la dernière réponse
  Le plus secret ? Le dernier Tous
  Celui qui te turlupine le plus ? Le dernier Certains dont je me souviens
  Le plus irréel ? Celui où j'étais quelqu'un La plupart de mes rêves
  As - tu déjà eu l'impression de tomber dans le vide ? Oui
  Pense tu que les rêves reflètent les pensées ? J'en ai bien peur
  Aimerais - tu savoir interpréter tes rêves ? Oui
  Pourquoi ? Pour comprendre
  Aimerais - tu arrêter de rêver ? Oui et non

       3 choses (de la plus à la moins importante )
  Dont tu as peur ? Moi, la mort, et les araignées 
  Que tu as fait dans les 33 dernières minutes ? Penser, pleurer, et écrire  Travailler, parler, écrire
  Que tu aimerais qu'on t'offre ? De l'amour, de l'attention, et un Iphone4 5
  Qui occupe la plus grande partie de ton temps ? Travailler, Penser, Voler (ou s'écraser plutôt ces jours ci)
  Que tu aimerais essayer ? Une seule suffira merci La réponse complètement différente : Tout, absolument tout

       As tu peur ?
  Du noir ? Oui
  Des rêves ? Oui
  Des araignées ? Oui
  De vieillir ? Oui plus que jamais
  De ne pas être aimé ? Je le vis je préfère ne pas y penser
  De ne pas réaliser tes rêves ? Je le sais Oui, plus que jamais aussi
  De toi ? Oui
  De l'amour ? Oui mais je l'attends avec impatience
  De la mort ? Oui et non

       Un peu de couleur
  Quelle couleur te représente le mieux ? Gris Un arc en ciel
  L'amour ? Rouge
  L'amitié ? Orange
  La haine ? Rouge
  L'addiction ? Rouge et vert
  La peur ? Vert
  La vie ? Rose
  Le bien ? Blanc
  Le mal ? Noir
  La vie, tu la vois en couleur ou en noir et blanc ? En noir Ca dépend des jours
  Une couleur pour tes rêves ? Bleu ciel
  La couleur des yeux que tu aimerais avoir ? Vert 
  Couleur préférée ? Rouge
  Couleur que tu aimes le moins ? Rouge Marron


Conclusion
Tout à bien changer, mais je pense qu'il y a encore bien du chemin à parcourir avant de pouvoir dire que tu es enfin quelqu'un.

samedi 15 décembre 2012

C'est un peu comme vivre en fait...




C'est étrange comme sensation.
C'est comme si tout votre univers était remit en question.
C'est un risque qui plane sur votre tête pendant des années et des années et qui finalement un jour finit par tomber.
C'est une chose que vous ne comprendrez pas même avec la meilleure volonté du monde, car pour ça il faudrait être dans ma tête.
C'est comme, non c'est, se jeter d'une falaise sans connaitre la distance nous séparant du sol.
C'est comme être perdu dans une ville gigantesque dont vous ne parlez pas la langues.
C'est perdre tout repère, c'est perdre tout sens et sensation qui vous permettez de sauver votre vie à chaque étape.
C'est comme si tout ça avait disparut.
C'est avoir peur, sans savoir quand ça ira mieux, ni quand ça reviendra.
C'est comme vous rendre compte que ça arrive à tout le monde, et que vous êtes comme tout le monde.
C'est découvrir des côtés obscurs jusque là inexplorés.
C'est comme ouvrir une porte qui aurait du rester fermée.
C'est comme la petite fissure qui finira par faire exploser l'aquarium.
C'est comme un risque, que vous mesurer d'avantage.
C'est comme un ancien démon que vous aviez longuement combattu et qui finit par revenir.
C'est l'impression de ne plus être vous même, de ne plus vous reconnaître ni de savoir qui pense à votre place.
C'est comme si on vous avez enlever un bout de souvenir, un bout de vous. Un morceau d'expérience qu'il va falloir reconstruire.
C'est bien mystérieux.
C'est complètement effrayant.
C'est parfaitement risqué.
Mais c'est avant tout un cercle vicieux duquel il est dur de sortir

Moi
PS : Du nouveau dans 'Admiration'

mercredi 5 décembre 2012

I'm walking through the life



Alors quoi, ça y est ? On finit cette année, on en passe trois autre et toutes celles d'après seront pareilles les unes aux autres ? Plus de projets ? Plus d'ambition ?
J'ai du mal à imaginer ma vie d'ici quelques années. Savoir quelles choses seront encore là, lesquelles auront du être abandonnées en route. J'ai peur. Je voudrais faire tant de choses que je ne peux pas les faire en même temps. sauf que chacune nécessitent une évolution et ne peuvent donc pas être abandonnées. Et en ce moment même, alors que chacune de mes différentes options me demande de plus en plus, tout ce que je trouve à faire c'est m'en trouver encore de nouvelles. Il me faut du temps, je veux que le temps s'arrête, j'aimerais vivre pour toujours. Comme tout le monde.
En fait, je suis juste comme tout le monde. Avec plein de rêves fous, mais marchant vers une vie triste et monotone en regardant s'éloigner les chances de réaliser mes projets.
Comme tout le monde.
"Grandir" il parait qu'on appelle ça comme ça.
Moi

mardi 27 novembre 2012

Waiting



Je reste là, assis, cherchant l'inspiration, la motivation. LA concentration surtout. Je sais que chaque minute de perdue peut faire la différence, et pourtant je les perds par poignée. Il y a des jours où il n'y a rien à faire mise à part attendre. Alors j'attends. Regardant les gens s'activer autour de moi. C'est passionnant, je vous assure.

dimanche 25 novembre 2012

Tic, tac. Tic, tac. Tic…




Ce matin, j’ai eu droit aux quelques secondes d’innocence et de bonheur que l’on ressent lorsqu’on ouvre les  yeux, et que tout ce qui nous entoure, tout ce qui perturbe notre état d’esprit, tout ce qui nous rends triste, tout ce qui nous angoisse, ne nous est pas encore tombé dessus. Quelques secondes. Je rêve de dormir, pour pouvoir me réveiller à nouveau.

Ce qui me touche, c’est toi, et le bruit de tes pas.




Il existe des choses, que se soit des personnes, des mots, des images, des histoires, des chansons, des expériences ou même des mots, des photos, des impressions, des évènements  qui nous…
J’allais écrire en parlant de tout le monde, mais en fait je n’en sais rien, je ne vais donc parler que de moi… Je reprends.
Il existe des choses, que se soit des personnes, des mots, des images, des histoires, des chansons, des expériences ou même des mots, des photos, des impressions, des évènements  qui me touche. Qu’elles soient habituelles, exceptionnelles, réelles, virtuelles ou imaginaires, qu’elles me concernent ou non, qu’elle soit des plus merveilleuses, ou des  plus tristes, toutes ces choses, ces personnes, ces mots, ces images, ces histoires, ces chansons, ces expériences ou même ces mots, ces photos, ces impressions, ces évènements, me touchent. Ils prennent possession de mon âme pour quelques temps, je les sens couler dans mes veines, je les sens racler mes poumons à chaque inspiration. Elles me consument de l’intérieur sans que je ne puis savoir pourquoi.
Tous ces choses, ces personnes, ces mots, ces images, ces histoires, ces chansons, ces expériences ou même ces mots, ces photos, ces impressions, ces évènements me changent, me construisent et font de moi ce que je suis. Je pense qu’on appelle couramment ça de la culture, je parlerais plutôt de torture. D’accord, je l’avoue, j’exagère un peu. Mais la rime était intéressante. Néanmoins mon état d’esprit ne tient vraiment à rien.
Je me rends compte qu’en fait, je suis bien trop sensible. Je réagis bien trop à tout ce qui m’entoure. Être humain pourrait – il rendre malheureux ? La question ne se pose même pas. Tout ce que je sais, c’est que sans connaitre, sans jamais n’en avoir entendu parler, aujourd’hui j’ai pleuré pour vous. Compassion, empathie ? Je ne sais pas, mais ça m’a touché. Plus que la plupart des gens. Je crois que ça doit être dans ma nature de toujours avoir / vouloir plus. Il y a des fois, ça me porte loin, d’autre, ça me fait tomber bien bas. En tout cas, vous m’avez touché. Et je vais très certainement vous écouter encore quelques jours ou semaines avant que quelque chose d’autre ne vous remplace, et qu’à nouveau cette chose me touche.
Je viens de faire une pause de plusieurs dizaines de minutes pour cause de sommeil. Et en me réveillant tout ceci me semble  encore plus bizarre.  Je pense que là réside une autre grande part du problème, hormis ma sensibilité accrue, ma fatigue.
Bref, ce que j’essaie de dire, c’est qu’aujourd’hui, je me sens pas pour ça, demain, ça prendra une autre forme, et la semaine ou le mois prochain une autre. Quand je regarde derrière moi, je ne compte plus le nombre de choses qui m’ont touché, fait mal, et laissé une cicatrice et qui ont sans doute un lien, même petit, avec la personne que je suis aujourd’hui. Je trouve que ça fait mal de grandir. Au début je pensais que ça passerait avec l’âge, je pense être bientôt grand, mais je vois que ça continue. Ensuite j’ai pensé que j’étais juste trop rêveur, mais dans ce cas précis, rien à voir avec un rêve ou un désir, loin de là. Maintenant, je me dis que c’est ma sensibilité aiguë qui me coule, mais il y a temps de choses affreuses auxquelles je suis parfaitement insensible.
Quel mystère suis – je donc ?

Moi

PS : Dans ma tête, cet article était bien plus beau, essayez de le lire directement dans ma tête, vous en pleurerez certainement

C’était carrément nul


                 

                 J’ai relu mon dernier article, i était carrément nul. J’aurais dû le développer beaucoup plus. Je n’en avais pas forcément le temps, mais j’aurais du le prendre.
                La vie est tellement fascinante. Notez les différentes déclinaisons de ce terme qui peuvent aller  de l’admiration à la consumation. Il y a tant de chose à faire, à voir à vivre, qu’on pourrait s’en réjouir. Mais nous sommes tellement éphémères que, conscient que le temps urge, on passe notre temps à nous demander si on ne fait pas fausse route, si on ne se trompe pas. C’est peut être en faisant des erreurs qu’on apprend, mais qu’on apprend quoi ? A perdre plusieurs années précieuses ?
                Je sais que moi, je voudrais tout faire. Il y a des milliers de choses que je voudrais faire, j’en réaliserais certainement quelques unes, avec un peu de chance et un soupçon d’audace, mais comment choisir les prioritaires, sur une liste qui s’allonge à mesure que les jours passent, que je grandis et que je me rends compte que je n’aurais jamais tout, ni ne ferais jamais tout.
                L’envie y est ça c’est certain, mais le doute aussi, il fait partit de moi. Presque on serait pote même. Je le côtoie le jour et il me hante la nuit. Il me distrait en cours, et m’occupe quand je m’ennuie. Il est présent partout où je vais, comme mon ombre où mon bras gauche. Or tout le monde sait qu’avec des doutes on ne va pas loin, que quoique que l’on décide d’entreprendre, il faut en être convaincu. Devrais – je m’empoter de mon bras gauche, et partir en courant, sachant que si je tombe, je ne pourrais plus me rattraper ? Quel est la part du risque que l’on doit s’autoriser ?
                Donc oui, je pourrais certainement me transformer en tueur du jour au lendemain et saigner tous ceux qui me barrent la route. Oui je pense que j’ai ce potentiel. Mais suis – je assez fort pour l’exploiter ? Suis assez fort pour croire en ce que je veux ?  
                Cela fait un petit moment que je cherche comment continuer. Ma réflexion ne s’arrête pas là, mais je ne trouve plus les mots. Donc tant pis, je la reprendrais plus tard.
Moi

"Give me strength to believe"



On me dit souvent que je doit juste y croire. Que je suis capable d'atteindre mes rêves.
Une nouvelle question apparaît cependant dans ma tête,
Suis - je seulement assez fort pour y croire ?
Moi

lundi 19 novembre 2012

Indécis


Si seulement j'arrêtais de changer d'avis, de point de vue et de sentiments toutes les 10 minutes, 
je saurais au moins à quoi m'en tenir, 
je saurais prendre un rythme et le tenir, je pourrais l'optimiser.
Je pourrais certainement exploiter le temps si précieux d'une manière bien plus optimale que ce que je fais en ce moment....
Parce que pour l'instant, je pédale dans la  semoule et ne fais que me démener dans des sables mouvants...

Moi, 
mais je ne sais pas lequel...

jeudi 15 novembre 2012

Idéal




Dans la situation idéale, cette année ne serait pas veine. Elle serait ponctuée de petits bonheurs comme des rencontres, des bonnes nouvelles, des sorties. Des tas des choses à classer dans la catégorie des bons souvenirs.
Dans une situation idéale, j’aurais autre chose qu’une bouillote bien trop chaude pour me réchauffer la nuit, mon portable me servirait à autre chose que MP3 et réveil, comme à parler à des gens pour planifier des trucs par exemple. Mes faibles heures de sommeils seraient dues à une montagne de choses super intéressantes à faire, à voir, à découvrir, à vivre, et non à une montagne de chose à lire, à relire, à rerelire, à comprendre, et à apprendre.
Dans une situation idéale, je n’aurais ni regrets ni erreurs sur mon parcours. En effet, aucun regrets car j’aurais toujours fais les bon choix, et non ceux qui laisse un goût amer d’inachevé, pas d’erreur, car c’était seulement un moyen de me faire rebondir plus haut.
Dans une situation idéale, cette année se terminerait bien et me demanderait de faire un choix plutôt difficile, mais quel qu’il soit, il serait le bon, et j’aurais réussit.
Dans une situation idéale, je porterais je porterais bientôt un écusson tricolore et une médaille en or. Puis je finirais par laisser mon écusson à d’autres jeunes rêveurs pour me mettre plus de maquillage qu’il n’en faut pour me rendre méconnaissable. Je frôlerais l’excellence à en faire frissonner les gens.
Dans une situation idéale, je n’aurais pas peur de la mort ni du temps qui passe, car j’aurais accompli ce que j’avais à faire. Car dans cette situation idéale, j’aurais vécu ma vie.
Mais je crois bien devoir faire plusieurs croix sur plusieurs de ses différents points et par la même me satisfaire d’une situation optimale…

Moi

dimanche 11 novembre 2012

Fly away



No text. No expliction. Just think. Think how it could have been 

wonderful.

vendredi 9 novembre 2012

Tchou Tchou


Dans un train, il n’y a pas grand-chose à faire. J’ai prévu du boulot évidemment, mais pas assez, le reste est au fond de mon sac, le train est bondé, ça attendra plus tard. Je devais bosser à l’ordi, il me faut internet. Or, il n’y a pas internet dans le train.
Alors que fait on dans un train où il n’y a rien à faire ? On pense, on regarde à droite, à gauche. Surtout à gauche en l’occurrence. Car oui, on croise du beau monde, et par beau j’entends physiquement intelligent bien sûr. Ah ben tient, justement il descend. Dommage. Mais bon, en fait, le train, c’est un peu comme la vie. Il y a des gens qui restent, d’autre qui s’en vont. Certains s’en vont alors qu’on aurait bien voulu les voir rester, d’autre reste même si on aimerait les voir partir. Comme cette dame qui ne doit pas connaître le sens du mot hygiène et qui  a choisit la meilleure place du train : à côté de moi. Ca y ai, il a disparut. Revenons à notre train.
Je disais que ça ressemblait à la vie. C’est vrai. On attend. Ou alors on essaie de s’occuper pour se persuader qu’on ne perd pas notre temps. Temps précieux. En train, on observe un peu la vie de l’extérieur. On traverse des kilomètres et des kilomètres de paysages  et de villes inconnus. On voit des gens vivre leur vie chacun de leur côté sans faire attention à ceux qui vivent à côté d’eux. Je ne suis pas très clair. Je vais essayer de m’expliquer. Le train permet de réaliser que pendant que je suis là en train de pianoter sur mon ordi pour me persuader que je ne perds pas de temps, d’autres sont en cours, en voiture, devant la TV. Pense que pendant que tu lis ça, transatlantique, certains marchent sur des tapis rouges sous les flashs des paparazzis. Pense qu’il y a un petit garçon qui vient certainement de tomber de vélo, quelque part dans le monde, pas en Chine en tout cas, car en ce moment, les petits garçons et la plupart des  gens normaux (j’exclu par là tous les jeunes qui font la fête toute la nuit) et les jeunes qui sont en médecine dorment.
Vous êtes vous déjà demander ce que cela ferait d’être dans la tête d’un autre ? D’entrer dans se vie ne serait – ce que quelques heures ? 200 millions de spermatozoïdes. Soit 1 chance sur 200 millions d’arriver à la vie. 7 milliard d’êtres humains, soit 7 milliards de vies différentes, donc 1 chance sur 7 milliard de tomber sur la mienne. Nous sommes déjà à 1 chance sur 1 400 000 000 000 000 000 soit 1,4 milliard de millions de chance de tomber sur ma vie. En rajoutant tout les facteurs qui font que ma vie est telle qu’elle est, (j’entends par là les choix faits, les obligations, les voies suivies, et tout le reste) on approche l’infini en terme de possibilité. Donc le zéro en termes de  probabilité. Je suis donc scientifiquement improbable.
Je me suis beaucoup éloigné de mon train quoique j’aime bien là où cette divagation m’a menée. Bref, je reviens à mon train tout en réfléchissant à ces multitudes de vies autour de nous auxquelles ont ne prête pas assez d’attention a mon avis. Pas que l’on doive se préoccuper d’autrui, ce n’est certainement pas moi qui vais dire ça. Mais plus prendre conscience de ce que cela représente. Il y a cet homme qui a changé quatre fois depuis le départ. Pourquoi cela ? Seul lui (et encore ce n’est même pas sûr…) le sait. Il y a aussi cette vieille dame qui a demandé si la place était occupée pour finalement s’y assoir quand on lui a répondu que oui et ce jeune qui s’engueule probablement avec sa copine depuis le début du trajet. Que d’agitation me direz vous, oui j’ai le chic pour tomber sur les wagons des tarés. Il y a aussi ce jeune handicapé. Lui est un cas intéressant. Je me demande et me suis toujours demandé comment il percevait le monde ? Le perçoit – il seulement ? Que se passe – t – il dans se tête ?
Que se passe – t – il dans la tête des gens ? Que se passe – t – il dans leur vie ? C’est des questions que je me pose assez souvent. Bizarre hein ? Allez savoir ce qui se passe dans ma tête …

Moi

vendredi 2 novembre 2012

Ce n'est pas une menace.




On m'a dit de ne pas abandonner, c'est ce que je vais faire.
Je ne sais pas encore vraiment comment, mais c'est moi qui gagnerait.
Ceci n'est pas une menace, c'est bien plus. Je vous préviens.
Moi.

mercredi 31 octobre 2012

I walked



This morning I was walking through the campus, head held high, as if the world was at my feet and as if anything was possible. 
It was nice.

mardi 23 octobre 2012

Take Me Back To The Start


J'aimerais bien expliquer ce que je ressens. Mais c'est un peu compliqué, un peu effrayant. J'ai peur courir encore une fois dans un mur. Mais, c'est intriguant, différent. Une source de réflexion supplémentaire. Mais pour l'instant une petite source de sourire. Affaire à suivre.

lundi 22 octobre 2012

On vit dans un monde de fou



On vit dans un monde de fou et je suis en tête de file. Je ne sais plus comment on doit vivre. Il me faudrait un mode d'emploi. Je ne comprends pas les évolution, les chemins qu'on nous fait suivre. Je ne comprends pas pourquoi. Il y a pas mal de choses qui se bouscule dans ma tête en ce moment, je vais écrire, écrire et voir où ça me mène, tout en surveillant l'heure...
          Je voudrais retrouver mes traces, où est ma vie où est ma place ? J'ai en ce moment l'impression de rater quelque chose. J'ai le sentiment de perdre une année de ma vie, de faire une erreur. Ou alors de ne pas assez en profiter. Mais peut - on seulement en profiter ? Où sont mes amis ? Où sont mes coups de coeurs ? Où sont passés nos rires et nos sorties ? J'ai l'impression de rebrousser chemin, de redevenir ce petit garçon, seul, timide, renfermé. Honteux. J'ai l'impression de tout louper, je sens que dans quelques années je me dirais "mais qu'ai - je fais" ? Je sais cependant que je n'y peux rien, c'est comme ça, le sacrifice est lourd, je ne le pensais pas si gros. Je tente de me convaincre que ça en vaut la peine, mais est - ce vraiment le cas ? Et si je faisais fausse route ? Les tentations sont grandes mais je peux être plus fort. La vraie question est donc de savoir si je dois vraiment être plus fort ?
          Toujours chercher l’inaccessible, toujours espérer l'impossible. Dans le même registre, je ne sais pas jusqu'où je peux m'envoler, mais en tout cas j'y fonce. Peut être qu'un jour, je vais m'égarer et partir plus loin  que prévu.
          Penser à tout ce que j'ai vu où bien aller vers l'inconnu. Je me demande... Pourquoi n'ai - je du quitter personne. "Tu es la personne la plus parfaite que je connaisse". Cette phrase me tourne en tête. Je ne la comprends pas. On m'a souvent dit que j'avais beaucoup pour moi. Mais alors pourquoi suis toujours tout seul ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?! Soit on me ment, soit ça vient de moi. Je ne ferais pas n'importe quoi, ne me jetterais pas désespérément sur n'importe qui, du moins je l'espère (empêchez moi en). Mais je sais qu'il me manque quelque chose. Et je sens au fond de moi que c'est un frein à la route que j'ai commencé à emprunter. Dans divers domaines. L'an dernier j'ai explosé et j'ai commencé à voler à en frôler les étoiles, c'était je pense en partie du à une nouvelle façon de penser de voir les chose. J'ai l'impression en moi que j'ai besoin de ce nouveau moteur pour pouvoir à nouveau repousser mes limites pour pouvoir cette fois dépasser les étoiles. Confus ? Allez, un petit effort, ça fait un moment que je voulais le mettre en mots... Je voudrais partir avec toi, je voudrais rêver avec toi. Je continue de te chercher mais j'ai l'impression de devenir drogué. Toujours à la recherche d'une nouvelle dose en attendant de trouver la meilleure de toute. Je suis peut - être, sûrement, trop exigent c'est sûr, mais on ne peut pas non plus dire que cela se bouscule au portillon (pff elle est pourrie cette expression). Je ne sais comment me comporter, je ne sais que penser. Je ne sais pas ce que je dois faire, courir sur les différentes pistes me prenant des portes au nez les unes après les autres ou attendre qu'une flèche me traverse, sans trop savoir d'où elle vient. Parce que même si je sais que ça ne changera pas grand chose de chercher désespérément, il me manque quelque chose. Quelqu'un.
          Les voix de ceux qui m'ont apprit, qu'il n'y a pas de rêve interdit. Il parait que tout est possible. On se croirait dans un film. Ou une série. Mais même dans le séries, tout n'est pas possible. Et non, tout n'y est pas rose non plus. Et c'est d'ailleurs la chose qui nous ramène à la réalité. Quand on évolue parallèlement à une fiction, ce n'est plus vraiment une pause dans les journées ou une source de rêveries, mais plutôt une sorte de  fenêtre qui nous montre notre situation, qui nous rappelle tous nos problèmes et nous fait réaliser à quel point on devrait pleurer. Parce que des fois, c'est tout ce qu'il y a à faire pleurer. En attendant.
          Je voudrais oublier le temps, pour un soupir pour un instant. Ces jours ci, je réalise aussi la valeur du temps. Je me rend compte à quel point il fuit. On se réveille un jour et on voit tout ce qu'on ne fera plus. Ce qu'on n'aurait jamais pu faire, ou que l'on n'auras jamais l'occasion de faire. On regarde le retard qu'on a, on peut regretter ou s'en ravir selon les situations. Mais on a souvent l'impression d'avoir louper quelque chose. Alors on vit à 100 à l'heure, on accélère. Toujours plus vite, mais dans notre course, on oublie de s'occuper de ce qu'on devrait vraiment faire. Je pense qu'une liste des choses à faire dans la vie devrait s'imposer à tout le monde. Je pense courir vers l'aliénation. Sans savoir pourquoi ni comment. Ce monde est trop ordinaire, où bien suis - je trop rêveur, ce qui est sûr c'est que je nous vois incompatible. Alors je me demande pourquoi je suis là. Mais là, la question devient trop philosophique. J'ai peur. J'ai peur de perdre, de me perdre, de perdre des personne, de perdre mes rêves. Je ne veux pas grandir, quand on est grand on a plus de rêve et on est triste. Soit on est riche et on se convainc qu'on est heureux soit on est pauvre et on est conscient que la vie ne vaut rien. Mais dans les deux cas, l'innocence et les ambitions nous ont quitté. On s'est plié à la banalité et on s'enterre nous même chaque jour un peu plus. Alors oui, j'ai peur du temps qui passe.
Je m'éloigne. Je dis n'importe quoi. Et j'ai bien l'impression que l'un de ces jours je vais me perdre moi même. En attendant, je garde mon coeur d'enfant, mes rêves et j'essaie d'emmerder le monde en tenant bon.
Il est bien plus tard que ce que je m'étais accordé.  
Tant pis, j'ai envie d'être le seul maître de ma vie.
Bonne nuit 
Moi

mercredi 17 octobre 2012

Something could be nothing




That could start with a common point.
That could start with a gesture.
That could start with an "Hello".
That could start with a look.
That could start with a drink.
That could start with a fragrance.
That could start with a laught.
That could start with tears.
That could start with a smile.
That could start with a kiss.

And how our  friend JB says
"Everything start from something,
but something could be nothing"

So, that could start without any reason.

And sometime. That don't start.

lundi 15 octobre 2012

I wanna be happy too.


"you seems enjoy your life
as if breathing was easy
that's not how I see it
so, help me understand



you seems foget the strife
and be always so happy
explain me how do it
so please come take my hand"

Ma nouvelle vie


C'est comme une grande fourmilière, où la personne la plus singulière passe inaperçue. Comme une petit ville, qui a ses heures de pointes, ses lieux clés, ses avenues et ses piétons pressés. C'est comme une seconde maison, un second chez soi. Un chez soi qu'il faut encore apprivoiser. Plus calme. Plus urbain. Plus solitaire. C'est un endroit où il y a tellement de monde qu'on ne connait personne. Et que personne nous connait. C'est un endroit dans lequel on se rend plein d'espoir et d'ambition. Mais dont la majorité repart en pleurs. C'est un lieu entouré d'un univers fabuleux à découvrir, mais dans lequel on ne met pas un pied. C'est un endroit frustrant. C'est un monde qui nous construit. Qui nous offre un avenir dans le meilleur des cas, où qui nous fait juste un peu grandir dans le pire. On pourrait très facilement y trouver le bonheur, si seulement les journées avaient le double d'heures. C'est un endroit que je découvre tout les jours. On m'en avaient parler, mais ce n'est jamais vraiment comme on dit. Je m'y sens bien. Mais affreusement seul. Seul la nuit, seul le jour. Seul en travaillant, se en mangeant. Seul à marcher, seul à rêver. Seul à ne pas rire, seul à souffrir. C'est comme si j'étais spectateur d'un film. Il se passe une histoire, mais je n'en fait pas parti. Je suis le décor, je ne fais qu'observer.  Je me demande même si, si je venais à disparaître, quelqu'un s'en rendrait compte ? Non, je ne me le demande pas en fait.

lundi 8 octobre 2012

Mémo













Je pense (ce n'est plus vraiment une surprise) que mon plus grand problème, c'est que je me sens seul. Je suis en manque d'attention et j'ai un trop plein d'affection. Je rajoute un post it sur mon bureau d'ordinateur : développer concept de la solitude.
Moi, tout seul.

dimanche 7 octobre 2012

C'était my day.



          Une journée commence par définition à minuit. So, we're gonna strat at midnight. J'étais en train de rêvasser  d'imaginer, petit sourire aux lèvres. For once, I thought it painless. J'avais l'impression que quelque chose de positif commencer, quelque chose qui me donnait envie d'aller plus vite. I already wanted to be next Friday. L'instant était délicieux. I thought that a good day has began. J'étais loin d'être dans le vrai.
          1 AM, I decided to watch an episode of a series. Erreur monumentale. Small stars shining in my eyes turned into doubts in my heart. J'étais triste, inquiet. This feeling that fills you and you do not know why. C'était tard, et l'heure de se coucher. But I won't slept I would just cry. La joie et l'optimisme qui m'habitaient une petite  heure avant avait disparut sans vraiment aucune raison. I hold my pillow hoping that I would feel better in the morning and I try to close my eyes. 
          Je me suis réveillé énerve I understood that the day would be long. Mais j'étais bien loin de m'imaginer à quel point. I admit that I wasn't expecting that. Je vous passe les détails inutiles d'une pauvre matinée banale. 1 PM my grand mother joigned my mother and I, to watch my little brother playing soccer. Elle a fait un malaise, là, devant nous. She's ok, that could be worse. Mais c'était impressionnant. I would not say traumatizing, but not too far. Ce que cela représente pour moi est angoissant. Everyone knows it, but realize it's scary. J'ai vraiment comprit que la vie ne tenait a rien. I know that she's old and that one day she wille have to go, but that not the problem. J'étais là, impuissant, la regardait s'endormir petit à petit. No call and no slap did not change anything. Elle s'endormait, tout simplement. She was breathing hard, suffocated can be. Mais je ne savais pas vraiment ce qu'il se passait et l'imaginait déjà loin. She eventually reopen eyes. Soulagement. But I still think. Plusieurs heures après, je me pose une question. How can - we live, always wondering if we should not have to say farewell to the person who we just said goodbye ? N'importe qui, n'importe quand. I find it more frightening than to think that one day we don't see him or her again. Depuis l'hôpital, ma mère m'a demandé si mon frère et ma soeur allaient bien. They were well. Mais à aucun moment elle ne m'a demandé si moi j'allais bien. I wasn't well. Je pense que cela va me trottait dans la tête encore quelques jours. Then, I'll think of something else. Jusqu'à la prochaine confrontation, peut - être plus lourde en conséquence. I know it is inevitable.
          Malgré tout cela, aprés - midi devoir obligée. But the concentration was not there. Je papillonnais, et oh, une bonne surprise m'attendais sur facebook. But throughout the conversation, it was bad news. Après mon expérience du matin j'ai relativisé bien évidemment. But that ended to kill my innocent joy of midnight. Tant pis, une autre fois. I thought it might work, it was well gone. J'étais bien parti. but it will certainly stay the source of a single smile, one night. C'est déjà pas. Time will tell us.

Je pensais écrire plus mais il est vraiment très tard, je vous passe le reste de ma journée.
I would have done better to stay in bed. 
Bonne nuit tout le monde
I.

dimanche 30 septembre 2012

"Et si"


Souvent, je me demande si j'ai bien fait. Bien fait de faire telle chose à tel moment. Si tel choix n'aurait pas était préférable ou si un autre encore ne m'aurait pas plus apporté. Je ne sais pas vraiment comment je prends mes décisions, quels en sont les conséquences ni quel en sera le prix. Je ne le découvre que bien après. 
Alors, une fois qu'il est trop tard, j'imagine comment d'autres options auraient pu évoluer et où j'en serais aujourd'hui si je les avais suivies. Je m'imagine un autre vie, si mes choix avaient était différent à un moment où à un autre. Je sais bien qu'avec des si, on referait le monde mais je vous promets, de temps en temps, ça fait du bien de refaire le monde même pour quelques petites secondes. Ces quelques minutes avant de sombrer dans le sommeil où vous vous dites "si seulement..." et que votre esprit s'évade vers une autre optique de vie. Je vais aller me coucher et me demander "et si seulement..."
je vous souhaite une bonne fin de nuit
Moi

samedi 29 septembre 2012

Orage(s)


Oui, j'ai dit qu'aujourd'hui j'allais mieux, mais je suis inquiet. J'ai peur. Peur de beaucoup de chose. Choses qui peuvent se résumer à l'avenir. 


"J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
Il avait la voix déformé et un masque sur les yeux
Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
Je sais pas à quoi il r'semble, mais au moins j'sais qu'il existe"


Je pense que j'ai réussi à surmonter quelque chose. Mais ce n'était pas la première fois. Et je me demande si je ne vais pas à nouveau refaire les même erreurs, avoir les mêmes réactions. J'aimerais que ça change. J'aimerais que ça s'améliore. Que ça s'embellisse. Ça à l'air si simple quand on y pense. En tout cas, moi j'y pense et ça me semble simple. Et si loin pourtant. 
Je redis qu'il est possible qu'en ce moment même, je sois en train de m'éloigner d'un orage, mais ne serait - ce pas pour en chasser un autre ? Ils sont tellement nombreux ... Doutes. Réflexion. Prendre son temps ? La vie est trop courte. Foncer ? La vie est bien trop dangereuse. Laisser faire le temps et advienne que pourra ? La vie est trop conne. 
Alors que faire ? Comment réagir ? Comment rester heureux ? Comment ?